Chapitre 11 Pensées d'un Taïb

Sujet: Chapitre 11 Pensées d'un Taïb Dim 04 Sep 2005, 14:03

Retour

Apres une longue période d'errance dans le desert je decide de retourner parmi
les "miens" a l'oasis.

Après avoir brièvement salué les dfférentes personne présente a l'oasis, je decida d'aller
faire un tour dans les jardins accompagné de Lemac.

*Se promene avec Lemac*

Haa, cela fait du bien de retrouver l'oasis...

*Regarde au loin et voit Sourire approcher*

*Rejoint sourire*

*Caresse*

... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ... ...

*S'assoit*

A moi aussi elle me manque, j'espere également qu'elle reviendra chez nous une fois delivrée
de ses démons ...

*Regarde longuement l'horizon*

*Espère*

Tsukasakun

Sujet: Re: Chapitre 11 Pensées d'un Taïb Dim 04 Sep 2005, 14:06

Attente

En haut d'une dune, un peux a l'écart de l'oasis, on voit un homme assi, l'air pensif il regarde le ciel, et semble parler seul

Il attente l'arrivé de la caravane, il entend derrière lui la fete se préparer dans l'oasis.

Mais il ne sais s'il pourrat y participer, son coeur le fait encore souffrir, et il espere que l'arriver de cette caravane
pourra l'aider a guerrir cette blessure qui le fait souffrir.
Mais ce n'est pas vraiment cette blessure qu'il veut guerrir, il veut guerrir une personne. Une personne qu'il a aimé.
Et qui souhaiterai sauver, même si tous le monde croit qu'il est trop tard.

Il se lève regarde au loin, ne voit pas de caravane approcher, soupire.
Il espere, car même si la personne qu'il veut sauver dit que l'espoir et le secour des faibles, lui continue a esperer car c'est tout ce qu'il lui reste

tsukasa-kun

Sujet: Re: Chapitre 11 Pensées d'un Taïb Dim 04 Sep 2005, 14:09

L'homme du bateau

Quelque jours après la fuite d'itsumi de la prison

Un bateau arrive au port, il amene des personnes voulant visiter le désert ainsi que des aventuriers en quete de frisson.
Mais parmis c'est personne, ont remarque une personne qui semble différente, cet homme est différent de tous ce qui descendent de ce bateau.
Il ne regarde pas ou il va, il semble avancer comme s'il laissait ses pied le guider.
Il ne regarde personne, et personne ne le regarde, il fixe le sol. Il semble être transparant a la vue d'autrui, comme
s'il était un spectre. Le spectre d'un homme qui n'est plus, un homme qui ne vit plus.
Cet homme n'émait aucune détresse, il avance, toujour en fixant le sol, il semble errer.

Seul, perdu au beau milieu des gens. Comme une âme errante, cherchant où aller.
Cet homme qui au plus profond de lui espere toujours qu'un jour il trouvera ce qu'il cherche.
Même si cela doit prendre toute l'éternité.

Il y mettra tout son amour, toute sa force et plus encore, il y mettra toute sa foi.
Ce qui, pour lui représente tout. Bien qu'il n'ait pas foi en grand chose.
Que sa foi se limite au simple fait, qu'un jour, il retrouvera les gens qu'il a aimés,
et qu'il aimera dans le futur. Cela lui suffit amplement pour qu'il continu
à jamais sa route dans le vaste ciel étoilé avec l'espérance de car voici tout ce qui lui reste.

Cet homme marche à présent dans le désert, il marche, mais rien ne semble pouvoir le sortir de sa léthargie.
Même pas la caresse du sable que le vent porte à ses joue, cette même caresse qu'il apprécier tant auparavent.
Cet homme ne semble pas se diriger vers la ville, n'y même vers un oasis, non il s'éloigne de tout.
Après plusieurs jour de marche, il s'assoit, au sommet d'une dune au beau milieu du désert.
Il s'assoit, et regarde devant lui, ses yeux semble se perdre dans l'immensité de cet océan de sable.

Cet homme qui à tant esperé, à été autant de fois déçu, mais il se refuse d'abandonner.
Il continu a espérer, assis sur cette dune, il cherche une solution.

Une solutions, qui pense-t-il, il n'aurait pas eu à chercher s'il n'avait pas commis cette erreur.
L'erreur d'avoir un soir abandonné une personne qu'il aimé, et qui, dorénavent, n'est pas sur de pouvoir retrouver.

Assit sur la dune l'homme continu de fixer l'immensité du désert, même le vent semble avoir compris et a arreté de caresser ses joues
avec le sable.

Trois jour après

Trois jours ce sont écoulés, depuis qu'il est arrivé et qu'il c'est installé sur la dune.
Pendant trois journée, il n'a pas bougé, il est resté assi au sommet de la dune, et c'est contentait
de réflechir, de penser, d'esperer, de réver, pour trouver une solution.

Mais cette solution, il ne la détient pas encore, et peut être ne la trouvera-t-il jamais, il le sais,
mais l'espoir de la trouver, lui permet de continué a vivre, car cette solution représante tout pour lui.
Il aimerai montrer a ceux qui comme lui on connu cette personne, mais qui on abandonné l'espoir.
Cet espoir, lui ne l'abandonnera pas, non il la promis. Et il souhait tenir cette promesse qu'il a faite,
car il l'a faite a celle qu'il veut sauver.

Il n'a pas quitté la dune depuis trois jours, il ne c'est pas lever, les seuls gestes qu'il fait,
c'est lorsqu'il tend sa mains pour attraper sa plume et une feuilles.
Alors il ecrit, il ecrit ses pensées les plus profondes sur ces feuilles.
Sur chaqu'une d'elles, pendant qu'il écrivait, des larmes coulaient de ses joues, et venaient s'écraser
sur les feuilles.Et lorsqu'il avait fini d'écrire, il déposait la feuille a coté de lui et la regardait,
en attendant que le vent se lève et l'emporte, alors sans aucun geste pour la rattraper, il la regarder partir.

Ces feuilles, ses écrit volent désormais librement dans le désert. Ainsi qu'il aimerait le faire avec ses pensées.
Sur ses feuilles, nul ne sait ce qu'il y a d'écrit, mais tout ceux qui le connaisse, peuvent le deviner.
Ces feuilles ne sont pas des message de détresse, non, cet homme ne semble pas être en danger, ce sont juste
ce qu'il resent, il écrit pour ce libérer, mais ne souhaite pas conserver ses textes, alors il les offre,
il les offre au désert et a la nature comme il la toujours fait.

Le temps passe ...

Le regard serein, le cœur léger, l'homme fixe le ciel.
Il fais tourner autour de son doigt un anneau scintillant d’or.
Ses yeux aussi brillent. La lune se reflètent sur l'immensitée du désert et une légère brise caresse ses joue.
Il respire profondément, humant ce délicat parfum… celui de l’Amour qui embaume son cœur.

Le cœur de cet homme est emplit d’une tristesse qui déchire les airs de ses hurlements d'espoir
et blesse ce qui est le plus important à ses yeux.
Mais ce soir la blessure est mortelle et l’être se laisse aller à cette nouvelle paix.
Ainsi la souffrance sera moindre car il n’y aura plus d’attache, plus rien à perdre.

Pourquoi tant de tristesse dans ce regard
Autant d'espoir, de réve dans son regard ?

Aurais-t'il oublié que cette partie de lui,
Dans son coeur, est aussi une partie d'elle?

La vie a séparé leur chemin,
Mais il n'y peut rien .

Vu que de cet abscence joie,
A détruit en lui tout émoi.

Cela la alors conduit indégniablement
A en venir a ce moment...

Il hume dans une inspiration lente le parfum sauvage et frais du désert.
Ainsi mené sur le chemin de la mort, son corps n'était plus, libéré,
l'âme bercée par la douceur du vent. Il l'entendait, timide,
fredonner l'air de ce qui serait son dernier voyage.

Il pose son regard d'une infinie douceur,sur un de ses croquis,
Qu'il avait réalisé d'elle, un soir devant le feu.
Submergé de par sa beauté, tout en elle laisse transpirer la joie, la délicatesse et l'espoir..
L'espoir que cela ne cesse jamais. Continuer encore et encore à vivre ainsi.
De se laisser emporter par la plus sublime et exquise des expéditions... l'Amour...

Alors délicatement il se redresse, prend une feuille sa plume, et écrit,
puis comme il le fait depuis son arrivé, il la pose et attend qu'elle s'envole.

Et cela dure

L'homme est toujours sur sa dune, il ne bouge toujours pas.
Depuis la nuit ou il a voulu arreter, il a beaucoup écrit.
Nombre de ses feuilles sont parties.
Peut d'entre elles trouverons un lecteur,
Mais cela, il s'en moque.
C'est textes ne sont pas des textes a lire,
non, ce sont juste ses pensées, dont il veut se débaraser.
Afin de laisser de la place a la recherche de la solution.

Il repense a ce qu'il a voulu faire pendant la nuit,
et il s'en veut, il s'en veut atrocement.
Il s'en veut d'avoir manqué d'abandonner encore une fois
cette personne, et il se promis de ne plus recommencer.

Aujourdhui,quelqu'un est venu le voir,
Quelqu'un qu'il connait depuis fort longtemps.
Quelqu'un qu'il considère comme sont frère.
Quelqu'un qu'il considère comme une partie de lui.
Quelqu'un avec qui il a vécu tant de chose.
Quelqu'un qui voudrai l'aidé lui,
comme lui veut aider cette personne.

Alors notre homme a bougé...
Il a levé sa main, et la posé sur la fourrure blanche.
Le tigre c'est alors couché a ses cotés.
Mais ce moments n'a pas duré longtemps,
le tigre semble a compris qu'a ce moment précis,
il ne pouvait rien faire pour aider son ami.
Alors le tigre c'est levé, a regardé longuement l'homme.
Puis c'est retourné, et est parti vers l'oasis,
car il savait que l'homme voulait, qu'il protège
ceux qu'il considérait comme ses amis, sa famille.
Alors le tigre et retourné a l'oasis, ou il attend le retour de l'homme.

L'homme a alors reposé sa main sur sa jambe
et c'est remis a regarder dans le vide
en quête de ce qui pourrait l'aider.

Tsukasa-Kun

Sujet: Re: Chapitre 11 Pensées d'un Taïb Dim 04 Sep 2005, 14:14

L'homme du bateau (suite)

L'homme est toujours sur la dune, seul, loin de toute civilisation.
Il est allongé, il dort. Il semble calme et serein, il rêve. Il rêve d'un monde, d'une vie,
ou tout cela ne serait pas arrivé, ou il serait heureux à ses cotés entouré de ses amis.
Il rêve d'un monde, d'une vie différente.
Son visage est souriant et heureux. L'homme ne semble heureux car ces rares moments ou le sommeil l'emporte sur sa réflexion.

Il se réveille, l'oeil morne, il se redresse et s'assoit. Puis il penche la tête en arrière,
ferme les yeux, et laisse le vent et la douceur de l'aube caresser son visage marqué par le désert.
Quelque minutes plus tard, il ré ouvre les yeux et regarde le ciel, il contemple son immensité,
à la quête d'un signe. Il plonge ensuite son regard sur la vaste étendu de sable qu'est le désert, il observe les changements qui ont eu lieu durant son sommeil.

Il tend la main, saisis une feuille, sa plume et il décrit ce dont-il a rêvé, puis au dos de la feuille,
il représente le monde, la vie qu'il espère. Lentement, il dépose la feuille à ses cotés, puis attend que le vent l'emporte.
Ces gestes, sont tous les jours les mêmes, comme un rituel.
Rien ne change, jours après jours, nuits après nuits, il répète inlassablement ce rituel à l'identique.

Ensuite, il s'assoit et replonge dans ses pensées, à la recherche de la solution, du "chemin" qui le mènera jusqu'a ce monde.
Ce monde, il y a déjà goûté, il a déjà connu ces moments, mais aujourd’hui, tout a changé, son monde, sa vie a entièrement basculée
depuis ce jours.
Il se rappelle les longues soirées, ou assit l'un à cotés de l'autre, prêt de l'oasis, ils contemplaient le désert, silencieusement,
comme ils aimaient le faire.
Il se rappelle de ces journées, ou accompagné de Lemac et de Sourire, ils parcouraient le désert.

Mais tout ceci est loin dorénavant, son visage a changé, marqué par le vent et le sable, par la tristesse et le désespoir.
Ses yeux ont perdu leur éclat joyeux, et leur naïveté.

Il repense à ses amis, à sa famille, à son "frère", que deviennent-ils ?

-Qu'advient-il de Ratus, celui qui la accepté chez les nomades, et qui l'a invité à y demeurer ?
-Qu'advient-il de Sharrack, le sage shaman qui protège l'arbre à épices ?
-Qu'advient-il d'Aégis le puissant Naïb Fédaykin ?
-Qu'advient-il de Nyamo, la fée, est-elle revenu ?
-Qu'advient-il de notre Muad'Dib, celui qui connaît tant de chose ?
-Qu'advient-il de Liness la tendre et innocente elfe ? Ce sont-ils mariés ?
-Qu'advient-il du fou, notre prophète aussi mystérieux que ses prophéties ?
-Qu'advient-il d'Haara, ce jeune homme qui possède un si grand pouvoir ?
-Qu'advient-il de Lemac, son "frère", il doit être bien seul ?
-Et qu'advient-il d'elle, elle qui est la cause de son isolement, elle qui a le coeur noirci par un démon, elle, celle qu'il veut sauver ?

Tous les jours, il se pose ces mêmes questions, et tous les jours, il ne trouve pas de réponse.

Loin dans l'immensité du désert, loin de toute civilisation, cet homme demeure, il y demeure seul, avec ses pensées et ses rêves.
A la recherche d'une solution, à la recherche de LA solution, à la recherche d'une réponse. Cet homme est décidé a trouvé cette réponse, car
il sait que lui seul pourra l'aider à vaincre la noirceur qui emplit son coeur. Il sait qu'il est désormais seul dans ce combat,
car nombreux son ceux qui ont abandonné ce combat.
Même son "père" à elle, a abandonné et ne croit pas à la réussite du rêve de notre homme. Mais l'homme ne lui en veut pas,
car il sait qu'il a vécu beaucoup de chose et qu'il a également beaucoup souffert, sans doute plus que lui.
Mais il a juré d'essayer de la sauver même s'il devait y perdre la vie, il lui a promis et ne reviendra pas sur sa promesse.

Le soleil commence à descendre lentement derrière l'horizon, l'homme se rappelle des nombreux couchés de soleil, pareil
a celui-ci qu'il a admiré, a la seule différence qu'elle n'est pas à ses cotés.
Il est fatigué, ses paupières, lourdes se ferment seules. Il s'allonge, contemple les étoiles. Enfin il ferme les yeux, et part rejoindre
cet autre monde, son autre vie.

Ce monde, qu'il voudrait, ce monde qu'il aimerai lui être accessible autrement que par ses songes, le monde qu'il voudrai voir devenir réalité
lorsqu'il se réveille le matin.

Maintenant il dort...

Tsukasa-Kun

Sujet: Re: Chapitre 11 Pensées d'un Taïb Dim 04 Sep 2005, 14:16

L'homme du bateau (suite 2)

L'homme s'est levé, il a plonger son regard dans le desert, en scrutant le moindre recoint.
Il sent que quelquechose a changé, l'odeur n'est pas la même que depuis qu'il est arrivé.
Le vent ne souffle pas comme il a l'habitude, il ne porte plus les grains de sable a ses joues.
Les animaux agissent bizarrement, il se cache en tremblent, et certain s'enfouissent dans le sable comme pour se cacher de quelquechose.

Il sait que quelquechose se trame dans le desert, mais il ne sait pas quoi ?
Sa main glisse lentement vers son poignard, et saisit le manche.
Il est entrainé au combat, même s'il ne la pas pratiqué depuis longtemps, il est encore prêt a se défendre.

Comme le lui a appris Eonyr, il s'assoit plante son poignard dans le sol, écoute et observe, tous ce qui pourrait lui indiquer la position de ce danger.

Il écoute les murmure du vent, les cris des animaux afin de pouvoir le localiser. Le danger semble être loin, mais il sait que le desert est inquiet.

Lui aussi est inquiet, il est inquiet pour l'oasis et ces amis qui y vivent.
Mais il ne peut pas y allez, il ne peut pas partir maintenant. Il doit rester encore, il n'a pas encore trouvé la solution.
Mais... si quelquechose arrivé a ses amis...non! il ne peut pas partir maintenant.

Il attendra d'avoir trouvé la solution, mais il sait que si le danger persiste, il devra retourner a l'oasis défendre ce qui desormais son les sien.

Il sait qu'il ne lui reste peut être plus beaucoup de temps pour trouver cette solution, il repart alors dans ses réflexion, son poignard toujours planté devant lui, en cas de nécessité.

Tsukasa-Kun

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» Chapitre 3 La Croisade, guerre a l'oasis
» Chapitre 6 La sérénité retrouvée de l'oasis
» Chapitre 4 La disparition de Ratus, l'apres guerre
» Chapitre 2 Léna et l'espérance