Des Emprunte dans le sable.

A Quelques Kilometres de l'Oasis, une silhouette s'avançait sous la chaleurs.
Qui aurais pu encore pensé que Lanjis avais pris place et qu'il neigeait sur le continent. L'ombre aux courbe féminine s'arrêtait, le front suant sous un soleil de plombs. Elle se saisit de sa gourbe en reculant lentement la tête. Le sourire au lévres, elle laissait le goulot a quelques centimetres de sa bouche pour faire couler l'eau au fond de sa gorge. La chaleur, l'odeur du sable...Elle n'avais pas vraiment l'habitude, mais a chaque fois qu'elle se rendais a l'Oasis, elle aimait ses sensations. Il lui tardait d'arriver a l'Oasis pour retrouver ses habitant chaleureux, ses coutumes qu'elle connaissait de mieux en mieux, mais après tout, en quelques sorte, c'est un peu de là qu'elle viens. Même si Rajah n'était pas née dans le désert, elle s'y est toujours sentie comme chez elle et l'acceuil de ses habitants lui laisser continuer de le croire. Biensure, si elle sourit aussi, c'est par ce qu'elle va enfin voire ses grand parents, comme tout les ans depuis qu'elle a eu se courage d'entreprendre son premier voyage pour l'Oasis. Une fois par an, en Lanjis plus exactement, Rajah se met en route pour rendre visite a sa famille. Sa mére etait née sur le sable sous ses pieds qu'elle a du quitté pour l'amour et fonder a son tour une famille. Elle n'en a jamais voulut a ses parents de ne pas vivre au désert, tant qu'ils ne lui interdisait pas de venir ici aussi souvent qu'elle le pouvait.

Elle s'arrêta un instant en voyant au loin les porte de l'Oasis, enfin. Un sourire se dessina sur ses lévres, et elle se mis a courir vers les sentinelles. Elle enleva sa capuche et son turban de sa tête dévoilant ses long cheveux brun et sa peu mate elle souria au sentinelles.

"- Salam Naibs ! Je suis Rajah Ishame. Je viens pour rendre visite au vieux shamans Ishame et a vieille sage Shaïra !"

Les deux sentinelles étaient installées dans la maigre ombre fournie par un des palmiers proches de l'Oasis.

"Tiens, il va falloir avertir le Naib que nous avons un visiteur."

Le second plissa les yeux, observant avec attention la silhouette qui se détachait sur les dunes.

"Une visiteuse je dirais..."

Les deux hommes se turent et observèrent la personne qui s'avançait vers eux d'un pas sûr.

"Oui tu as raison, c'est une femme."
"Tu penses que je n'aurais pas su reconnaître une jeune femme d'un marchand ou d'un guerrier ?"
"D'accord... Je vais aller prévenir l'Oasis de sa venue. J'en profiterai pour prendre deux gourdes fraîches."
"Attendons qu'elle soit là, comme ça tu l'accompagneras."

Peu après la jeune femme ôtait son turban. Elle avait couru les derniers mètres, signe de son impatience d'arriver.

Les deux sentinelles la saluèrent à la mode Nomade.

"Salam Rajah Ishame, le Peuple Libre est heureux de ta venue. Cela faisait déjà longtemps que nous ne t'avions vu parmi nous."
"Tu es devenue une vraie femme pour t'aventurer seule dans le Désert des Larmes. Je me souviens quand nous étions plus jeunes et jouions près de la cascade. Viens je vais te conduire à la tente du Naib. Il sera très content de te revoir lui aussi."

Et il la conduisit auprès des siens.

Rajah se dandinait d'impatiente, et heureuse de retrouver enfin les terres de L'oasis.

"Oh oui, ca fait un sacrée moment ! Et oui, je suis une jeune femme seduisante et forte maintenant ! j'ai presque vingts ans maintenant ! "

Elle riait de ses propos qu'elle disait sur un ton ironique. Puis elle fut surprise qu'il se souvienne encore de ça.

" Diantre ! tu t'en souviens encore ! moi qui croyais que les punaise dans mon genre été fréquente dans les parages...je suis contente que tu t'en souvienne."

Puis elle suiva la sentinelle en souriant.

" J'espere que tout le monde va bien, et qu'il n'y a pas de mauvaise nouvelle..Tu sais, sur les ville du continent, c'est dure de se tenir informer de ce qu'il se passe ici...ça m'aurais attrister de vous savoir en mauvaise posture sans que je ne le sache."

Le jeune homme la regarda et sourit tout en marchant vers les tentes.

"Ne t'en fais pas, ici tout va bien. Le Désert veille sur ses habitants. Mais après avoir parlé au Naib, nous pourrons reprendre cette discussion si tu le veux."

Ils étaient arrivés.