Chapitre 1 Le Muad'Dib rejoint le désert

Le Muad'Dib

Il y a si longtemps que j'ai quitté mon désert.
C'est le coeur serré répondant a un appelle mystique qu'avec quelque compagnons de fortune, je me dirige vers l'oasis qui ma vue naître.
Je ne parlerai pas d'eux. Chaque voyageur a sa part de secret tout bon nomade le sait !
mes yeux bleus de nomade, on la particularité de voir très loin dans le désert.
Ils mon toujours étaient utile lors de mes longs voyages dans le désert des larmes.
La perception a toujours était l'arme première du chasseur !
"Regardez compagnons, regardez la bas !"
Deux formes se dessinent étendue sur le sable. Celle de malheureux voyageurs perdus et mort de soif.
Nous approchons, ils vivent, ils vivent encore ! Mes yeux se portent sur l'un des deux hommes c'est sans doute un soldat pourtant son visage est celui d'un homme de paix.
Une pensée me vient et si ! Et si c'était le muad'dib !
ratus mémoire d'un nommade

Ratus

Poussières

dans cette poussière
Dans cette chaleur !
Trouverai je peu être le catalyseur !

le fou la quête du catalyseur

Une nouvelle terre


*Le soir devant les quais du port de l'île des 5 sage. Un camp est dressé a proximité*

Danakir:Lieutenant Sayagi.

Sayagi: Oui commandante Danakir?

Danakir: Les préparatif pour le départ sont ils prêt?

Sayagi: Oui madame. La carte à été trouvé. Les bateau acheté et les vivre stocké. Nous n'attendons que votre signal pour partir.

Danakir: Je ne sais pas. J'ai entendu dire qu'un certains lanouille que je connais serai sûr l'île. Je veut le revoir.

Nous attendrons quelque jour. J'espère avoir de ces nouvelles. Vous pouvez disposé.

Sayagi: Oui commandante

*après qu'il soit parti*

Danakir: Si il existe un dieu sûr cette terre balayé par le vent du chaos qu'il écoute ma priére. Faite que Le Domaine ne soit pas qu'une légende. Il en va de l'utopie.

Danakir

L'oasis


L’Oasis est Havre de Paix. Ici, on ne verse pas le sang.
Qui conques vient a l’oasis, reçoit l’hospitalité qui lui est du. La survie dans le désert est une priorité. C’est notre Loi, c’est notre coutume.

Notre caravane était disposée à l’Est, près de la zone de pâturage, pour nos moutons.
Nous devrons bientôt repartir, nous devons revendre les peaux et le venin des serpents.
La chasse dans la région est bonne, ces reptiles sont nombreux. Il faut dire aussi que nos chasseurs sont valeureux.

Le soir, plusieurs familles se réunissent assis sur des coussins en peaux de blobs, pour manger et rire.
On y joue de la musique, et on danse tous ensemble sous les étoiles et les palmiers.

L’eau, qui nous permet de vivre, et fait pousser la végétation, si rare dans le désert.
L’air, le vent, qui déplace les dunes, en perpétuel mouvement.
La terre, immobile, mais si solide, les racines du monde.
Le feu, la chaleur du soleil, si terrible, mais aussi la chaleur d’un feu la nuit.

Nous vénérons les quatre éléments, qui ensemble réuni, apporte la Faune et la Flore, la Vie.
Nos Shamans comprennent en partie ces éléments. Mais ce sont des esprits libres, nous pouvons avoir de leur part des conseils, mais rarement de l aide.

Nous sommes un peuple fier, cultivé, mais souvent incompris.
A la grande ville, les gens nous regardent de travers, comme si nous étions des sauvages.
Mais nous ne nous préoccupons pas des préjugés. Notre vie nous suffit, nous n’avons pas à nous expliquer.

L’ancien nous a convoqué aujourd’hui, il demandait l’avis du conseil pour le départ de demain. Tous les préparatifs était fait, le conseil jugea qu il était bon de partir.

Le lendemain, la caravane, était parti, aligné sous un soleil levant.
Nous nous dirigions vers la grande ville.
Mais nos ennemis, le peuple Arrakis nous avait préparé une embuscade.
Ils nous ont assaillis deux jours après le départ de l’oasis.
Ce fut un massacre. J’en suis sorti indemne, je me demande bien comment.
Je crois avoir pris un coup sur la tête, et il m ont laisser comme mort.

Je n avais plus mon père. Les hommes avaient été tués. Il ne restait que les femmes, sacrées, car elles apportent la vie.
Elles sont retournées vers l’Oasis. J’ai préféré attendre. Je ne pouvais partir de ce lieu si vite.

Je m’appelle Sharrack, je ne crois plus être un enfant. D’ailleurs, je dois apprendre maintenant à remplacer mon père.
Je ne suis pas triste, je sais qu il va renaître dans un autre corps, tel est le destin de tous les nomades du Désert des Larmes.

Je me levais et commençait à partir, lorsque j aperçus des silhouettes au loin. Je pouvais les compter, ils sont sept, et certains se font porter.
Je partais à leur secours. Quel fut ma joie quand je reconnu mon oncle Ratus. Il me présenta ses amis.
-« Tu te rappelles de Pat Hibulaire, il m’avait épargné de belle blessures face à une attaque des loups, il y a bien longtemps petit, et voici son ami Aegis.
Voici des Soldats de la Grande Ville, Skim et Ratatouille, ils portent un homme très fatigué, le désert pourrait avoir raison de lui, il faut le transporter a l oasis. »

Il approchait les bêtes pour y déposer l’homme et en me regardant dans les yeux, il me dit –« Prends grand soin de lui petit, j ai regardé son visage, et le vent m a soufflé son nom à l’oreille. C’est celui qu on attend, c’est le Muad’Dib. »
La légende, serait-ce possible ?

-« Oncle Ratus, et lui qui c’est ? » dis je en désignant un être a la pâleur extrême.
-« Lui, je ne sais pas vraiment, il m’a simplement dis s’appeler Fou. »

Sharrack

Ironie

une amie ma donnée une bouffé d'énergie
Elle ma redonner goût a la vie.
Je c'est qui est le catalyseur.
Il a toujours était a mes cotés.
Pourvu qu'il survive a cette fièvre !
Le perdre maintenant serait une triste ironie !!!!

Le fou la quête du catalyseur.

La planque

Ouaip, finalement c est ptete pas trop mal ici.
Pis de toute façon, j’pouvais plus rester à Trigorn. Je dois me faire oublier.

Ratus m’a un peu montré les plaisirs de la chasse, bon c’est ptete pas si passionnant que ça, mais je dois dire que la viande est meilleure qu’a la ville.

Et pis ici pas de gardes. La belle vie !
Je peux sortir sans me cacher, personne ne pose de questions.
Et les gens sont sympas. L’ambiance le soir, quand tout le monde est réuni, on rencontre pas ça partout.
Faut dire aussi que les damoiselles qui dansent devant moi à moitié nues, bah ça me fait quelque chose
Je demanderai bien a Ratus si j ai le droit d’en amener une sous ma tente, mais les gens d’ici on des coutumes qu’il vaut mieux essayer de suivre.
C’est dommage, j’ai entendu qu’avant l’acte, il était coutume de fumer de cette épice. J’en avais déjà entendu parler, mais faut la bourse d’un empereur pour s’en payer.

En générale, ce sont les shamans qui l utilisent. Ratus m’a dit que le guérisseur a été obligé d’en donner au Muad’Dib, sinon il serait mort a l’heure qu’il est.
Ferais pas mal d’en donner à ce fou ouais ! Il a pas bougé de l’entrée de la tente depuis trois jours. Et sa pâleur, je me demande s’il est pas malade lui non plus.
Enfin, puisque y dit que ça va !

Bon, je pense que je vais rester quelques mois, en plus que l’hiver ne tardera pas à venir.
Il fera bien meilleur ici.
Et j’ai l’impression que je peux me rendre utile. Ca m’était pas arrivé depuis un bon moment.

Pat Hibulaire

Prophetie aléatoire

Une destinée si grande !
suspendue sur la lame d'un couteau
en ces temps ou l'incapable est félicité
ou le Juste reçoit des cailloux
le Catalyseur, le Muad'dib
de lui l'espoir renaîtra.

Prophétie aléatoire le Fou.

L'aube

J'ai toujours aimé le spectacle qu'offre le désert au petit matin. le désert et si merveilleux.
Je prépare mon arc mes flèches, tous mes ustensiles de chasse, des gestes méticuleux et sacré appris de génération en génération, la chasse est pour nous nomade un véritable Art...

Machinalement je passe devant la tente du Muad'Dib, de l'herbe semble pousser a l'entré présage de vie et de fertilité !
Le fou dort devant la tente comme un chien devant la porte de son maître, quelle créature bizarre.
Il murmure en dormant : "Le catalyseur... Meure pas, prend en moi !..."
une femme surgit : "Naib, le Muad'Dib il se réveille !"
Un sourire s'affiche sur mon visage dur et buriné d'homme du désert : "Qu'on le laisse, il est encore faible".
Je part de l'Oasis heureux les présages sont bon la chasse sera bonne ! Le désert deviendra un jour un grand jardin !

Ratus le Naib.

Réveil

Je me réveille dans se désert brûlant, encore fiévreux, le soleil auquel j’étais peu habitué avait eu raison de moi une seconde fois. Engourdis mais vaillant j’ouvrais mes yeux et faisais un rapide tour des lieues. Un voile ocre était tendu tout autour de moi, un dôme pointu était situé au dessus de ma tête. J’étais donc dans une tente au tissu léger. Allongé sur le dos, profondément engoncé dans un matelas de plume, je me sentais comme assis sur un nuage. Des tapis magnifiques aux couleurs chaudes etaient situé sur le sol . De belles plantes vertes poussaient sur mes cotés et une commode abritait une multitude de pichets en argent et autres gobelets. Je fis un effort pour me souvenir des derniers événements. Mon arrivée avec skim, ma découverte de ce magnifique oasis puis plus rien. Maintenant j’étais ici. Des bruits de pas se firent entendre au dehors, je fixais l’entrée prêt a voir ma future visite. Un homme entra dans la tente, un turban rouge enveloppait son cou puissant, des vêtements aux longues manches rayés rouge et or lui donnait une apparence de puissance. Je lui avais déjà parlé, je m’en souviens.

-« Bonjour a toi, noble muad’dib. Je vois que tu guéris vite. Je t’aurais cru plus résistant a la chaleur. »
Un petit rire l’animais alors.
-« Bonjour messire, puis-je avoir l’audace de vous demander votre nom, et votre fonction ? »
-« Ne me parle pas comme ca, nous sommes tous frère ici, tutoie moi et soit mon ami. »
-« Bien »
-« Je suis le Naib Ratus, le maître du peuple nomade, enfin pour l’instant, je suis le nouveau chef de cette tribu si merveilleuse. »
-« Et que signifie muadib ? »
J’écorchais le nom avec une maladresse déconcertante.
Le Naib ce mis a rire.
-« Pas muadib, mais muad’dib. Tu es l’être que l’on attend, tu es celui qui apportera la prospérité et la joie a notre peuple. Un long travail t’attends, mais nous veillerons sur toi, rassure toi. »
-« Mais je ne comprend pas, je suis juste un ancien soldat, je n’ai aucun moyen de vous aider, je suis désolé de vous décevoir tous, mais ca n’est pas moi le muad’dib. »
Ratus se mit a rire de bon cœur.
-« Bien sur que c’est toi ! ! Tu ne le sais pas encore, c’est tout. Regarde la porte de la tente. »
Je me penchais sur le coté, découvrant une herbe grasse poussant au milieu du sable.
Le Naib repris.
-« Tu vois cette herbe, elle n’était pas la quand tu est arrivé, elle est le signe même que tu es le muad’dib, le seul et l’unique. «
-« Je ne suis pas sur quz cette touffe d’herbe est un rapport avec moi. »
-« C’est le signe de ta grandeur. Maintenant je te laisse réfléchir sur ton sort, tu est notre chance, ne nous laisse pas. A bientôt mon frère. »

Ratus sortis de la tente me laissant seul dans cette grande toile. J’allongeais ma tète sur les coussins fixant d’un regard vaque un insecte posé sur le voile. Comment cela serait possible, la destinée de tout un peuple entre mes doigts parce qu’une touffe d’herbe hirsute poussait au pied de ma tente. Mais si cela était vrai, si je devait amener la prospérité a ce peuple nomade ? J’ébauchais un plan dans ma tête, ca pourrais se faire, ca ne serait pas de la magie mais avec du travail, et quelques plans, je pourrais faire quelque chose. L’oasis peu fournir de l’eau, avec des sillons et des canaux nous pourrions déverser l’eau sur des terres cultivable. L’argile naturel est un très bon matériau pour les bâtiments. Hum… Je vais devoir me mettre au travail. Je sens que je ne vais pas beaucoup me reposer, mais cela en vaut peu être la peine. Nous verrons bien…

La Nouille

Le récit d'un vieillard

Trop longtemps j’ai marché dans se désert, trop longtemps j’ai chercher des réponse a mes questions. Mais jais compris ces réponse en question se trouve dans se peuple du désert.
La grande réponse est le muad’dib qui apportera la clef au serrure trop longtemps rouiller par le temps.
Le voir, lui le sauveur je le verrai en temps voulu, sa fatigue démontre un grand combat dans son cœur et nous ne nous laisserons pas le tuer nous le défendrons nous nomade, peuple soit disants primitif abrite en ces lieux le sauveur de l’humanité entière.
Oui lui ce peuple persécuter, comment expliquer qu’il abrite des groupe de population fuyant les dictature de terreur ou ces idées sa penser sa parole on oit se la garder. La seule affirmation possible c’est que ce peuple n’est pas une armer barricadée derrière des murs et des lance, non ! C’est avant tous une population possédant la clémence l’écoute, le recule. Ces qualités primordiales pas tous le monde les ont en sa possession mais peuvent les acquérir avec le temps, d’autre ne se donne pas la peine de le prendre se temps infime dans toute une vie.

J’en reviens a m’excuser a Xanth l’aveugle ami souvent mal compris qui mérite d’être respecter et considéré comme un sage.

Ratatouille l’Ancien maître sorcier Sayydina

Discution nocturne

ce la f ait 4 jours que le muad'dib est parmi nous et j'avance de surprises en surprises je passe des heure a le regarder faire je suis passé le voir hier soir. il était la.. assis sur un rocher, la tête regardants le ciel bleu étoiler seule. il émettait de drôles de sons ...
je compris par la suite qu il communiquais avec le vent qui l'entourait . Il restait poser sur son rocher regardant les étoile habillé d'une chemise et d'un pantalon fabriquer grâce a la laine de nos moutons. Il murmurait et le vent lui répondait en lui soufflant une brise chaude dans les cheveux d’un coup, il arrêta de murmurer et se tourna vers moi et me demanda d'une voix légère et mélancolique:
"-que m'arrive t'il? quelle est cette chose en moi qui au début était si faible et qui grandit de jours en jours?
-..c'est ton pouvoirs muad'dib il grandit chaque jours a la lueur du soleil et a la a la chaleur du désert. le désert t'a appeler et tu es venus. lui répondis-je simplement
-Pourquoi moi ? pourquoi m'a t'il appelé moi
j'eus un moment de réflexion.
-hum car tu es la personne possédant le plus de clarté, et cette force si rare que nous appelons l'espoir!

il se tourna ferma les yeux levant la tête et dit
-alors j'apporterais l'espoir, tel est la volonté du désert.
Je sourit et lui répondit avec simplicité :
-repose toi demain une longue journée t'attend, le conseil des 12 caravanes nous rejoignent a l'oasis.

Ratatouille l'Ancien

Un soir

Muad’dib, Muad’dib ! Les enfants forment un cercle autour de moi. Dansant, chantant, toujours heureux et joyeux. Je suis devenu depuis quelques temps l’attraction du camp, surtout pour les gamins. Je joue le jeu évidemment. Essayant d’attraper les charmants bambins, les laissant s’échapper au dernier moment, les laissant croire qu’ils ont réussis a duper le Muad’dib. Cette escorte de petites têtes blondes m’accompagne jusqu'à la tente du Naib. Il médite assis, sur le sol fait de tapis, les yeux mi clos. Cela fait plusieurs jours qu’il ne dort pas. Je le vois aux poches sous ses yeux et a la barbe naissante qui lui donne cet aspect dépravé. Je n’ose le déranger et recule de quelques pas, le laissant seul dans ses pensés. La ribambelle de marmots a trouvée une nouvelle occupation et se passionne désormais pour un gros lézard qui se dorlote au soleil, sur la pierre fraîche du puit. Je m’approche doucement, me glissant dans la petite troupe, me fascinant moi aussi pour l’animal. Mais déjà le soleil se couche et les mères rappellent leurs enfants au nid familial. Adieux plein de nostalgie entre gosse, une nuit sans ses copain, ca fait quand même long. Moi je reste là, je n’ai plus de maman pour m’appeler au dortoir, juste une tente vide et froide qui m’attend.

Alors je m’assois, face contre cet énorme astre rouge. Faisant remuer mes mains dans le sable fin. Je dessine un personnage imaginaire du bout des doigts. Un visage d’Eve, un ange, peut être une déesse se dessine sous mes mains. Athéna me revient a l’esprit, elle qui m’a sauvé la vie, je tente désormais de l’oublier. Je contemple ce visage dans le sable, l’air frais s’engouffre dans mes longs cheveux. Devant moi l’horizon enflammer offre un spectacle troublant. Là bas des hommes fouillent le sable a ma recherche. Cherchant désespérément un soldat oublié, pour le faire taire à jamais. Mais ils ne me trouverons pas, car jamais je ne me rendrais. Pour rien au monde je retournerais chez ce peuple barbare et primaire qui se dit « évolué ». Cela fait peu de temps que je suis ici, mais déjà je comprend beaucoup. Quand je vois ces hommes qui pillent, tuent, qui torturent et violent pour des paroles sacrées. Ces hommes qui utilisent le mensonge comme vérité universelle. Jamais ces hommes ne seront a la hauteur des arbres qui m’entourent, aucun d’eux ne mérite l’attention qu’on leur porte. Hélas j’ai fait parti de ces hommes. Maintenant je suis juste fatigué, fatigué de ce pouvoir qui corrompt les plus purs, fatigué de voir les atrocités du monde. Ici tout semble paisible, pas de massacres, ni d’exterminations, pas d’insultes, ni de violences, même pas une once de méchanceté dans le regard des nomades. Les hommes ne sont pas a l’affût de la moindre personne féminine qui se présente, et les dames ont le droit a tout le respect qui leur est du.

Le soleil disparaît peu a peu. J’aimerais parfois devenir ce soleil, ce gros ballon rond qui enchante le monde et disperse ses rayons de bienfaisance. Malgré l’horreur, et le spectacle horrible qui s’offre a ses yeux il a toujours la force de revenir chaque jour.
Mon corps est léger a présent. Le noir et le mauve se confondent dans un ton uniforme. La lune se montre de même que les étoiles. Je n’avais jamais pris le temps de les regarder auparavant. Je ne m’aperçois que maintenant de la beauté du ciel la nuit. Prendre le temps d’observer la nature, cela est primordial. Si la plupart des hommes s’intéressaient aux arbres et aux oiseaux, aux enfants et au ciel, alors ils comprendraient bien des choses.

Je sens comme une présence autour de moi, le vent se lève. Un petit tourbillon de sable m’enveloppe, fouettant ma peau en une multitude de petits impacts. Je frissonne. Le désert est lugubre la nuit. Le silence y est oppressant mais réconfortant. Je jette un dernier coup d’œil aux étoiles, leu souhaitant a elles aussi une bonne nuit, qu’elles veillent sur les nomades. Je retrouve mon nouveau chez moi. Banquette garnie de coussins, commode de style oriental, sol de tapis, coussins ornés, disposés de façons précises. Moustiquaire argentée au dessus d’un lit a même le sol. On dirait une fontaine d’argent sortant du ciel. J’aime beaucoup cet endroit. Il ressemble à un cocon douillet ou l’on se sent à l’aise. J’allume une bougie qui disperse immédiatement sa chaleur dans toute la pièce. Je me verse un thé tiède. L’hospitalité des nomades est sans faille, je doit penser à les remercier pour tout ce qu’ils ont fait.

J’écarte le voile de la moustiquaire, éteins d’un souffle léger l’unique source de lumière et ferme les yeux. Je revois ce visage sur le sable. Puis je m’endors…

La Nouille, Muad'Dib, nomades du désert

Chant nomade

Je m'impregne désormais de la culture nomade, je la sens, coulant lentement dans mes veine. Je m'immerge dans ce peuple du bout du monde, dans cet oasis de lumiere. Voici une de leur tres belle chanson. J'ai bien peur que la dame, evoquée ici ne soit autre que le visage dessiné sur le sable, et qui depuis hante le plus profond de mes nuit. Qui est elle me direz vous? Et bien sans doute nous le decouvrirons en temps voulu.




Arrive la guerre, acier multicolore
Mille cavaliers aux manteaux brodés d'or
Gravée une couronne, cheveux d'or pour mains d'acier
Brillent lances, glaives dansent sous leurs mains d'acier

Mille regards de flammes inondaient le désert
Autour des dunes, des héros séculaires
Et le sang du serment balayera le temps
Par le feu de leurs yeux renaîtra le temps

Renaîtra le soleil, l'amour et le vent
Refleuriront les palmiers au début de mai
Reviendront l'hirondelle et la gazelle
Le jour vainqueur des ténèbres aura goût de miel
Goût de miel

Survolant le flot, la dame nous emmène
Vers les îles blanches éternelle
Par son corps naîtra l'aurore, la félicité
Cheval d'or, galop d'or vers l'éternité

Renaîtra le soleil, l'amour et le vent
Refleuriront les palmiers au début de mai
Reviendront l'hirondelle et la gazelle
Le jour vainqueur des ténèbres aura goût de miel
Goût de miel

La Nouille

Les dames nomades

Une journée commençait, une fois de plus au coté des nomades. Je connais que peut de chose sur les nomades, j’apprends petit a petit a les connaître et a les comprendre. Aujourd’hui je décidais de me tourner vers a la gente féminine. Les femmes ont chez les nomades une place bien particulière. Dans la plupart des sociétés civilisées les dames ont une place précise, le plus souvent a la maison, a s’occuper des taches ménagères et des enfants. Ici c’est diffèrent, bien sur les femmes continuent d’enfanter, mais l’éducation des enfants, ce fait par les deux parents, chacun on une part égale de responsabilité envers l'enfant. Pour les taches ménagères c’est la même chose, les deux adultes font les même taches, a parts égales, le mari peut faire la cuisine et la femme réparer la charrette ou l’inverse. Certain bureaucrates verront la une attaque a la féminité, pour ma part, je trouve les femmes nomades, tout aussi féminine que celle du continent, mais surtout bien plus libre. En revanche elles ont des taches particuliers, le plus souvent accées sur l’art et la culture. Nombre d’entre elles sont des poétesses aguerries. Nombre des ballades nomades sont le fruit de leurs imaginations. L’art a proprement parlé est pratiquer donc en majorité par les femmes, surtout pour la sculpture, leurs créations en terre cuite ornes les tente de tout les nomades, et la beauté de leurs statuette rivalise avec les plus grand artiste de part le monde. Je n’ai jamais vu de telles créations de ma vie, les visages de déesse et de héros sont si bien représentés, on pourrait croire qu’ils vont prendre vie. Leur don primordial réside pourtant en leur croyance en la nature, elle la façonne avec une telle facilité, cela est déconcertant. Les jardins de l’oasis sont si beaux, je peut les comparer aux jardins d’Athena, jardin des immortels. Des fleures de couleurs chaudes se marient dans un enlacement mutuelle et un arrangement de couleur qui ravis les yeux autant qu’un beau couché de soleil, les palmiers s’y croise en voûte céleste, laissant tombé des gouttes d’eau, accumuler sur leur dômes depuis la dernière saison des pluie. Des haies d’orangers aux fleures blanches éclatantes forment des allées parallèles. Des roseaux entrelacés formes un quadrillages parfait recouvert de lierre du désert, protégeant ainsi les petites plantes grasses de la chaleur du soleil. Tout cela sur un épais tapis de gazon vert, parsemé de longue tiges au plumet blanc, des puits parsèment ces jardins, facilitant leur entretient. Ces jardins sont si bien entretenu que l’on pourrait croire que cela est la résidence d’un dieu.
Les femmes nomades sont aussi très douées quant a la fabrication d’objet précieux, tandis que les hommes ramènent parfois dans leur caravanes des pierres précieuses glanés dans des mines ou acheter a des marchands, les femmes elles, en font des accessoires et autres bijoux d’une rare beauté. D’ailleurs les femmes nomades portent toute pour la plupart de superbes parures, renforçant leur beauté sauvage.
Leur beauté de déesse et leur peau brune, font de ces dames un objet de convoitise pour de nombreux marchands d’esclaves. Quand aux mariages les femmes sont libres de décider avec qui elles e marieront, et si elles désirent ce séparer de leurs compagnons elles le peuvent. Femmes de caractère et d’exemption elles sont le joyaux du désert, la perle de la société nomade, sans ces demoiselle, jamais le niveau des nomades, tant intellectuellement que culturellement aurais put être aussi évolué.
Je leur suis donc infiniment reconnaissant, car ses dames ont fait beaucoup pour moi, et leur courage est infini.

Mesdames, je vous dit juste… merci.

La Nouille

Une journée de chasse

L'aube se lève est nous partons dans le désert le fou et moi.
Je suis équipé pour la chasse, le fou a refusé tous l'équipement !
Comment l'idée m'est venue ?
Sans doute en voyant sa souplesse et en remarquant le silence de ses pas. De plus il ne dégage aucune odeur !
Nous nomades, qui sommes chasseurs de génération en génération avons un flair remarquable... croyez moi sur parole, le fou il sent rien même après une longue marche au soleil !
Nous commençons par des gibiers relativement simples, Les lièvres du désert.
Je l'observe, et lui dit comment va tu faire mon ami le fou ?
Hum facile , regarde:
il s'approche d'une façon désinvolte et hop attrape la bête par les oreilles !
Plus tard quel que peu déboussolé je lui propose de chasser les boas.
Se sont des cibles bien plus sérieuse.
Il me dit t'inquiète naib regarde ! Il s'approche d'un pas désabusé regarde la bête lui glisse quelque mots et prend le serpent dans ses bras !
vraiment je n'est jamais vu ça !
C'est notre première journée de chasse et déjà je sais que cette excursion sera vraiment spécial !

Ratus naib des nomades

La nuit mystique

La nuit approche dévoilant ses myriades d'étoiles, Un lapin fraîchement chassé grille sur le feu.
Le fou rester silencieux contemplant les cieux.
Je pris la parole prenant sur moi de couper se merveilleux silence :
Tu voie mon ami le fou, cette dune sur laquelle nous siégeons se soir, c'est la que j'ai apprit l'essentiel de mes connaissances.
Mon père Harmed le pure ma appris le nom des étoiles, j'ai observé la nature, les bêtes qui peuplent cet univers, j'ai apprit nombre de légende, entendu de mythique histoire de chasse !
Mais j'ai beau faire le tour de tous cela, je n'ai jamais vu ni entendu parler de quelque chose aussi bizarre que toi, qui est tu le fou ?
Le fou ne lâchant pas le ciel de ses yeux : "Je suis le prophète blanc je suis né comme ça et je doit subir plus qu'agir !
Ma tache est immense et mystérieuse, le pire c'est que je doit attendre, attendre que mes prophéties se réalise ! Seul le catalyseur peut faire avancer les pions, moi je doit me contenter d'évaluer les conséquences."
Ratus : " Humm le muad'dib donc c'est bien ce que je penser nous nomades serons demain au centre d'événement fabuleux..... !"
A ce moment précis la terre tremble violemment du sable s'élève en vaste colonne !
Ratus : "Par tous les chameaux de mes ancêtres ! SHAÏ-HULUD le grand ver !!!!!"
Le fou : "Je l'attendais, ratus un jour les nomades le chevaucherons ! Quand le catalyseur sera prêt quand l'orage se déchaînera le lien mystique se reformera la légende sera en marche".

Ratus