Chapitre 3 La Croisade, guerre a l'oasis

Croisade

Ca y'est, mon armée est prete, les hommes se preparent.

Leur tenue de croix rouge sur fond blanc va a ravir dans se maudit desert. Les nomades sont une proie facile, et pour ce qui est d'esclaves, je pense qu'ils sont parfait.

Mon armée ce compose de soldats, recruter dans toute les province de ce monde, a vrai dire, l'empire a envoyer un petit contingent avec moi, mais ils poursuivent des buts differents que les notres...

La richesse est la, prete a etre ceuillir, une femme du desert, vaut beaucoup, beaucoup d'or. Mes cavaliers sont prets, je m'exulte devant les etendards blanc et rouge. Une razia chez le peuple du desert. Je vais enfin pouvoir gagner, beaucoup, beaucoup d'argent !!

Ses esclaves, ses sous-hommes, ses animaux, ne meritent pas mon egard, si ils resistent, alors ils mourront, et je me ferait une joie d'eventrer des femmes enceintes. Et ce muad'dib, celui la je lui reserve un sort particulier, il fera la joie de mes mains febriles, j'aime a torturer, lors de mes moments perdus.

La croisade sera bientot lancée, les croisés sont pret, leurs drapeaux flottant dans le vent.

Mon bras droit, Richard coeur de Lion s'occupe du reste. De ceux qui seront partis en caravanes, il est avide de richesse, tout comme moi, il aura le droit au meilleur morceau, et cela m'evitera de me faire prendre a revers par les caravaniés nomades.

Mon plan va marcher a merveille, tout ce met en place, aucune resistance n'est prevue, a pres tout ce ne sont que des animaux, aucuns moyens de defense, ou peut etre vont ils mordre AHAHAHAHAHAHAahahahaha hum...

Toute cette viande du desert qui va m'enrichir, tout ce sang qui va etre verser, je m'en regale d'avance !!!

Adolfus Guilotini

Alerte

Naib, Ratus mon ami, j'ai déja rencontré c'Richard Coeur de Lion, il attaquait le Muad'Dib.
Nous avons réussi a le repousser, mais c'est un homme cruel, il faut prevenir le camp, nous risquons d'etre attaqué.
Armons les hommes.

Argh, et moi qui préparait mon départ pour Karasa.

Mais qui est ce Guilotini, si je l'attrape, il risque de passer un mauvais quart d'heure.

Pat Hibulaire

Vivre libre ou mourir

Si je voie la moindre croix rouge dans le désert, notre "bac à sable" servira de fosse commune a ces dégénérés esclavagistes !
Quand a se qui soutiennent de prés ou de loin ces mécréants qu'ils soient maudits par tous les esprits du désert des larmes !
Nous sommes et resterons libre ! En cas de guerre ou d'attaque notre devise a toujours été vivre libre ou mourir !
Pas un seul nomade digne de se nom se laissera capturer vivant, vous êtes pas prés d'être riche Adolfus le tortionnaire.

Ratus Naib des Nomades

Petit voyage

Finalement je suis bien allé a Karasa.
J'ai dénicher une auberge qui avait belle allure, et j'ai demandé un verre de cette liqueur de serpent, spécialité du coin.

He bien je r'mercie Dame Enorah qui a eu la bonne idée de me conseiller.

Fichtre que cet alcool est bon.
Un gout bien particulier, on sent que ca a été muri suffisament longtemps.

J'ai réussi a me dépatouiller une caisse de cette boisson, reste plus qu a retraverser ce désert.
Pfffouhhh, quelle chaleur !

Allez, depechons nous, je n'aimerais pas que l'on attaque l'oasis durant mon absence, ces croisés n'ont pas l'air de plaisanter.

Pat Hibulaire

Entrainement

Ratus m’a dit, « abandonne tes livres mon garçon, nous sommes en guerre, il faut que tu t’entraînes ».

Il a bien raison, je n’ai jamais été très bon dans les armes, mais je suis pourtant jeune et fort.
Je devrais aider nos Feydakins, l’apport de mes bras ne serait pas de trop.

Il est temps pour les nomades de nous rebeller, nous ne subirons pas l’esclavagisme de ce cruel marchand.
Je ne comprends pas non plus tant d’atrocité, comment peut on en vouloir autant à un peuple, quel crime avons-nous commis.

Je rejoins donc les Feydakins, et j’appris comment attaquer avec un cimeterre.
Je gardais aussi ma lance, car elle touchait souvent au but.
Je la manie depuis mon enfance quand mon père et le Naib m’emmenait a la chasse aux serpents

Nos guerriers se battent bien, et ils ont montré où étaient mes faiblesses. Je me précipite souvent, et mes adversaires me prennent a défaut. Je tacherais d’être plus réfléchi, si j en ai le temps pendant une bataille.

Le soir je rentre fatiguer, et après un bon repas, je ne tarde pas à me coucher.
J’espère seulement que l’attaque n’aura pas lieu cette nuit

Sharrack

Armée

Allez, allez !!

Les bruits de sabres qui s'entrechoquent, celui des lances qui craquent, les cris, les râles. Nos soldats s'entraînent, nos feydakins sont prêts. Je regarde la scène, cela me ranime de souvenirs, lorsque j'étais jeune soldat, ces longs entraînements fatiguants, épuisants, lourds. Mais ils trouvent toujours la force pour continuer, pour se perfectionner, pour être sur qu'ils seront à la hauteur lors du combat. Lorsque l'on est soldat il faut savoir être perfectionniste, car sinon, la mort vous attends au tournant. La lune brillante, brûlante apparaît déjà derrière les dunes, et les hommes continuent, encore et encore, le mauve nous entoure, quelques rayons rougeâtre zèbrent le ciel. Les cavaliers s'exercent au lancer de javelot. Certain guerriers méfiants endosse déjà leur lourdes armure en plates de cuir.

Je fait quelques pas, et déjà la garde du Naib est en rang. Fiers guerriers a l'armure de bronze, bouclier rond au cercle de métal dans une main, cimeterre dans l'autre, regard courageux, profil de marbre. Ils sont l'élite de l'oasis. J'aimerais avoir leur regard, ce regard tourné vers l'avenir, un regard qui semble invincible, qui n'as peur de rien, qui ne reviendra pas en arrière. Moi je reste là, avec les femmes et les enfants, et quelques braves. J'endosserais mon armure impériale et mes épaulette ocre. Meme si je ne me bat pas, cela me rappellera le temps passé, ou je me suis battu pour une idéologie que j'aimais.

De plus je risque d'être envoyé avec certains caravaniers, pour le transport d'armes vers la région de Sarosa, si l'armée de croisade tombe sur cette caravane, cela leur donnerai des armes supplémentaires.

J'ai le regard posé vers le ciel, je contemple les étoiles, celle qui bercent nos nuits, celles qui contiennent toutes nos réponses sans jamais nous les avouer. Le calme arrive peut a peu, les guerriers rentrent chez eux, retrouver leurs familles, leurs enfants, épuisés, éreintés.
D'autres encore se préparent, ceux la sont paysans, agriculteurs, chasseurs, pêcheurs, ou encore même cavaliers, marchands, sculpteurs, peintres, ou poètes. Des mères de famille endosses de lourde armures, affinant le tranchant de lame qu'elle utiliserons bientôt. Elle sont volontaires, tout comme les civils, c'est toute une armée de conscrits qui s'anime dans l'ombre, mais des conscrits volontaires...

La Nouille

Contemplation

...Me voilà arrivé sur une dune ,je lève les yeux ,puis je m'asseois en tailleur .

Là ,sous mes yeux ,des centaines de ces nomades du désert ,armés et entrainés pour la plupart ,moitié nus et novices pour les autres...

Magnifique ,un tel soulèvement m'impressionne ,les femmes tiennent elles aussi des armes ,vierges farouches de la bataille...fortes créatures ,mais pourtant si envoutantes...

Je continue de regarder ,mes yeux se posent sur des hommes en armure aux reflets oranges brillants...des gardes d'élite sûrement ,j'aimerai me mesurer a eux...

C'est superbe ,cet esprit de camaraderie ,de combat ,de force et de douceur...Cette athmosphère de bataille et de trac .

J'ai du mal a comprendre pourquoi un peuple si faible au premier abord puisse se montrer si fort face au danger...

Un mystère de plus que je résoudrai par moi-même...

Je me lève ,commence a marcher vers ce camp ,mais je me rasseois...je ferme les yeux et laisse s'évader mon esprit .

Bienvenu est le dragon quand il arrive au milieu d'un tourbillon de fleurs de cerisier...

Danpachi

Aide aux nomades

Voilà que je me balade dans la préparation de la bataille.
Les femmes serrent leur enfants dans leurs bras, mais leur visage n'expriment pas la peur...
Les novices guerriers ont le regard dur, pres a affronter la bataille.
Aussi tot, je distribue des armes au moins chanceux, et me prépare au combat, je ne laissserai pas un peuple tombé sous les coups d'ignobles personnages !

Je revets mon armure de plates completes, brillant de mille feux j'attise les regards.
La haine revient m'habiter, comme autrefois sur les champs de batailles des Trois Royaumes.
Des jours affreux viennent me hanter, de multiples visons defilent devant moi, je vois ma vie et mes amis...
Je me vois, massacrant des soladats, qui avaient osé nous trahir.
Je me vois combattre pour protéger ma famille, mon vilage, mon pays.

Bientot, ma lame sera rouge de sang.
Je me battrais pour une cause, et cette fois ce, pas pour moi meme !
Me voilà fin pret au combat.
Je vois une derniere fois peut etre mes amis, Ness... Pigleuxtouf et tout les autres... Mon ancien Roi, Dagenfort.
Je VAINCRAIS pour des gens dont je connais appeine le nom...
Je tuerais des gens, qui ont une famille, des enfants. Je détruirais des vies, pour en sauver d'autres.

Timit

Attaque

Son des clairons, drapeau en tete, charge inoubliable de cavaliers blanc et rouge.

La bataille a commencée, ma strategie est simple, encercler l'oasis, et obtenir la redition des nomades, epargnant ainsi leurs vies, me permettant d'obtenir des esclaves frais.

La premiere charge est sonnée, pour tester leur resistence, nous envoyons une centaines de cavaliers, ils devraient normalement revenir triomphant nous prouvant a tous qu'il n'y a aucun dangers !!

Mais les cavaliers ne reviennent pas...
J'envoie des eclaireurs, seul un d'entre eux reviens, percer de deux fleches dans la poitrine.

Cette fois ils l'aurons voulu, je degaine mon épée, enfourche mon chevale blanc, et me voila a la tete de la premiere armée de croisade. Chargez !
Mais devant nous s'elevent les nomades, sur leurs chevaux, ou a pieds, d'autre montés sur chameaux.

Certains ont une apparence noble, d'autre sont des paysans miteux, mais je lit dans leurs regard un meme courrage, une meme force qui les animent.
Je pourrais en etre decourager...

Je lance ma cavalerie lourde sur le flanc gauche, envoyant une grele de fleches et de poudre au centre du dispositif nomade.
Ceux ci riposte a coups de fleches. Les cavaliers leger nomades se detache, prenant a revers ma cavalerie lourde, j'envoie les fantassin au centre, continuant de faire tirer mes unités. Mais les nomades a chevaux harcele les les cavalier en armure, montés sur leur chevaux ils tire a l'arc comme s'il etaient a genoux. Les pertes commence a s'elever...
La bataille ne se terminera pas aussi vite que prevue...

Adolfus Guilotini

La bataille

J'entend des tirs, des cris, des dechirements. De la ou nous sommes, meme avec des longue vue on ne distingue rien de la bataille. Les hommes aupres de moi sont nerveux et febriles. L'issue de la bataille scellera le sort des nomades.
Nous avons envoyé quelques eclaireurs a la recherche des caravannes, mais manifestement, aucun n'est revenu.

Mon armure brille sous les reflet etoilée, la lune est pleine, eclairant l'oasis et la baignant dans une lumiere blanche. Les femmes, les enfants, et les vieillards tentent desesperement de se rassurer. Moi rassuré je ne le suis pas.

Je ne doute pas de la volonté des nomades, mais j'ai peur que l'issue tourne en notre defaveur. Les croisés sont plus nombreux et mieux entrainés que nos hommes.
Si nous sortons victorieux de la bataille ce sera avec des pertes elevées et une chance incroyable.

Je me tourne vers la dune de léna, au loin. J'ai passé un accord avec elle, elle devrait venir nous aider si besoin est. Le vent est un atout puissant.

Le naib est parti a la guerre engoncé dans son armure la plus ornée, sharrack a ses cotés. Nos elementaristes tentes des prouesses sur le champs de bataille et d'ailleur je vois des eclairs et de lourd nuages noirs, ainsi que de grand feux venir de l'horizon.

Mais dejé un petit frissonnement me donne la chair de poule. Le vent se leve un vent chaud et humide, un vent qui me murmure a l'oreil un chant melodieux. Léna. Elle se reveille enfin. Je vois un petit tourbillon de sable avancer lentement vers la bataille, grandissant peu a peu, pour devenir une gigantesque tornad au milieu de la plaine.
Petite léna, je sais que pour toi c'est difficile mais tu le fait pour le bien de la tribue.
Comme le marché en convenait, je doit maintenant aller voir tes parents, pour faire passé le message que tu m'as confié.

Que c'est toi qui a preferé mourir et devenir un esprit...

La Nouille

Résistance

Au coeur de la bataille, les lames et les fleches s'agitent...
Je me rapproche d'un "crois" qui va surement tuer cette jeune femme.
J''attrape l'agresseur par le col, et lui tranche la tête.
L'ivresse de la bataille se ressent.
Je tranche, mutile, ecrase, égorge tout ce qui passe a ma portée.

Un cavalier armé d'une lourde lance s'approche avec un sourire mauvais. Je l'esquive et passe sous son cheval, j'en profite pour éventrer la monture, le cavalier tombe, surpris, il n'a même pas le temps de parler. Il est mort.
Devant moi, trop d'hommes et de femmes meurent.

Je saisis la lance du cavalier, et la lance sur un "croisé". Celui ci et transpercé, et il tombe par terre, telle un pantin désarticulé. Les nomades font preuve de courage, mais les "croisés" sont trop nombreux et trop bien armé, mais je ne dirait pas trop entrainé...

Alors que je tuait un émnieme ennemi, je leve les yeux au ciel, et je vois une pluie de fleches. Une m'attein a l'épaule. Je ne saurai dire si la blessure est douloureuse, je suis tellement dans la bataille, que ma seule motion est la colere.

Une deuxieme fleche si fiche dans ma jambe gauche, plus précisement a la cuisse. Cette fois, je ressens cette douleur ignoble. Je fonce vers les archers, tranchant tout les fantassins qui les protegent.

Mais en me retournant, je vois la tornade...

Timit

L'embuscade

Dans tous les guerres, il y a toujours eu plusieurs façons de mener le combat.
L'armé des croisés est une armée puissante est lourde.
Nos forces elles agissent bien différemment, nous utilisons des techniques de harcèlements.
Notre connaissance parfaite du désert, et l'entraînement adapté des fedaykins fait de notre force une dure proie pour ces immondes marchands d'humains.

Se matin un groupe de ravitaillement de l'armé ennemis en a fait les frais.
Il faisait très chaud, nous rampions mes hommes et moi sur le dos d'une dune.
Du sommet la vision était parfaite, selon nos renseignements un convoie ennemis allait passer sous peu.
Bien vite, le sable levé par les lourds chevaux croisés s'élever en colonne visible sur des kilomètres. Un rictus nerveux s'afficha sur mon visage devant se spectacle de bêtise humaine !
La troupe irrésistiblement s'approcher, mes hommes calmement préparer leurs flèches.

Les arcs du désert des larmes sont réputé pour leur grande puissance et leur solidité les mécréants tortionnaires allaient bientôt en faire les frais.....
La colonne était composée de plusieurs chariots remplis de tonneau d'eau, d'un groupe de cavalier arborant fièrement leurs croix rouges sur leurs blanc vêtements et de quelque fantassin a l'aspect désolent sans doute un des pire échantillons de soudard que j'ai eu l' occasion de voir...

Soudain je lève ma main une volé de flèche sabbat sur les cavaliers qui tombe telle des moustiques ! Puis c le tour des conducteurs de chariot la précision de nos tirs est remarquable !
Je m'efforce de pensée aux enfants du camps, a nos femmes, nos anciens !
A la beauté de nos amis elfes dame Liness, dame Danakir… pour ne pas sombrer dans le dégoût et l'horreur que me procure se spectacle digne d'un abattoir !

Les soudards sont a viné et semblent ne pas comprendre quel est leur situation. Certain en proie a la frénésie nous chargent tel des bête sauvages, la troisième volée de fléche est pour c'est sinistres oiseaux qui trouveront dans la mort la seule richesse que nous nomades pouvons leur apporté !
Nous chargeons a notre tour est éliminons les derniers adversaires au corps a corps le choc est brutale nous subissons quel que blessure mais rien de sérieux mon énorme sabre a raison du capitaine du convoie un fin escrimeur qui avait blesser un de mes hommes !

Nous mettons le feu a tous ce que l'on peu emporter ! Une chose est sur des croisés mourons de soif avant la fin de la journée.
Nous repartons en silence l'âme chargée de ces horreurs, se soir je dînerai seul dans ma tente, la mort est vraiment un triste spectacle.

Ratus

Au meme moment

...

Danakir: Hé bien il se débrouille bien les mortels hein?

Figure dans l'ombre: Pff oui pas mal...

Danakir: Allé admet le tu ne t'attendais pas a ce qu'il y arrive seul. J'avais encore raison.

Figure dans l'ombre: Oui oui c'est bon arrête... -_-,

Danakir: Je sens qu'un certain marchand d'esclave va bientot recevoir une visite déplaisante. Non? ^_-

Figure dans l'ombre: Ah sa tu peut me faire confiance... *on voit une lame brillé dans ces main*

Danakir

Le Dragon du desert

Il était là ,allongé ,dorant au soleil ,se délectant de la douce sensation du sable sur sa peau...

Le Dragon...

Son corps musculeux ,orné de trois tatouages ,était étalé de tout son long sur le doré de la plus haute dune qu'il pouvait voir .
A son côté ,deux armes ,deux katanas ,pommeau émeraude et fourreau viel or et vert ,soigneusement posés .

Danpachi dormait ,il s'était assoupi sur la dune de laquelle il admirait le camp des nomades en ébullition .
Son esprit voguait dans les méandres du pays des rêves ,quand un long murmure se fît entendre . Chaque minute plus fort ,chaque minute plus compréhensible...

Le samurai se réveillea lorsque le bruit fût assez fort pour qu'on comprenne qu'il s'agissait d'une armée en marche ,des cris s'élevaient de la masse blanche et rouge ,visiblement ceux des officiers commandants .

Immédiatement ,le camp nomade bougea ,les hommes et les femmes sortirent des tentes ,tous en armes ,tous déterminés a se battre et a mourir pour l'oasis .

Voyant cela ,une lueur apparût sur le corps de Danpachi ,l'une des 5 fleurs de son tatouage en cerisier se mît a briller ,et apparût une grande armure vert émeraude sur le corps de l'homme .
Un casque apparût sur sa tête ,représentation d'une large gueule de Dragon vert ouverte ,et un masque gris apparût aussi ,se plaçant sur l bouche du guerrier .

Se fesant ,les deux armées en présence échangaient déja des cris de fureur et de moquerie ,a chaque fois plus forts .
Quand on ne pût plus lever encore plus la voix ,les deux armées s'élançèrent dans une charge déterminée vers une victoire tant espérée .

Puis un immense fracas...

Les deux armées étaient entrés en contact ,nomades et croisés échangeant des coups de cimeterres et d'épées longues .

Danpachi admira ainsi une dizaine de minutes la bataille ,puis s'élança a son tour ,sabres au devant et poussant son cri de guerre :
-YAAAAAAAY !!

Le samurai courût jusqu'à un groupe de croisés armés de lances ,puis se lança dans un tourbillon éffrené d'émeraude et d'acier tranchant les mains et coupant les gorges ,intouchable ,presque divin .

Un autre groupe vît ceci ,et s'élança pour soutenir les malheureux guerriers...Danpachi acheva le dernier les lanciers ,et partit a la rencontre des nouveaux arrivants .
Il esquiva un premier coup ,et envoya une de ses lames trancher la tête de l'assaillant ,puis il se retourna et en parra deux en même temps ,et se jetta sur un croisé attendant son tour ,qui n'eût jamais le temps de frapper ,trop étonné d'avoir été pris pour cible .
Puis Danpachi se retourna et s'en prît aux deux derniers ,qu'il découpa en quatres morceaux chacuns .

Ainsi débutait la bataille de l'oasis ,croisés contre nomades ,esclavagistes contre voyageurs ,opprimants contre anciens opprimés . Au coeur de la bataille ,un oriental ,a la force immense .

Danpachi bataillait depuis plusieures heures déja ,la fatigue s'empara de son corps et de son âme...même le plus puissant des guerriers n'est pas invincible...
Il se laissa emporter par sa fatigue ,quand il entendît un long cri rauque .
Il vît un groupe de 6 grands croisés ,visiblement sûrs d'eux quand a leurs chances de vaincre .
Ils s'élançèrent tous en même temps .
Un pivot et 10 secondes plus tard ,des flots du sang des attaquants étaient déja en train de saler la terre .
Les longs cheveux noirs du Samurai n'avaient presque pas bougé ,même libres de l'oppression du casque ,désormais perdu sur le champ de bataille .

Danpachi était toujours dans la même position ,quand il aperçut la foule des guerriers ,enchevêtrés dans un combat effréné ,se fendre et laisser passer un homme de forte stature ,et a l'armure brillante .
Danpachi le trouva enfin ,son égal dans la bataille ,un guerrier de sa trempe...il cria :
-CROISé !
L'homme se retourna ,et Danpachi recommença a crier :
-CROISé !
Cette fois-ci ,le colosse vînt a la rencontre de Danpachi .
Tout deux semblaient intouchables ,personne ne s'approchait ,ami ou ennemi .
Une fois face à face ,Danpachise reùît a parler :
-Je suis Mirumoto Danpachi ,Maître du Niten et premier Samurai de l'Empire .Que le déshonneur s'abatte sur mes ancêtres et moi si tu sors vivant de ce duel...
-Je suis Fingon ,capitaine des croisés ,et cela tombe bien que tu parles de tes ancêtres ,car je vais t'envoyer les rejoindre ,salut les de ma part ,Lésard !

Danpachi ne répondit pas ,mais se contenta de saluer .
Fingon redressa son immense épée en signe d'acceptation .
Le duel pouvait commencer...

Les guerriers se trouvant près des deux hommes cessèrent tous les combat pour admirer le combat .

Danpachi et Fingon se mîrent en position...
Fingon se rua en premier vers son adversaire ,son épée tournoyant entre ses mains . Il l'abattît sur le samurai ,mais celui-ci l'esquiva sans mal ,et attaqua a son tour ,envoyant ses deux sabres vers le croisé ,qui parra le coup.
Le duel dura ainsi dix minutes ,mais a chaque seconde ,Danpachi semblait perdre du terrain ,il avait de plus en plus de mal a parer les coups ,et sa défaite se précisait dans son esprit .

Il était temps d'utiliser son pouvoir...
Une partie du corps de Danpachi sembla s'élaire encore une fois ,une grand Dragon sur l'avait bras gauche du guerrier .
Dès que le tatouage brilla assez ,une longue gerbe de flammes s'échapat de la bouche du samurai ,et fila vers Fingon .
Le croisé fût effrayé par un tel pouvoir dans les mains d'un combattant ,et ne pût esquiver les flammes qu'au dernier moment.

Mais ça ne s'arrêta pas a ce moment...

Ce fût ensuite une des fleurs du torse de Danpachi qui se mît a briller ,puis l'un de ses Katanas .
Il rangea le second ,et prît le brillant a deux mains ,puis porta un coup dans le vide .
Instantanément ,une onde sortie de la lame suivit un chemin ,qui allait droit vers Fingon ,et ce fût la fin du duel .

Fingon ,capitaine des armées d'Adolfus Guilotini ,fût coupé en deux par un coup d'une extraordinaire puissance .

Les croisés ,perturbés par la perte de leur chef ,ne pûrent tenir face aux nomades ,et n'eurent comme choix que de quitter le champ de bataille ou mourir .

Ce choix fût vite fait ,et c'est ainsi que le premier assaut des croisés fût repoussé...

Danpachi ,encore au coeur de la bataille il y a de ça quelques minutes ,s'approcha des restes de Fingon ,et murmura une rapide prière ,suivie de ces simples paroles :
-Tu as été le plus grand de mes adversaires ,mais mon Niten aura été plus fort que toi...bravo...

Ainsi s'en fût le Dragon de sable ,dans sa grande armure émeraude ,repartant vers les contrées de son empire ,ayant apportée l'aide qu'il avait promise a ses amis...

Danpachi

Ainsi c'est donc cela

cette lumière ... m'a rapellé d'ou je venai et pourkoi j'étais là, en ce monde.
je suis passé a proximité des combats dans ma recherche du Grand Condor, et j'ai vu au travers ses yeux. La grace, la puissance, ces lames tournaient comme une brise mortelle. J'ai vu le titan en armure se frayer un chemin jusqu'au centre de la lumière. Je voulais voir, admirer ce combat entre ces deux êtres, mais ce corps n'a su s'arreter. Jusqu'aux flammes, il a continué. Mais la lumières de l'onde, fendant l'air de toute sa longueur, la grace d'une aile qui pourfend le ciel. elle ma rapellée ma quête, la genese de mes espoirs. merci, samourai.

sache tt de même que tous les combats ne seront pas aussi facile. sur l'autre rive, a quelques traces de la, se battent des guerriers plus que cauchemardesques. Un d'eux, sur son cheval infernal, maniant une hallebarde grande comme un pilier, abbatait les nomades par poignées entieres. Il riait de son carnage. Mais ce n'est pas la la route du Ai no Fugue, je n'ai su m'attarder. Mais je te dois bien ca, samourai ...

... cette mise en garde. Prend soin de ta vie, et ne fais rien que tu ne puisse jamais regretter.

Ai No Fugue

La mêlée

Le combat fait rage, autant de massacres inutiles, je n’avais jamais imaginé pareilles choses.
La terre est rouge, mon armure tachetée de sang, des morceaux de corps jonche le sol, ici une main, la une tête. Les yeux du guerrier que j’éventre me regardent fixement. Je l’oublie. Je ressors mon cimeterre d’un geste vif et esquive l’attaque d’un colosse.
Des cris de douleur, des cris de rage, des hommes dans tout les sens. Celui qui m’assaille lâche subitement son arme, un javelot planté au dos.

Une douleur a la cuisse, je pousse un cri, je me retourne. Mon cimeterre s’abat sur l’épaule de celui qui est en face de moi. Lui aussi crie. Je tiens à crier le plus longtemps. J’enfonce ma lame à sa gorge. Je ne l’entends plus.
Un croisé est devant moi. J’avance sur lui
Je trébuche sur un de mes frères. Il a le crâne ouvert, la hache encore plantée. Je me relève, j’entends siffler une épée à ma droite. Je fais face à mon ennemi, il frappe le premier. J’esquive d’un pas sur le coté. Le poignard de ma main gauche s’enfonce sur le flanc droit du guerrier. Il tombe.

Au loin une lumière aveuglante, des cris de joie. Il y a une victoire, mais je ne discerne pas quel camp l’a remportée.
Les cavaliers rouge et blancs n’ont pas réussi à nous encercler. Un homme en armure nous aurait aidé.

J’entends un murmure, du sable s’envole, je reconnais ce vent tiède, Léna …
La tempête se lève.

Sharrack

*saute dans la mêlée*

Vous savez je déteste les marchands d'esclaves.

Mourrez <3! ^^

*Sort une énorme hache et commence à découpé les marchans d'esclaves en morceau*

Je n'ai pas de pitié pour les ombres d'être humain que vous êtes!

*Cours d'un bout à l'autre du champ de bataille causant des ravages sur son passage. Voit Sharrack tombé a terre*

Mon dieu! Sharrack!

*Le prend dans ces bras*

Êtes vous vivant mon ami?

Danakir


Je...oui.. oui je suis vivant Dame Danakir, quelle plaisir que ce soit vous qui se portiez a mon secours.

*se remet debout*

Aie ! je ne sais si je peux marcher, et ce vent, Dame Danakir, accompagnez moi, il faut se mettre a l'abri.

Sharrack


*Le prend dans ces bras*

Ne pensez rien... -_-

*Fait un saut d'une longeur inimaginable jusqu'en haut de la montagne*

Abritons nous dans cet grote!

*Le conduit à l'intérieur*

Danakir

Jusqu'au archers

Tandis que je fonçais vers les archers ennemis, je trouvais des corps criblés de flèches, inanimés.
Les yeux vides, figés dans leur ultime expression, souvent celle de la détermination de vaincre l'envahisseur.
Un bout de bras ou de pied par ci, un tête par là... Ce sepctacle me degoutais, mais c'était inévitable.
Je courais toujours vers les archers a une vitesse qui ferait palir les meilleurs sprinters au monde.
Au passage, et avec l'élan, je donne un grand coup d'épaule sur un soldat ennemi, qui se protege aussi tot avec son bouclier, mais avec ma force ddécuplée par la vitesse, le bouclier se brise en mille morceaux. Le soldat est apeuré et cours pour s'enfuir. Il est jeune, je ne le tuerais pas...
Mais ma clémence ne servit a rien, puisque un autre nomade lui trancha la tete d'un bref, précis et puissant coup de cimeterre.
Je continue ma route en esuqivant deux oou trois coup d'épée, hache, lance et poignard.
Je dois a présent etre a une centaine e metre des archers, qui font enomrément de degats dans la bataille.
Je ramasse, au passage une dizaine de petites lances que je fixe a mon dos avec une vieille corde. J'en lance un ou deux sur les ennemis, histoire de leur faire comprendre ma férocité.
Ca y est, une dizaine de metres même pas...
Mais, chose inatendue six hommes, lourdement armés, utilisant des épées a deux mains et des armures d'acier completes se dressent sur ma route.
Suis-Je condamné ?

Non, je ne peux pas mourir ccontre de viles personnes telles que ces escalvagiste.
J'hurle de toute mon ame, ais mes blessures me font soufrir...
J'esquive un coup d'épée, et je rends la pareil a l'assaillant, lui étantlourdement équipé, n'a pas au le temps d'esquiver et tape de haut en bas dans l'encolure, principal défauy de ce genre d'armure.
Mais il en reste cinq.

je combat avec férocité, je brise la lame d'un des ennemis, celui ci, pris au dépourvu s'arrete un instant.
un instant de trop, car il est mort.
Trois, encore beaucoup. Peut etre trop. J'abat viollement ma lame sur le casuqe de l'adversaire. Sa tete explose en même tant que son casque.

A ma grande chance, un nomade dont j'ignore le nom vient m'aider.
Il parait jeune, les cheveux longs et bruns, la peau legerement mate et des yeux verts. Un homme typique du désert.
Il est armé de deux cimeterres et m'aide a vaincre les deux derniers croisés qui barraient la route.
Je suis impressionné par la dexterité dont il fait preuve. Ses moulinets sont infernaux !!

Les arches sont a portée de mains. Ils sont déjà morts.

Timit

La fin

Les guerriers nomades donnent le meilleur d'eux même mais la fin est proche. Les croisés sont trop nombreux, beaucoup trop. Bien qu'en ayant couper les vivres d'eau, le sursit n'as pas été très long. Voila donc la dernière bataille, la dernière lutte qui amènera au sort décisif de tout un peuple. Les alliés ont été nombreux, et nombre d'entre eux ont déclarés ouvertement leurs amitiés aux nomades. Maintenant arrive la fin. Une dernière prière aux esprits.
Dans chaque coeur résonne le courage infini. Jamais ils ne se rendront, les chefs de guerres sont en avant, faisant résonner aux guerriers la devise de la bataille: "Menacés mais libres"

"Menacés mais libres" reprennent choeur les nomades.
Mais déjà le vent se lève, comme pour prédire l'extinction, le déclin. Au loin des nuages noirs bouchent l'horizon, il fait froid.
Un hurlement, puis la panique. Les croisés s'affolent, fuyant de partout. La terreur se propage dans leur rangs, l'horreur indescriptible se lit sur leurs visages, tandis que pris en tenaille ils essayent de sauver leurs vies.
Les nomades eux restent debout, ébahis par le spectacle qui s'offre a eux.

La tornade fonce droit sur les soldats. Les montures et leurs cavaliers blanc s'élevant dans les airs dans une myriades de gémissements et de hurlements. Dans le fond de l'armée le Shaïd-hulud enfonce l'armée croisée. Le ver emporte avec lui les derniers fuyards tandis que la tornade fait des ravages, comme si les éléments eux même se déchaînaient.

Puis enfin tout redevient calme, plus de ver, plus de tornade, plus de soldats. Plus d'étendards blancs a croix rouges. Les nomades fouillent le sable en vain. Soudain en creusant un peu une main apparaît. Ils fouillent de plus belle, creusant avec fébrilité. Un visage blême et mort sort de terre comme un fantôme. La menace d'Adolfus Guilotini n'est plus. Avec lui s'enfuit la guerre contre les croisés, avec lui s'enfuit la menace qui pesait sur le peuple nomade, avec lui naît une nouvelle façon de penser...

La Nouille

Retour au camp

Nous n’avons pu voir ce qui s’est passée, mais on apercevait le mur de sable tourbillonnant à l’entrée de la grotte. Le bruit que cela faisait en était effroyable.
Jamais à ma connaissance, une telle tempête avait soufflé sur l’oasis.
Si nous nous étions approché, sûrement aurions nous été aspiré.

Ma blessure saignait abondamment, l’entaille est profonde. Je ne pourrais pas marcher pendant un certain temps. Dame Danakir a stoppée le saignement et a apposé quelques herbes que l’on ne trouve que dans les hautes montagnes.

Aussi soudainement, la tempête s’apaisa. Dame Danakir m’aida à me lever et nous avancions vers la sortie.
Le soleil avait repris sa place dans un ciel bleu. Plus aucun nuage, plus de vent, plus un bruit.
Nous regardions vers le bas. Il n’y avait plus de batailles. Mais tous les corps étaient allongés au sol, a demi enfouis dans le sable.

Les nomades avaient ressenti la tempête, et ils se sont protégé dès qu ils ont sus que Léna, esprit du vent, approchait.
Mais les croisés n’ont pas eu cette chance. Leurs chevaux ont été pris de panique, et se sont enfuis emmenant leurs cavaliers dans une mort certaine.
Quand aux archers et guerriers a pied, a bout de souffle, ils ont laissé pénétrer le sable dans la bouche et le nez, les étouffant, dans une mort lente et douloureuse.

Nous avons beaucoup de morts aussi, et les familles nomades recherchent parfois un fils, parfois un frère.
On nous raconte aussi les exploits des hommes qui sont venus nous aider.
Timit l’aventurier aurait réussi à stopper l’attaque des cavaliers, puis il fonça tête baissée sur la rangée d’archer, réussissant à la désorganisé
Danpachi, seigneur de l’Orient, aurait combattu un bataillon de mercenaires qui comptait nous prendre a revers.
Il aurait tué en combat singulier le chef de cette unité, d une lumière de feu.

J’ai vu aussi Dame Danakir en plein milieu de la mêlée, combattant à la manière des Elfes, telle une déesse en furie, empêchant les croisés de gagner les tentes où les enfants s’étaient regroupés.

Nous avons rejoint le camp, mais ce n’est pas la victoire que nous lisons sur nos visages, mais une tristesse mélangée a l’incompréhension de la barbarie des hommes.

Parfois je comprends les choix de Léna, elle au moins est libre.
Nous survivons dans ce désert hostile, mais c est le désert qui nous a sauvé.

Sharrack