Dune

Sujet: Re: Dune Mar 10 Jan 2006, 21:13

Je m'avançais dans les dunes jusqu'à arriver aux contreforts des montagnes. Découpées par le vent, les formes en sont oniriques.
Là dans la faible ombre d'une gorge je commence à m'entrainer avec cette arme sublime. Sautant, virevoltant j'exécute les passes. La sueur se met rapidement à ruiseller sur mon cou et dans mon dos.
La chaleur transforme peu à peu les formes des rochers, les rendant presque liquides.
Alors, je décide de me reposer quelques instants et accroupi dans le creux d'un rocher je sorts mon outre puis mes gâteaux secs.
Cette sensation de liberté que m'accordent ces instants de solitude...
J'ai parfois l'impression que le vent dans avec mon corps et que je me fonds dans ces courants invisibles et légers qui m'entourent, me poussent, me soulévent, m'encouragent.
Instinctivement mon regard se porte vers le campement, vers l'Oasis. Bien qu'invisible d'ici, j'ai l'impression de les voir, de les entendre. Le pas cadencé des femmes autour de la fontaine. Les cris des enfants, courant presque nus et noirs de soleil. Le chant des hommes gardant les troupeaux.
L'harmonie est autour de moi, ici dans ce désert, dans cet Oasis, dans ce peuple Nomade... Mon peuple.

Sujet: Re: Dune Ven 20 Jan 2006, 15:39

le jour se couchait et j'étais épuisé. Même si mes muscles étaient forts et souples des exrcices qu'ils avaient pratiqués toute la journée, je n'avais qu'une envie me retrouver près du feu et retrouver les autres.
Reprenant mes affaires je partais d'un pas un peu las vers le campement.

Sujet: Re: Dune Sam 28 Jan 2006, 14:13

Le soleil commençait a pointé sur les dunes, la température montait rapidement et les animaux qui peuple les lieux gagnaient rapidement leurs abris. La chasse était terminé pour aujourd'hui, Ratus repris la direction de l'oasis, il avait pour butin 2 lièvres du désert et un serpent a corne.

Templier Nombre de messages : 28 Date d'inscription : 28/01/2006

Tyr1oine s'éloignait de plus en plus du camp des nomades. Seulement ce désert était un vrai ... désert -.-
Il ne savait par quel côté aller , tout autours de lui n'était que de sable...
Il sarrêta un instant puis songea à Itsumi.

'Tsk...Sont ils aveugles au point de voir qu'itsumi est une tueuse qui a désormais perdue tout ses sentiments...? Elle a failli me tuer des dizaines de fois , elle m'a précipité dans un ravin , elle m'a suspendu à de lalave à la royal vengeance -.-" , elle m'a torturé plusieurs fois , apperement elle a prit goùt à tous ses crimes , je ne peux croire qu'elle ait changée...'

Il reprit son chemin , esperant trouver le plus vite possible le port de l'île des sages...

Les traces seraient bientôt effacées par le vent, il fallait se presser et ne pas ralentir l'allure, sans toutefois tomber dans ce piège qui consiste à s'épuiser. Le désert ne rend pas l'énergie que l'on y dépense.

Les pas longent les dunes et s'enfonçent de plus en plus loin. Levant les yeux vers le ciel et le soleil, d'un blanc éclatant, Lysius reprend sa marche à bon rythme.

'J'espère le rattrapper avant ce soir. Ou peut être même avant...'

Hanasei marchait depuis plusieurs heures, le soleil pesant la changeait du froid de lanjis, si coutumier pour elle.
Le continent était loin et elle marchait toujours.
Elle venait voir les nomades dans un but peut etre désespéré. Mais elle croyait en ces convictions. Elle connaissait Ratus et elle savait qu'il accepterais de l'écouter.
Hanasei marchait depuis trop longtemps maintenant. Le soleil l'épuisait et elle ne s'était pas préparée à cette chaleur.
Hanasei marchait...
entre deux dunes elle s'effondra, la chaleur n'est pas pour elle, le froid n'est pas pour elle, où est donc le lieu où elle serait bien?
Sa vue devint floue, il lui semblait qu'une ombres'approchait vers elle. Peut etre juste une fantasie de son esprit...
Elle s'évanouie dans le sable brulant du désert.

Templier Nombre de messages : 28 Date d'inscription : 28/01/2006

Tyr1oine s'était arrêté en plein milieu du désert. Il avat déja retiré sa cape depuis longtemps , la chaleur était insuportable. Il s'agenouilla dans le sable pour reprendre des forces.

'Bon sang ... Je n'aurai jamais cru qu'il serait si difficile de rentrer ... Je vais y rester si ça continue ... Bien evidemment je n'ai plus d'eau ... Peut être que si quelqu'un retrouve ma cape , j'aurai ma chance ...'

Amouk le fedaykin avait vu la silhouette de la jeune femme s'enfonçant dans le désert profond, aucune chance pour elle il en était convaincu... de cette jeune fille émanait une impression de douce naïveté et d'innocence. Aussi il s'élança sur sa piste et quelque heure plus tard il la trouva effondré dans le sable.
Amouk la ramena au camp, pour être soigné...

La piste aurait été introuvable sans le morceau de tissu qui se détachait sur le fond uniforme du désert. Lysius s'en approcha et vit que c'était une cape. Elle était juste recouverte d'un peu de sable, ce qui signifiait que l'homme était passé par là il y avait peu de temps.
La chaleur devenait de plus en plus forte, mais le jeune nomade savait qu'avec l'avancée du jour, et si l'homme s'était trouvé un abri, il souffrirait du froid aussi sûrement que s'il était sous la neige, cette chose étrange qui tombait en hiver sur le continent.
Lysius décida de forcer l'allure, même si cela devenait de plus en plus difficile.

Au bout de plusieurs dunes, il vit une silhouette agenouillée dans le sable. Il ralentit alors sa course, rien ne servait de courir désormais. Soit l'homme était encore vivant et il le sauverait soit il était déjà trop tard et il était totalement déshydraté.

Templier Nombre de messages : 28 Date d'inscription : 28/01/2006

Tyr1oine , toujours agenouillé , demeurait silencieux , dans la nuit glaciale du désert ... Il se demendait ce qu'il allait lui arriver , mais il ne voulait pas mourrir d'une manière aussi ... simple...
Tandis qu'il se relevait , il entendait à présent le vent qui commencait à se lever. Il se retournait pour faire demi-tour , puis aperçu au loin une silouhette. C'était sa chance ! Etait-ce un nomade ? Pourquoi l'aurait-il suivit jusqu'ici ... ?
Tyr1oine commença à s'approcher de lui rapidement , il avait hâte de sortir de cet enfer.

L'homme se remit debout et s'avança vers moi. je le voyais tituber. Rapidement je le rattrappais et doucement je le couvrais avec sa cape puis lui donnais une gorgée d'eau à boire. Pas plus ça aurait été dangeureux.
Puis nous allâmes nous abriter au creux d'une dune, laissant le soleil terminer sa course et laissant les ombres devenir plus longues, s'étirer sur l'horizon.

"Tu souhaites rentrer chez toi n'est pas ?"

"Oui... Je n'ai pas reçu ici l'accueil que j'espérais. Tu es bien celui qui était assis devant la tente à l'Oasis non ?"

"Oui, c'était moi. Je vais t'accompagner jusqu'au Port d'Oxoroc. Tu pourras ainsi prendre un bateau et rejoindre ta famille, les tiens."

Après quelques heures durant lesquelles il bu petit à petit et mangea une bonne partie des gâteaux secs, nous repartîmes en direction de la mer.

Me voilà en train de gravir ces dunes vertigineuses alors que ce vent souffle toujours et efface les pas de mon chameau au fur et à mesure. La lune ne brille pas cette nuit comme si elle ressent la tristesse de ceux qui demain s’apercevront de ma disparition.
Ces dunes du Désert des Larmes, théâtre d’évènement depuis des générations, je les gravis pour la dernière fois. Une fois en haut de la crête, je descend de mon chameau et me place face à l’oasis que je surplombe. Je le distingue mal par cette obscurité, seul un feu de camps à l’abri du vent me permet de le deviner. Je m’agenouille posant mes mains sur mes cuisses et prend le temps d’un moment de recueillement dans lesquels je prononce cette phrase dans un ancien dialecte nomade :
« Au revoir belle oasis, peuple courageux, continuez à croître et que vous puissiez vivre en paix à jamais. »
Et je pris un cor nomade qui traînait dans un sac sur le coté de ma monture, et d’un souffle, j’envoyais un son profond se mêlant au vent.
Le vent se met à redoubler de violence. Mon chameau commence à montrer des signes d’impatience et je me lève alors pour repartir vers une route que je ne connais pas encore. Je m’abriterais juste dans une grotte non loin de là, le temps que la tempête se calme.
C’est étrange cette tempête soudainement plus forte. Serait-ce ma fée qui se manifeste ? Je ne sais pas.
Je dirige alors mon chameau vers des contrées lointaines totalement à l’opposé de la cote menant à Trigorn. J’ai une pensée pour Poeri et Lisèn, qui j’en suis sur rempliront leurs rôle de parrain et de marraine aux coté de ma douce Nyamo.
Me voilà partis. Je me retourne une dernière fois devinant dans l’obscurité l’oasis s’éloigner au fur et à mesure. Je donne une frappe à mon chameau pour qu’il accélère le pas et redescend sur l’autre flanc de la dune. Je disparais dans les profondeur du désert.

Au revoir peuple héroïque.

Je ne vous oublierais jamais.

L'Oasis semblait peut à peut reprendre vie, tsukasa comme à son habitude scrute les profondeurs du désert du haut d'une dune, à l'écart du campement, Lemac à ses cotés.

Il avait été averti depuis peu par Lemac du retour du Muaddhib, et cela le reconforta. L'oasis allez revivre comme avant.
Il s'avait que rien ne pourrait redevenir réellement comme avant mais que cela pourrait y ressembler, à peu de chose pret.

Ce temps passé à scruter le desert lui avait appris bon nombre de choses, emplie de cette sagesse du désert, Tsukasa savait que ses blessures resteraient à jamais gravé dans son coeur, mais il devait allez de l'avant sans pour autant oublier le passé.

"N'oublie rien, ne t'avise pas de détruire ton passé, car celui ci est ta vie", disait-il aux nomades regrettant les temps anciens.
"Les hommes font des erreurs, mais ces erreurs font parties de ta vie. Si tu renit ton passé, alors lorsque la désert te reprendra tu n'aura eu qu'une demi-vie".

Beaucoup de Nomades avaient observé ces changements en Tsukasa depuis son arrivé dans le desert, ou il n'etait un jeune homme naif.
Tsukasa possédé désormé une grande sagesse, cette sagesse été comme le disait certains Nomades, un cadeau du désert.
Mais il s'avait que cette sagesse venait de la douleur, et de la tristesse qu'il avait eu à endurer ces derniers temps.

Sujet: Re: Dune Jeu 27 Mar 2008, 15:41

Ratus était assis en tailleur au creux d'une dune. Le visage dans l'ombre de son turban, seuls se yeux semblaient vivants.
Tout autour de lui étaient disposés des cailloux de plusieurs couleurs ainsi que divers ossements de petites créatures.
Si on prenait la peine de bien regarder, l'on pouvait se rendre compte qu'un dessins ressortait de cette disposition.

La sentinelle accompagnée de Murtagh, arriva et salua le Naib sans bruit, indiquant au Templier, d'un geste, de rester à ses côtés.

Ratus releva les yeux et le son cessa. Il avait été imperceptible jusqu'à ce que son absence rende subitement le désert silencieux.

"Salam visiteur. Je peux voir que tu es un Templier. Que vient donc faire un ami du Peuple libre auprès de nous ?"

Sujet: Re: Dune Ven 28 Mar 2008, 12:45

Toujours prit dans ses pensées d'echec, Murtagh n'agit pas. C'est apres une bonne minute qu'il prit conscience que quelqu'un l'avait salué. Il salua à son tour cette homme mystérieux pour lui.

C'est quant-il entendit la question, qu'il commença à s'énerver...

Je le tuerai, ce clown. Il payera pour le mal qu'il m'a fait.

Puis, en regardant l'homme qui lui avait posé la question, il lui réponduit

On a ouvert mon esprit,
Mes gestes, mes sentiments ont été volés.
Un crime, on a voulu me faire accusé.
Ce démon; tu dois le bannir de ma vie.

....................

Un... *en se tenant la tête* démon a réussi... à prendre mon corps, mon esprit, à souffert. On m'a envoyé ici, on m'a dit que Ratus pouvait me guérir.

Le rodeur soupira, d'un signe de désespoir...

J'ai échoué.

Sujet: Re: Dune Sam 29 Mar 2008, 03:27

Ratus fit signe à l'homme de venir s'asseoir à ses côtés.

"Assieds toi et raconte moi calmement ce dont tu te souviens et ce qu'il t'est arrivé. Les possessions démoniaques nous font souvent faire toutes sortes de choses indépendantes de notre volonté."

Ratus prit un petit encensoir et y versa un peu d'épice. Rapidemment des volutes s'élevèrent.

"Libère ton esprit et parle, tu dois me révéler ce dont tu te souviens et tu as conscience"

Sujet: Re: Dune Lun 31 Mar 2008, 14:59

Murtagh ne pouvait etre calme, l'echec et la trahison de son esprit était trop forte pour cela. Il pensait fortement...

J'étais sur le quai de Trigorn, un clown s'approche de moi... Il me demande mon nom : Murtagh.
Je pars pour allez sur Trigorn, je tombe. Un trou noir.

Je me relève, j'ai mal à la tête. Je regarde mes mains, elles sont rouges. Je me regarde via mon reflet dans l'eau, je suis devenu un crapeau rouge, aux yeux de sang. Pas loin de moi, un homme, un mendiant je dirai, vu ses vêtements... Il est mort.

Je réalise que mon épée est ensanglantée, l'ai-je tué?

je pars au Temple, j'iy rentre discrétement et je préviens Oriana... Quelque chose me controle, je ... je ... impossible de bouger, je controle plus mon corps, mes mouvements, mes paroles... Mon esprit est bafoué...

Le rodeur transpirait beaucoup, la colere le prit peu à peu...

J'interpelle un homme, je ... ou plutot il lui dit de prévenir Poeri... Je comprends pas...

J'avance malgré moi vers un bateau. La, un Soldat m'interpelle et me dit de me rendre, je le frappe à la tête, il tombe. Je prends alors cette barque, et je pars sur une île que je connais pas. J'entends quelques choses dans ma tête, il me dit << Trouve moi ce livre, ou tu perdra cette vie.>>

Je cherche un livre, je suis surveillé.

POERI ! il arrive avec beaucoup de monde... je perçois plus rien... si !

Une pretresse, Oriana, elle à appelé son dieu et à utilisé un pouvoir contre moi... Je ... tombe.

Je me rapelle pas.
J'ai échoué.

Cela faisait un moment que Murtagh parlait avec Ratus. Néanmoins, le mal l'appelait. Il appelait la lame, la colere, le sang. Murtagh le savait : si le démon revenait il pourrai faire des crimes immondes... La volontée d'un elfe est perçu comme bénéfique chez les hommes. Elle dévoile leurs facette ultime en matière de la réflexion et la mise en point de lui meme, seulement, le mal était maitre sur l'elfe, malgré les potions et autres objets utilisés sur lui.

'Réveille toi, esclave. Nous avons du boulot.'

Il observait l'homme.
Pas seulement son apparence et ses mots, mais cette substance indéfinie que les gens du continent nomment l'âme et que les nomades nomment l'essence.
Elle se trouble régulièrement, facettes multiples des passions vives, facette sombre de l'être malveillant qui souille cette essence de sa volonté.

"Tu ne dois pas avoir peur de cette partie d'ombre en toi. Tous, nous en portons une en nous. C'est par là que les démons s'infiltrent en nous, qu'ils nous manipulent, nous privent de notre liberté."

Ratus se leva et secoua un peu de sable sur sa tenue.

"Je vais t'aider, viens et laisse tes armes ici. Je dois te montrer une chose essentielle pour que tu redeviennes toi même."

Le visage du voleur était pâle, son sang bouillonait, tout comme ses yeux qui devenaient rouge enfer. Murtagh était plus la, le démon inconnu était la. C'était l'échange des esprits, mis à part que Murtagh ne pouvait rien faire. Le nouvel être regarda froidement Ratus dans les yeux, avant de lui lacher ses mots.

Murtagh ira nul part.

Ratus et Murtagh se firent face. Alors que le Naib commençait à pratiquer un exorcisme, F'lon ami du Peuple libre survint et aida le vieil homme à maîtriser Murtagh, qui possédé n'était plus lui même.
Devant le danger le Démon Door'ss qui l'habitait s'enfuit laissant le jeune templier désorienté.

Afin d'éviter qu'il ne revienne, Ratus offrit alors à Murtagh un collier de cuivre, orné d'un pendentif représentant une rose des sables. Grâce à cet artefact magique, le Démon ne pourrait plus envahir son esprit.

Une fois rassuré et reposé, le jeune homme s'en retourna sur le continent, porteur d'un coffret empli d'Epice pour le Temple, présent des Nomades pour leurs plus anciens alliés toujours actifs.

(Ce rp s'est déroulé Ingame)

» le soleil... ratus