Chapitre 8 L'elfe noir, l'attaque d'une caravane

L'hydre

A peine le dragon aura la tête tranché,
Que deux vilains congénères pointeront leurs nez !
mais l'hydre qui apparaîtra avec son armée,
Est des noirs créatures qu'il faut faire tomber.
peuple de la lumière formai les rangs,
La bataille suprême vous attend !
la lumière peu avoir plusieurs visage,
Même parfois celui d'un enfant pas très sage.
Que soit maudit l'impie qui le mettra en cage...

Prophétie aléatoire, le Fou, Prophète Blanc chez les Nomades

L'attaque

J'entend un grogement devant ma tente, je me lève et vais voir ce qui ce passe. C'est Lemac il est allongé devant ma tente. Je m'approche de lui et lui demande ce qui lui prend de faire du bruit a une heure si tardive.
Et la je remarque que sa fourrure si blanche en temps normale, et pleine de sang en m'approchant je voit une grande entaille sur son flanc droit.
"Oh non Lemac que c'est-il passé ? Qui t'a fait cela ?"

Je me débrouille comme je peut pour le rentrer dans ma tente, et cours cherché de l'aide. Mais tout le monde dors dans le camp. Je retourne donc a ma tente, prend de l'eau et enlève le sable incruster dans la plaie, puis bande Lemac.
"Maintenant repose toi moi frère."

Je sort de la tente très énervé contre moi même j'aurai du être avec lui,
il était venu quelques heures plutôt pour aller chasser avec lui, mais je lui est dit que j'était fatiguer. Si seulement j'avais été avec lui il ne lui serai peut être rien arrivé.

Je regarder mon ami allogé sur le tapis dans ma tente, il été maintenant hors de danger, mais cela ne me suffisait pas, je devais le vengé. Mais surtout protéger mais amis les nomades. La chose qui avait fait cela a Lemac doit être capable de faire bien pire à mes amis.
Je regarde a terre et voit du sang, le sang de Lemac. Je prend la direction de la dune ou je vois du sang, après unquart d'heure de marche et je trouve que l'atmosphère se fait pesante, je m'accroupis dans le sable
afin de regarder et la je vois un homme s'avancer, j'ai déja vu un être come lui avant mais où?

Je l'observe discrètement et là, d'un geste de la main l'homme remet ses cheveux derrière son oreille...
... en pointe, c'est un elfe noir.

Alors voila donc qui a bléssé Lemac. Je me doit de défendre le campement. Alors je rampe dans le sable et lorsque je suis a moins d'un mètre de lui je bondis et cours ma lame en l'air et le frappe. Il tombe face contre terre.
Quelques secondes plus tard il se retourne vers moi, me regarde dans les yeux, me sourit d'un air narquois, sort un poignard de sa botte, et se le plante dans le coeur.


Je reste assis à coté de son funeste cadavre, et me demande pourquoi a-t-il fait cela ? Au fond, je suis triste pour lui, il a l'air jeunes .Sont peuple a du l'envoyer dans notre campement, pour une épreuve d'initiation, comme il est de coutumes chez eux.
Je le regarde, et pleure. Un enfants est morts, et cela me désole. J'espère que ces querelles finiront un jour car cela ne me plait pas de prendre la vie d'autrui même au dépend de la mienne. Mais la je ne pouvait pas le laisser s'introduire dans le campement.

Tsukasa-Kun

Insomnies

Il est tard dans notre campement. Ce tapis d’étoile et cette lune, d’une parfaite rondeur cette nuit-là ne semble pas perturbées par nos préoccupations habitant chacun d’entre nous.

Je ne trouve pas le sommeil. Je me retourne sans cesse dans tous les sens dans mon lit essayant de trouver une position plus favorable au sommeil. Rien n’y fait. J’ouvre les yeux, les ferme et ainsi de suite. En vain. A mes cotés, Nyamo dort paisiblement ainsi que notre petit Meleth. Je me dis qu’eux au moins arrivent à trouver le sommeil et à faire abstraction du reste. Ces fées m’étonneront toujours.
Il n’y a que les va et vient de quelques sentinelles qui viennent perturber ce calme. Ils discutent, rigolent entre eux histoire de rendre la nuit et ces surveillances accrues moins monotones. Au travers de ma tente, je peux entrevoir les lueurs de plusieurs feux de camps éparpillés dans l’oasis ou mes hommes se retrouvent pour venir y boire un verre et se réchauffer. Les nuits sont fraîches dans le désert. Je pense aussi à mes petits groupes d’Assassins des Sables en surveillance plus loin d’ici. De leurs cachettes, ils doivent apercevoir cette lueur rouge feu se levant dans la nuit. Je ne doute pas un seul instant qu’ils aimeraient se retrouver parmis les leurs. Mais d’un autre coté, ils se sentent investi d’une mission ô combien importante. Alors sans broncher, tapis dans l’obscurité du désert des larmes, ils attendent, écoutent, observent et sont à prêt à surgir des sables pour intervenir.

Finalement je me lève sans trop faire de geste brusque de peur de réveiller ma fée. Il n’y a que Rafale, notre aigle, qui a senti mes mouvements.
Rafale est un présent de notre Naïb Ratus pour Nyamo. Il est devenu l’emblème de la famille de Ratus comme Lemac, le tigre blanc, l’est pour celui de la famille de Taïb Tsukasa-kun.
On croit que ces volatiles dorment mais il ne faut pas s’y tromper. Ils ne dorment que d’un œil, étant toujours sur le qui-vive. Ils ont des sens extrêmement plus développés que nous autres humains. Je m’approche de son perchoir. Ils déploient ses ailes à l’envergure impressionnante. Je sens qu’il aimerait voler plutôt que de rester percher là. Je l’emmènerai avec moi dans le désert pour observer son comportement dans les airs. Il faudra juste que je pense à me munir d’un gant de protection afin que ses griffes acérées ne me lacèrent le bras. Nyamo, elle, n’a pas besoin de gants. Etant Shaman de l’air, elle sait communiquer avec ces êtres.

Meleth. Notre petit Meleth. Tout petit mais déjà des pouvoirs cachés en toi. Que vas-tu donc nous dévoiler plus grand ? Je m’approche de son berceau et le prend dans mes bras. Il dort profondément. Je prends une petite couverture de laine que notre berger Zeboulet lui a confectionnée et l’entoure délicatement. Je fais quelques pas à l’intérieur de ma tente tout en le berçant. Je le dépose ensuite près de sa mère. Je me recule et les regarde ensuite. Quel magnifique tableau !

Allez ! Pas moyen de dormir ! Je quitte ma tente et pars rejoindre mes sentinelles autour d’un feu de camps.

*une sentinelle me voyant*
Hey Aegis ! Alors tu ne dors pas ? ! Ah je sais ce qui te préoccupes…ne t’inquiète pas ! Il est sous de bonne garde…Vient donc nous rejoindre autour de ce feu

*soucieux*


Hum oui tu as raison. De toute façon au moindre faux pas, il y passera…mais attendons de voir…

*m’assois près de ce feux*

Aegis

Ami prisonnier

-"Mon ami prisonnier du désert, heureusement qu'il ma fait parvenir un message."

je me retourne ver mes soldat et leur dit:

-"mes amis, mes fréres nous allon partir ce soir à la recherche de War.
Préparer les chameaux, la meute de coyote, l'aigle et les deux hydre."

-"Mais chef, les hydre, ont ne sais pas encore les dompter parfaitement."

-"elle vont faire leur preuve aujourd'hui"

Je regarde mes soldat s'activé, démontent leur tente, et prenent leur armes.

-"chef j'ai une infos pour vous!!"

-"je t'écoute"

-"les draks qui étaient venus dans le désert, sont repartis depuis notre derniére assaut."

-"parfais un ennemi en moin, combien avons nous d'homme à notre dissposition,"

-"sens conter les hommes que vous avez envoyer dans les plaines, il reste 150 hommmes"

-"rapelle nos autre hommes, ils nous les faut tous."

-"mais cela va prendre du temp, il faut au moin 2 jour pour les rassembler tous!"

-"je sais, et bien alors notre dépard seras retarder, aller ne tarde pas, vas les cherchers, prend 10 hommes avec toi, le désert est toujour hostile sache le bien"

L’homme des sables

Pilleurs

-« Chef ! J’ai rassemblé 10 groupes de 21 hommes sur 15 groupes. Le reste arriveras dans quelque heures, ils son en route pour « Les Palmiers des Oasis » »

«-Parfais ! Je veux 5 éclaireurs des plaines, 15 archers et 12 chasseurs des sables avec moi, nous irons chercher cette oasis et trouver l’Elfe. »

Quelque minute plus tard les hommes que j’avais demandés vinrent dans ma tente.

-« Nous somme prêt pour vous accompagner dans votre quêtes. »

-« Frère ! nous allons trouver cette oasis et emmener War avec nous, je ne veux aucune tueries sauf si vous êtes obliger d’employer la force. Archer ! Sur vos flèche mettez de la poudre blanche cela endormira l’ennemi pendant 30 minute. Chasseur prenez vos Arc et vos cimeterre et mettez vous aussi de la poudre blanche sur vos flèche. »

Les hommes sortir de ma tente et se préparais pour la mission de secours. On ne c’est pas combien sont les hommes de cette oasis, mais j’ai entendu dire qu’il ont des pouvoir ancien et des fées.

*prend le dragon noir*

Les amis en avant !!!

L’homme des sables

Nuit pénibles

La nuit fraîche était tombée. Je finissais les quelques lignes du chapitre qui me restaient encore à lire, puis je soufflais sur la bougie. Je pouvais m’endormir, bercé par les douces légendes elfiques du livre de l’Ancien.
Les histoires de ces livres racontaient la pureté, la beauté du peuple des elfes, mais les images qui me revenaient en tête était tout autre. Je n’arrivais pas à dormir. L’image de cet elfe pâle continuait à me tourmenter. Le Muad’Dib l’avait trouvé dans le désert, prêt a succomber aux ardeurs du soleil. Il l’avait amené à l’oasis afin de lui donner le secours que l’on doit à un homme qui périt.
La venue d’un elfe noir au campement nous rappelai la sanglante bataille aux portes du désert, nous recueillions quelqu’un qui avait participer au massacre de centaines d’habitants du désert. Cela avait eu pour effet de doubler la vigilance de nos Fedaykin. Aegis et Tsukasa-Kun organisaient leurs hommes afin de ne pas se laisser surprendre par une embuscade.

Le Naib Ratus vint lui parler. L’elfe souffrait. Il était possédé par un démon et venait demandé l’aide de Ratus pour renvoyer ce démon dans son plan d’origine. Ratus acceptait de l’aider.
Je dois dire que la venue de cet elfe ne me rassure pas, et que si nous nomades lui offrons l’hospitalité, je ne sais pas du tout ce qu a en réalité cet être sans cœur en tête. J’ai remarqué que même les animaux l’évitaient. Seul un serpent ressorti de sa tente.
Je connais bien les animaux, et je dois avouer qu en général j’arrive à les comprendre, mais ce serpent n’avait plus son instinct, il n’était plus lui-même. Il repartait vers le désert, ne s’occupant pas de se cacher, il rampait droit comme s’il savait ou il devait aller.

La nuit fut pénible, mon esprit passait de rêves en cauchemars. Ma dernière pensée fut pour une caravane qui était de passage à l’oasis. La fille du Taib, une belle dame aux longs cheveux bruns, pleurait la mort de son père.
Je me réveillais en sursaut. Quel était donc ce mauvais présage…

Sharrack

La caravane

*regarde a l’horizon*

-« Les coyote ne sente rien, aaaaaaaaahh, mais ou se cache cette… »

-« Chef !! Une caravanes la droit devant !! »

*regarde la direction indiqué par le chasseur*

-« Mes amis allons nous distraire un peu ! descendez de vos montures, et prenez les draps du désert. »

Après avoir vêtus nos draps de camouflage nous nous avançâmes prêt de la caravane.
Nos archer était rester sur les dunes attendent le signal que je leur donnerais.

-« Sables…enfin chef ! »

-« oui, alors tu les a compté ? »

-« oui, ils sont 15 sur des chameaux et 6 a pieds, ils ont des armes légères »

-« combien ont-ils de chameaux ? »

-« en tout il y en a 25 »

-« et bien on auras du retard sur le jour prévu, mais au moins on aura pas fait se chemin pour rien »

*se relève*

-AAAh L’ASSAUT !!!

Les hommes de la caravanes affoler, prirent leur épées, mes soldat se lancèrent sur eux.
Je regardais les hommes, saigner et quelque un étaient mort.
-« Stop !! »

Mes soldat avais compris, il mirent en ligne tout les hommes de la caravane, ils étaient tous devant moi me regardent, mon armure lourd étincelai sur leur visage en sang.

*enlève son heaume*

-« Nous allons prendre tout votre bétail, nous épargnerons vos vie »

Un homme se mit debout et me demandas

-« qui êtes vous ? »

*sourit*

-« On me nomme L’homme des Sables ! Je suis le chef des Pilleurs de Caravanes »

-« Notre seigneur nous a beaucoup parler de vous et de vos guerrier »

*sourit*

-« je suis flatté »

Un homme se leva il était jeune il me défigurait puis il me dit

-« y’a vraiment pas de quoi être flatté, vous n’êtes qu’un tueur, vous ne mériter pas de vivre, allez au di…. »

Sa tête roulait par terre sur le sable chaud du désert. Je remis mon épée dans son fourreau. Une femme se mise a pleurer, elle pris son poignard et s’avança vers moi

-« Mon fils vous allez payer pour lui avoir fais cela »

Elle brandi son poignard ver moi….

Une flèche siffla a mon oreille puis atteignis le cœur de la femme, je la regardai tombé délicatement sur le sol

-« arrêtons de parler ! Cela ferais moins de victimes »

Mes hommes avaient rassemblé tous les chameaux.

-« Retournons déposer c’est chameaux au Palmiers des Oasis, puis continuons notre route vers l’Oasis.
Quand a vous, nous vous laissons ici mais on vous donne 20 gourde d’eau, nous ne sommes pas des sauvage. »

*jette les gourdes*

-« aller au revoir »

*s’éloigne avec ces hommes*

L’homme des sables

Arrivée et retour

*arriver au Palmiers des Oasis*

-"femme des soldat, venez chercher les chameaux que nous avons pris."

Les femmes sortirent des tentes et prirent les chameaux

-"maintenant demi-tour, nous avons une quétes a faire, prenez le phénix il nous montrera la route a suivre pour l'oasis."

-"c'est bon cef tout es pris"

-"ok, alors, En avant!!"

L’homme des sables

le palmiers des oasis

*parle à son peuples*

-"Cher frére, cher soeur, ami du désert et orfelin, nous n'irons pas sauvé elfe de l'ombre il est entre de bonne main, j'ai parler au Naib des Nomades et il ma dit qu'Elfe est libre de partir quand il veux.
Alors Non, mieux vos ne pas y aller, mais continuons nos assaut sur les caravanes qui ose passer dans le désert!!!!."

L'homme des sables