La tente de Tsukasa-kun

Le soleil commencait à lancer ses rayon à travers la toile de la tente, j'entrouvit les yeux, et vis Itsumi, assise sur le lit, en train de regarder le désert par l'ouverture de la tente.

"Bonjour, mademoiselle"

Lui dis-je avec humour, cette nuit semblait lui avoir fait du bien.

"Tu as bien dormie ? J'espère que je n'est pas ronflé"

Aujourdhui, je sentait que j'était en forme et de bonne humeur, malgrès le fait que la guerre soit proche

Itsumi continuais de scruter le désert quand Tsukasa lui parla. Il semblait plus enclin à parler que d’habitude. Peut être que cette nuit eût le même effet sur lui que sur elle.

« Bien merci, cette nuit fut apaisante et réparatrice.
D’ailleurs j’ai l’impression que pour toi aussi »

Elle lui dit cette dernière phrase en souriant puis à la fin laissant échapper un rire.

« J’ai déjà dormi non loin de démon ou de lycanthrope, tu es la dernière personne au monde qui me dérangerait.
Une nouvelle journée vient de commencer.. »

Elle s’arrêta, ne voulant pas parler des elfes noirs.

« J’espère qu’elle sera agréable, pour nous tous dans le camps. »

Elle s’étira lentement puis elle le fixa.

Cela faisait longtemps que je ne l'avais pas vue sourire, et rire. Ces sentiments, elle arrivée à les laisser paraitre. Les sentiments qui pouvaient alors vivre en elle, permettaient, à certain autres de naître dans mon coeur.

"J’espère", a-t'elle dit... Ceci me redonne du baume au coeur, tout ce combat, tout ce temps que j'ai passer à espérer, et aujourdhui, pour mon plus grand bonheur, Itsumi semble pouvoir comprendre ce que j'ai pu ressentir.

"Je l'espère aussi, je l'espère... Mais je doute que ces elfes noirs abandonne leur idée."

Je me redresse, m'accroupi sur le lit, glisse mes bras sous les siens et l'enlace. Je la regarde, mes yeux se noient dans les sien.

"Itsumi..."

Tous ces sentiments ce bousculent en moi, ils voudraient tous sortir d'un coup. Je n'arrive pas à finir ma phrase, paralysé par ce déluge de sentiment

Alors que le Taib la prenait dans ses bras Itsumi resta stupéfaite. Tsukasa l’aimait vraiment. Depuis le temps qu’elle se posait cette question, mais ses signes d’affection ne trompaient pas.
Alors qu’il y a un moment, cela la perturbait. Cela c’était passé bien avant son départ de chez les nomades. En ce temps là, à part Ratus et Nyamo il fut le seul à ne pas se méfier. Mais ils comprenaient les autres. La réaction du Taib l’avait vraiment surprise. Mais en ce temps elle n’avait pas tant tué, et elle regrettait plus ses actes que maintenant. Elle avait appris à vivre avec le poids de ses morts et de ses meurtres.
Ils avaient des caractères et des passés différents
Lui qui semblait si fermé, avec elle il semblait libéré.
Elle restait toujours sur ses gardes avec lui, elle se sentait en sécurité.
Plusieurs questions lui trottaient dans la tête.
Elle le regarda.

« Oui Tsukasa… ? »


Il semblait presque bouleversé. Elle-même l’était inconsciemment, elle se doutait des mots qui allaient suivre.

Ma tête posée sur son épaule, je sentait son coeur battre. Mes bras toujours autour d'elle, je me redressa, la regarda dans les yeux... je plongea mon regard aux fond de ces yeux...

"Itsumi, ..."

Encore cette déferlante de sentiment, j'avais l'impression de me noyer dans mes sentiments, mais cela me rendait de plus en plus heureux.

"Itsumi, je voudrai te dire quelquechose..."

Mon coeur s'emballa, et emporta dans cette course folle mon esprit, je n'arriverait donc pas a finir cette phrase. Je voulais de tous mon être le lui dire, mais mes sentiments, me paralysé non par de la peur, par joie, par la joie que j'éprouvait à les resentir.

"Itsumi, ..."

Ma langue se bloqua, ma gorge se s'assecha, je pris une bonne respiration essayant de contenir encore un peu mes sentiments, de calmer cette fougue qui m'emportait.

"Itsumi, ... Je t'aime ..."

Alors que Tsukasa venait juste de prononcer ses paroles, Itsumi sentit déferler en elle un sentiment d’amour, il était là, mais jusqu’à présent prisonnier au fond de ses lointains souvenir oubliés. Elle le savait, elle le sentait, elle s’y était préparée mais rien n’y changeait, elle restait devant lui, troublée.
Elle le souhaitait depuis si longtemps, ce jour était enfin venu mais cela l’avait surprise. Dans son cœur une dure bataille se livrer. Elle avait toujours pensé que les sentiments étaient source de faiblesse pourtant en ce moment même, elle était en train d’en ressentir. Rien ne changeait à part un bonheur incommensurable qui la parcourait.
Mais aimer quelqu’un signifier le protéger, le suivre et l’aider. Des choses qu’elles n’avaient jamais faites. Elle avait toujours vécu pour elle-même, se protégeant et tuant simplement.
Ce coté qui semblait si dur à faire, faire parti du mal, était si facile finalement.
Rien n’à regretter juste à agir. Tuer pour tuer, trahir pour trahir.
Seulement, en ce moment, chaque geste que je faisais, comptait.
Puis un sourire lui vint.

« Tsukasa.. »

Elle posa son regard sur lui

« Tu n’es pas le seul à aimer. Je..je t’aime aussi.
Bien que je ne comprenne pourquoi tu veux t’engager dans quelque chose avec moi
Peut être que l’amour est vraiment un sentiment fort. »

Elle le regardait tout en souriant, heureuse que ce moment soit arrivé.
A ce moment rien ne lui semblait impossible.
L’amour naît mais ne meurt jamais.

J'avais tellement eu peur de la réaction d'Itsumi, et de sa réponse que le temps semblait s'être arretté pendant que j'attendait sa réponse. Mais finalement, le temps avait reprit son cours, et elle m'a délivré de cette attente, qui semblait devoir durer l'éternité.
Je comprenais tout a fais sa réaction et ses parole, elle n'avait pas encore l'habitude d'être confrontée avec ses sentiments, et avait du aller chercher au fond de son coeur la réponse à une telle affirmation. Itsumi, était sur la bonne voie, j'en avait à présent la certitude.

"Tu comprendra bientôt tous ces sentiments, je te le promet, bien que l'amour soit un des sentiments les plus dur à comprendre, moi même je n'ai pas encore tous compris à ce sentiment. L'amour, est un sentiment fort, comme tu l'a dit, ce sentiment, permet à ce qui le rencontre, de braver bien des épreuves.
Mais tout ceci, tu le découvrira par toi même."

Je regarda Itsumi, passa ma main sur son visage, puis approcha ma bouche de la sienne.

Il s’approchait de moi lentement. Sa bouche était presque face à la sienne.
Elle ferma doucement les yeux.
Tsukasa nous rapprochait.
Je me laissais faire, pour la première fois, je ne fis rien.
Je le laissais agir
Un doux contact entre leurs lèvres se produisirent, puis il hésita un léger instant.
Et enfin il l’embrassa.
Ils restèrent un long moment, ne faisant plus qu’un. L’un contre l’autre, étant les plus heureux au monde. Les secondes paraissaient des minutes.
Au bout d’un long moment, ils reculèrent et se regardèrent passionné.

« Alors tu as vraiment fait ton choix, Tsukasa. Seulement, je comprendrais si tu veux que cela reste entre nous..
Tu as tes hommes et ils ne doivent pas perdre confiance en toi, pas maintenant. »

Elle était triste en disant cela, néanmoins une chose la rassurait c’est que cela pourrait l’aider.
Elle n’était pas appréciée, mais lui l’était. Elle ne voulait pas que tout le monde perdre confiance en lui à cause d’elle.

« J’espère que tu comprends ce que je veux te dire. Nous nous déclarons notre amour en pleine période de guerre. Alors nous ne devons en aucun perdre l’avantage. »

Elle sourit même si c’était d’amertume. Elle attendrait le moment voulu. Elle savait qu’il l’aimait et qu’il voulait que tout le monde le sache. Mais pas maintenant, pas en pleine guerre.
Elle continua à le regarder. L’amour lui donnait presque des ailes, elle était au comble de son bonheur.

Ce baiser, laissa en moi un gout que je n'oublierai jamais, le gout de l'amour réciproque. Je l'aimais, cela ne faisait aucun doute, je ne voulais plus la perdre, je voulais vivre ma vie a ses cotés.

"Non, Itsumi, je n'est jamais caché mes sentiments, je ne commencerai pas aujourdhui à les enfouir au fond de moi. Mais hommes me connaisse, et je pense qu'ils préfèrerai savoir pour nous deux, si je le leur dit plutot que de le découvrir par eux-même. Ils auraient l'impression que je les ai trahit. Enfin c'est ce que je crois, nous verrons bien."

Je ne voulait pas cacher mes sentiments, même si cela devait me nuir, jamais je ne pourrait mis résoudre. Même si pour vivre mes sentiments, je devais quitter l'oasis un certain temps, je les conserverai, jamais je ne les renierai. J'esperait juste que tous les nomades pourraient comprendre mon choix et mes sentiments.

Elle le regarda, il l’a surprenait de plus en plus. Cet amour, lui donnait une telle force, une force qui pourrait l’amener loin.
Elle regardait dans ses yeux cette volonté, il voulait garder le respect de ses hommes mais il était prêt à sacrifier ce respect pour elle.

« Comme tu veux mais sache que j’apprécie ton geste. Seulement il faut voir la réaction de tes hommes.. Je doute que je leur ais laissé une bonne impression.
Mais je suis de votre côté, je ne pense pas que pour le moment cela les gênera. »

Elle espérait que ce qu’elle disait, était vrai seulement un instant plus tôt elle lui avait dit le contraire. Mais le jeune Taib avait raison, s’il leur mentait ce serait encore pire.
Mais elle lui accorda son entière confiance.

Cet amour me donnais des ailes, je me sentait libre, libre comme jamais je ne l'avais était avant, et comme je n'aurait surement jamais pus l'être sans elle. Et pour tout ce qu'elle m'apporte je la remercie, je la remercie elle et le monde, ce mode qui ma permis de la rencontrer.
J'espere que ses sentiments durerons éternellement car les miens je le sais durerons. Je ne voulais plus la perdre, et je ferais tous ce que je peux pour l'éviter.

L'amour est une chose qui peux selon ses désirs éléver un homme au ciel, mais qui peut également le faire descendre beaucoup plus bas que nul ne peut l'imaginer. J'ai connu de nombreuses personne dont l'amour à émerveillée leur vie, avant de disparaitre et de détruire tous les sentiments présents en eux, ces hommes et femmes sont les êtres les plus tristes au monde, car pour eux la pente sera très dur à remonter, et certain abandonnerons même avant d'essayer.

Je la regarde, et je m'élève encore un peu, mes mains glisse sur son corp, un corp qui à connu milles souffrances, et qui est en train de redécouvrir les sentiments. Je la regarde, elle sourit son sourire et magnifique. Et dire qu'il y a quelque temps, j'était près à tout abandonner, quelle erreur aurai-je fais. Je suis heureux, et je sais qu'elle l'ai également.

"Je t'aime Itsumi, ne l'oublie jamais. Peut importe ce que les autres pense, je t'aimerais. J'irai l'expliquer à mes hommes plus tard, pour l'instant je veux passer un peu de temps avec la femme que j'aime"

J'approcha mes lèvre des sienne, puis délicatement, je l'embrassa.

Lorsqu’ils eurent terminé leur deuxième baiser, encore plus passionné et long que la première fois, ils s’arrêtèrent, restant enlacés l’un contre leur l’autre. Un moment certes moins intime mais aussi tendre.
Elle restait sa tête contre son épaule, le serrant.
Après ce long moment Itsumi lui dit :

« Que penses tu d’aller dehors profiter de la journée »

Sans doute la dernière, cette phrase restait dans ses pensées. Elle n’avait aucun contrôle sur cette guerre, et elle ne savait ni quand et comment elle se terminerait.
Elle devrait juste donner le meilleur de elle-même dans cette bataille, le meilleur d’elle-même pour pouvoir continuer son rêve et protéger ce peuple.

Ma tête pausée sur son épaule, je me sentait bien. La guerre, mon exile au fin fond du désert, tous cela n'etait qu'un poin au fond de mon esprit, caché par tant d'amour.

"Oui, allons profiter de ce temps magnifique. Ou veut tu aller ?"

« Hum, je te laisse choisir, je ne connais pas bien le désert »

Ils se séparèrent puis se regardèrent longuement. La flamme de l’amour était toujours là. Leurs regards se ressemblaient étrangement. Le soleil était déjà à son zénith ils avaient passé un long moment dans la tente du Taib. Ils sortirent ensemble de sa demeure.

« Alors as-tu fait ton choix ? »

Elle lui souriait. La chaleur était vraiment lourde, au continent l’air était frais et respirable, mais ici il était étouffant. Mais elle était habituée à la chaleur des flammes. Cela ne la dérangeait pas. Tant qu’elle était avec lui, rien ne la dérangeait.

"Je te propose d'aller dans les jardins, ils sont magnifiques en ce moments, et Si tu le souhaite, Lemac et Sourire pourraient nous y accompagner"

Cela faisait bien longtemps que je n'était pas allé voir les jardins, et Lemac devait déja y être, le connaisant.
Cela fait longtemps que je ne l'ai pas vue, mon exile ma éloignée de tout cela bien trop longtemps, il est temps que je reprenne mes habitudes.

Les jardins cela fait si longtemps. Lemac..Sourire… cela remonte à si loin pour elle. Elle restait songeuse, les temps ont changé pourtant en ce temps là elle s’était liée à un tigre. Une compagne qui ne l’avait pas trahi, mais c’était elle qui avait trahi la tigresse.
Les longues parties de chasses qu’elles avaient faites ensemble, de si bon souvenir.
Ensemble, elles traversaient le désert. Une occupation qui l’avait amusé pendant tout son séjour.
Son désir d’aller aux jardins était partagé.
Revoir le passé, mais aussi affronter le passé et l’inclure dans le présent et peut être dans le futur. Elle ne savait pas.
Devant l’enthousiasme de Tsukasa, elle accepta.

« Bien allons y »

Ils marchèrent d’un pas silencieux jusqu’aux jardins. Elle ne savait pas que le Taib avait le même souci qu’elle. Ils ne se connaissaient pas encore assez pourtant ils se comprenaient pas.
L’homme de l’honneur et la fille de la mort avaient les mêmes sentiments.
Des sentiments aucunement habituels chez chacun d’eux. Il n’y a pas de bien ou de mal, ni de blanc et de noir, seulement du gris. Toutes les couleurs sur un dessin donnent du noir, toutes les couleurs dans un vitrail donnent du blanc.
Mais le blanc et le noir donnent toujours du gris.

Il entre dans la tente du Taib Tsukasa-Kun, profitant d'un instant ou celui-ci ne s'y trouve pas. Il aurait aimé lui dire en face, mais il ne s'en sentait pas le courage. Il avait promis, il fallait qu'il le fasse de toute manière, peut importe l'instrument.

Il déposa la lettre sur l'oreiller du Taib. Sur le dos de l'enveloppe il avait écrit "Pour le Taib Tsukasa-Kun", et il trouvait ça à présent un peu... Désuet...

Il se retira aussi vite qu'il était entré, sans un bruit...



Taib Tsukasa,


J'ai une nouvelle bien triste à t'annoncer, crois bien que cela emplis mon coeur d'une tristesse infinie, mais je dois le faire et j'éspère que tu ne m'en tiendras pas rigueur.
Je n'ai pas les mots pour te le dire, il n'y a pas de toute façon de métaphores assez jolies pour dire ces choses là.

Dame Itsumi est morte.

C'est tout ce que je dirais, rien de plus.
Tu vois je ne suis pas doué pour les mots, mais c'est comme ça...

J'éspère que la douleur n'envahira pas ton âme, et que tu garderas en toi la petite étincelle d'Espoir.

Espoir...


Ton ami, William De La Nouille

Tsukasa, depuis la fin du combat n'avait pas encore remis un pied à l'oasis, préférant rester à l'écart, choqué.
choqué par toute la haine qu'il avait ressenti dans les coeurs ennemis pendant le combat. Choqué par ce qu'il avait fait, lui qui avait jusqu'alors
évité de sortir sa dague. Le matin du combat, il avait du la sortir, l'accrocher à sa ceinture et s'en servir pendant le combat. Faisant de nombreuses
victimes de sa propre main.Assis sur une dune, il regardait avec effroie sa main tremblante après tant d'horreur comises.

Il se releva, glissa sa main sous un pan de sa cape, et se dirigea vers l'oasis. Les siens avait besoins de lui, cela faisait trop longtemps qu'il
était sur cette dune. D'un pas décidé il rentra à l'oasis, regardant autour de lui, tous les nomades s'affairaient à retablir le campement. Tsukasa
allait les aider, mais avant toute chose, il voulait ce débaraser de sa dague, la remettre dans son coffre. en espérant ne plus avoir besoin de s'en
reservir un jour.

Tsukasa se dirigea donc vers sa tente, il entra en courant, se dépéchant de jeter sa dague dans son coffre. Puis referma le coffre et s'assit dessus.
Il releva la tête et vit sur son lit une envellope portant son nom. Tsukasa tendis le bras pour attraper la lettre. En l'ouvrant il reconnu cette odeur.
L'odeur d'un combattant, l'odeur de Lanouille. Il sorti la lettre et la lu.

Après avoir lu la lettre Tsukasa remis la lettre dans osn envellope et la reposa sur son lit l'air calme. Puis se rassit sur son coffre, regardant droit devant
lui, loin dans le vide par l'ouverture de sa tente. Les yeux vide de toute expressions, le Taïb semblait comme pétrifié par la douleur. Il se leva
doucement, ouvrit son coffre, et en resorti sa dague.
Il leva la dague à ces yeux observant la lumière reflété par sa lame, puis posa la main contenant la dague sur ses genoux.

Le Taïb regarda a nouveau au loin, les yeux rivés sur l'ouverture de la tente, serant sa dague dans ces mains.

La nuit est tombé depuis bien longtemps déjà, et à atteind le coeur du taib, calmement assis dans sa tente.

Tsukasa était encore assis sur son coffre, sa dague glissait entre ces doigts. Il faissait tourner la dague dans l'air, regardant les reflet sur la lame.
Encore une fois le destin c'était joué de lui, encore une fois il avait cru pouvoir vivre heureux, encore un fois le destin la laissé esperer, sans doute
afin de le regarder tomber encore une fois.
Les regard vide, depuis qu'il a lu cette lettre, il n'a pas bougé depuis. Il pose sa dague à ses coté, se lève et va chercher une feuille et une plume blanche.
Cette même plus avec laquelle il avait raconté ses malheurs passé, cette plume et sa confidente, jamais elle ne l'abandonnera, jamais il ne serait allez aussi loin sans elle.

Après avoir fini d'écrire, tsukasa se lève, prend sa dague, l'accroche à sa ceinture. Jete la feuille sur son lit. Il enfile sa cape, et dans la nuit clair sort
de sa tente, et se dirige hors du campement.