Chapitre 4 La disparition de Ratus, l'apres guerre

Liberté

Je me présente : Aegis, orphelin du désert.

Ma venue dans ce monde fut quelque peu tragique. Mes parents vivaient tranquillement dans le désert. Ils vivaient du fruit de leurs durs labeurs en cultivant terres et bétails.
Mais un jour vint ou des brigands eurent des échos de cette prospérité et décidèrent de s’en prendre à mes parents sans défense. Ils étaient traînés sur le sable, leurs pieds ligotés par une corde reliée à l’arrière de leurs chevaux. On pouvait entendre ces brigands crier haut et fort :

« Chiens du désert, vous ne méritez pas de vivre. Vous serez nos esclaves et seul la mort sera votre libération ».

A ce moment là, ma mère me portait en son sein. Elle masquait autant qu’elle pouvait sa grossesse jusqu’au jour ou elle dut accoucher prématurément. Grâce au ciel, elle s’était liée d’amitié avec l’une des compagnes de ses tortionnaires qui l’aida à accoucher dans la clandestinité. Seulement il ne fallait surtout pas que je sois découvert sous peine de mort, pour moi et mes parents.
Mes parents prirent donc une douloureuse décision mais au fond d’eux même, cela fut certainement la moins pire. Ils confectionnèrent un berceau en feuilles de palmiers et m’enveloppèrent délicatement dans un fin tissu brodé d’or. Je portais également autour de mon cou un collier composé de pierres multicores sur lesquels de mystérieux symboles étaient gravés. Ils glissèrent également un rouleau de papier sur lesquels étaient écrites les conditions de ma venue dans ce triste monde. On pouvait également y lire :

« Hommes, femmes, épris de liberté, qui que vous soyez et si vous avez un cœur, nous vous cédons notre enfant Aegis. Nos conditions d’esclavage ne nous permettent pas d’élever notre enfant et nous désirons le voir libre et heureux. C’est un cruel déchirement de l’abandonner mais nous trouverons une lueur de bonheur en sachant qu’il est entre de bonnes mains et qu’il soit libre. Aegis est notre seule richesse. Veillez sur lui. Rendez le grand et fort. Nous ne pouvons plus rien. Nous attendons notre mort. Adieu.. »

On me déposait dans un oasis souvent fréquentés par les voyageurs. J’y ai rencontrés une tribu. On les appelait « les Bougons ». Après avoir lu le rouleau, j’apercevais des larmes de tristesse dans les yeux de mes sauveurs. Leurs femmes entonnaient des chants de tristesses à la gloire de mes parents. Ils décidèrent de me prendre sous leurs ailes et de m’éduquer. Lecture, écriture, art de la chasse et du combat constituaient mes journées. Je m’amusais bien sur aussi et c’est là que j’ai rencontré mon ami Pat Hibulaire. Nous avons grandi ensemble et sommes presque devenu inséparable.
Seulement les années passèrent et la vision de mes parents continuait à me hanter jour et nuits. L’éducation reçut par les Bougons m’a rendu autonome. Le combat et la chasse n’avaient plus aucun secret. Je pris le strict minimum avec moi. Je fis mes adieux à mes sauveurs et à Pat Hibulaire. Je lui faisais la promesse que l’on se reverra un jour mais je lui expliquais que j’avais besoin d’en connaître d’avantages sur mes défunts parents. Sans lui dire ouvertement que je voulais aussi rechercher tous ces marchands d’esclaves. Une haine envers ces êtres inhumains grandissait en moi.

Mes voyages me firent traverser une multitude de paysage. Le monde de SO était à la fois beaux mais dangereux. Paradoxal. Je n’avais que très peu d’indices sur moi. J’errais à droite et à gauche à la recherche du plus petit indice qui soit. Je recueillais beaucoup d’informations mais rien qui n’avait un rapport avec ce que je recherchais. Alors je marchais et me cachais comme un fantôme. Personne ne me voyait. Enfin presque.
Je croisais le chemin d’un Baron. C’était un homme bon, droit, d’une grande honnêteté. J’avoue que ces moments de solitude dans SO me pesaient. D’apparence méfiant envers les autres, je me suis laissé aller à me confier à lui. Une complicité s’instaurait entre nous. Il me proposa de travaillé pour lui mais dans l’ombre en échange de ma protection. Mes voyages m’ont permis de glaner ca et là des informations, anodine à mon sens, mais hautement capitale pour lui. J’ai donc accepté.

Le malheur décida de s’abattre une nouvelle fois sur moi. Plus de nouvelle du Baron. J’entendais dire qu’un mal étrange se serait emparé de lui. Je n’en sus pas plus. Me voilà de nouveau seul.

Je repris le chemin du désert. Le soleil pointait haut dans le ciel. J’apercevais au loin une caravane. Il y avait beaucoup d’hommes et de femmes. Le bétail nombreux également. Et là quelle ne fut pas ma surprise. Pat Hibulaire était ici. Je lui fis de grand geste de la main. Comme j’étais heureux ! Il m’expliquait qu’il avait envi de mener sa propre vie et de voyager à travers le désert dans la tribu des Nomades. Je savais que nous nous reverrions.
Il me présenta à Sharrack qui me demanda immédiatement si je voulais intégrer sa tribu. Voyager seul est difficile. Alors j’ai accepté avec joie. Peut être que nos voyages me mèneront à mes origines.
En attendant je me consacre aux Nomades. C’est sans doute ce qu’aurais voulu mes parents. Vivre comme eux en hommes libres.

Aegis

Quelque part, au milieu des sables

Quelque par au milieu des sables...
Un nomade se réveille a demi enterait, dans le sables et les corps humains.
Ratus : "Par tous les esprits quel choc !"
Il cherche a se rappeler se qui lui est arriver, les souvenirs lui revienne peu a peu.
Il se souvient d'un furieux corps a corps contre des ennemis experts dans le combat de masse.
Il revoie c'est hommes lui dirent "Naib, c'est un honneur de mourir a tes cotés pour protéger l'oasis."
Le combat semblait perdu, quand le vent c'est lever un vent surnaturel et meurtrier.
il revoie la panique chez les croisés, Peux habitué a se genre de phénomène.
La suite et pour ratus encore plus mystique, il se rappelle des premiers vibrations du sol puis de la violence de l'apparition du grand shaï-hulud.
Le ver ravagé se qui rester des ligne ennemis un véritable carnage, puis se dirigea droit vers ratus.
depuis son enfance, il avait rêvé régulièrement de cette scène, les shamans lui avait prédit quel était lié a la venu du Muad'dib.
La suite c'était passer comme dans son rêve, il avait sortie sa corde et son grappin et avait attendu que le ver soit suffisamment prés.
Il se rappelle avoir crié "accepte moi Shaï-hulud" avant de s'arrimer a la créature.
Pendant une durée indéterminée, a cause de la puissance émotionnelle quel a engendré a son esprit, ratus a eu l'impression de guider le grand ver dans son oeuvre de destruction !
Il se rappelle avoir lancé la bête sur l'état-major ennemi écrasant ou dévorant tous sur son passage.....
Il a crus voir le cruel Adolphus exploser tel une infâme limace sous la violence du choc.
Puis les choses son devenu plus flou, il a perdu le contrôle de la situation.
Le ver a plongé vers les entrailles de la terre, éjectant le Naib comme un vulgaire colis.
Voilà comment il a perdu connaissance.
Maintenant il est bien réveillé, du sang coule de son nez, il a a peine la force de ramper ses jambes semblent brisées, la nuit approche, personne, personne ! ratus est il le dernier survivant de sa tribut ? Et va il survivre ?

Ratus le Naib des Nomades

Vers la dune

La nuit tombe, le pauvre Ratus se traîne comme il peu en direction d'une dune.
Il doit a tous pris l'atteindre avant que le soleil se lève.
Le peu d'ombre quel apportera lui permettra peu être de tenir quelque heure de plus.
Car il c'est bien que si personne ne vient a son secourt ses heures sont comptées.
La soif commencera a se faire vraiment sentir d'ici peu, avec elle les délires et autres mirages.
Puis viendront les charognards, chacals, vautours, et diverses nécrophages.
L'effort qu'il effectue déclenche en lui des réflexions sur son existence.
Il repense aux déboires de sa vie sentimentale, A sa chute dans l'alcoolisme.
Il se rappelle aussi de cette appelle mystique qui la mener a reformer sa tribut.
De sa dignité retrouvé, de la joie d'apprendre la naissance du fil de ratatouille l'ancien et de la splendide dame Liness.
Il mourra peu être, mais il mourra heureux se dit il, il a accompli c'est devoir de Naib.
Non, en faite une pensée lui vient "tu n'a pas de descendant Ratus, tu doit préserver notre nom."
Non, il ne se laissera pas aller a la mort il continuera a lutter car il garde en lui l'espoir.

Ratus Naib des Nomades

Chaleur du désert, froideur d'un homme

ainsi, il marchait. Depuis trop longtemps. La parcelle de son esprit encore humanisée commebncait à douter d'ou le conduirait cette route incertaine, mais cette minoritée fut implacablement écrasée par son besoin de le rejoindre le Ai no Fugue, au dela des limites de la compréhension humaine.

Il avait entendu des rumeurs quand a la fin de la guerre entre les croisés et les nomades. A vrai dire, il n'aurait pas penser à trouver une issue à cette guerre jusqu'au moment ou sa route ne fut plus encombrée par les cadavres agonisant des gerriers des deux camps.

Il avait cru entendre parler du clan nomade qui aurait écrasé l'envahisseur. Parmi les nouvelles qui lui étaient parvenues, celle du guerrier aux deux sabres et de son attaque foudroyante (il l'avait lui même vu en action), celle des nombreux combattants aux forces dérisoires qui avaient combattus aux cotés des habitants du désert jusquà l'épuisement, celle de la tornade, gigantesque et divine, qui aurait abbatue une grande partie des croisés, et celle plus invrésemblable, du vers géant avaleur de monde, qui aurait repoussée la force principale. Soit, il advient toujjours aux hommes de s'attribuer la réussite d'une guerre, et c'est de cette facon que se forment la quasi totalité des légendes. Le monde n'est qu'un tissu d'inepsie que l'on peut découdre et recoudre à foison, mais à quoi bon si l'on refait toujours la même erreur de couture ?

Il contemplait le corps allongé du pro nomade. Il avait réussi a se glisser hors des combats, mais il était encore loin du campement. De plus, son état semblait s'aggraver de secondes en secondes, son souffle court parvenait aux oreilles d'Ilian (HRP:vrai nom du perso) comme une alarme étouffée. Non. Il n'avait rien a faire à se meler de cela. Le Ai no Fugue n'attendait que lui, et il devait se dépecher de rejoindre les terres célestes avant qu'il ne soit pris dans un évenement qui pourrait le dépasser.
mais quelque chose l'intriguait.
Au dela de ses vetements en lambeaux, au dela du sable qui couvrait son corps tout entier, au dela de son regard malade et souffrant, sa joue. La cicatrice sur sa joue. Bien sur, elle lui avait été affligée au combat, cette cicatrice, mais...
Tout en pensant à ce ratus, Ilian caresa sa joue endurcie, rencontrant un creux qui partait de sa paupière pour se terminer sur sa pommette. Ce fut a ce moment, qu'il revit tout - Le combat - aussi nette que la premiere fois qu'il - mort...pas tout à fait - avait quitté son enveloppe charnelle pour - sa main, si douce et sensuelle, qui pense ses blessures -
accomplir les dessain du grand condor.

Non, il devait continuer. Une dernière pensée pour l'homme étendu, mais le suppot du Ai no Fugue est déja reparti.

Et dans l'ombre de la nuit tombante sur la dune, deux formes. Celle d'un homme, et une autre. Ronde, immobile, mais pleine de symbole. Une gourde. Mieu, une gourde pleine.

"Va, homme du desert, tu auras aujourd'hui une chance supplémentaire de prouver que ton désir de vivre va plus loin que les affres de la mort. Ainsi, si tu t'en sort, remercie toi, car seule ta volonté sera la cause de ton retour parmis les vivants."


Car on vit et meurt seul. Bonne chance, naib.

Ai No Fugue

Naib disparu

-Nomades, avez vous vu Naib ?

Personne ne l'a vu depuis que les Feydakins ont embusqué la troupe de ravitaillement des croisés. Il faut partir a sa recherche, il doit bien y avoir des survivants.

Préparons nous, il faut les retrouver avant que le soleil ne soit trop chaud.
S'il y a des blessés, ils ne pourront survivre.

Mon oncle, pourvu qu il ne lui soit rien arrivé, nous avons besoin de lui.

Sharrack


Etant donné que je suis actuellement dans votre oasis, je vous propose mon aide,si vous le désirez elle sera votre.
Vos pertes ont été suffisement élevé.

avec mes respects,

Ticaj


...Il semble que mon aide serait bienvenue...je me joindrai a vous si vous le permettez...

Danpachi


*saute devant Sharrack*

Tsk tsk tsk!

On essaie de partir sans moi?

Bien sur que je viens. ^_^

Danakir

Le Soleil...

Le soleil immanquablement se leva, avec lui, La torture de ratus ne fit que croître.
Il avait réussi a atteindre le pied d'une dune au prix de mille souffrances.
Avec la chaleur, Ratus commença peu a peu a perdre la tête.
Son esprit fut petit a petit le théâtre d'un véritable brassage, de souvenir, de vision, de délire.
Il commença par voir sa mère dont il se souvenait plus.
puis un vieux shaman dont il avait oublié le nom se pencha vers lui et dit : "Ratus, il s'appellera Ratus, il a la résistance et la ruse du rat, c'est de grande qualité pour un futur Naib"
Puis il cru reconnaître le visage d'ange de celle qu'il a aimé, la belle Météoraine. Elle s'évanouit au bras d'un autre…
Une meute de loup surgit, il sortie aussitôt son kriss.
La lame nomade fendit l'air en direction d'un grand loup blanc aussitôt celui-ci disparut !
Un mirage, je devient fou, de l'eau pitié de l'eau.... il s'évanouit ...
Il repris connaissance quelque temps plus tard. Il la voyait la juste a coté de lui une gourde, encore un mirage pensa il, dans un mouvement réflexe il l'agrippa.
Par tous les esprits quel est se miracle une gourde pleine au milieu du désert.
Il bu une petite gorgée, il devait l'économiser, pour tenir.
Il ne cédera pas a délivrance de la mort. Il avait encore temps a faire. le petit il devait lui apprendre a chasser, il devait lui apprendre les antiques coutumes nomades.
Combien de temps, combien de temps encore !

Ratus le Naib des Nomades

A la recherche de Ratus

Nous préparions des chevaux, et des chameaux. Il fallait faire vite, mais le voyage sera long, trop long.
Le soleil se lève tôt, et la chaleur ne tardera pas à se faire sentir.

Le professeur Ten a sorti une carte, elle dévoilait le Désert des Larmes, je ne savais pas qu’une telle carte existait. Il a pointé de son doigt l’emplacement où devait se trouver Ratus.
Comment le savait il, je l’ignore, il nous a répondu que nous ne le croirions pas.
Puis il est tombé a semi conscient. Une dame nomade l’allongea, et nous le laissions se reposer.
L’emplacement que Ten avait désigné me semblait bien logique.
J’expliquais que l’embuscade de Ratus face aux croisés se positionnait justement à cet endroit, du moins, à quelques lieues près. Un point d’eau est par ici, Ratus la connaît, je pense qu il l’aura rejoint.
Le seigneur Danpachi et messire Ticaj regardaient la carte avec attention.
Ils connaissaient notre malheur, tant de vies de perdues a notre peuple, si en plus nous devions y perdre notre chef.

Vlad, notre guérisseur, vint nous avertir que nous pouvions partir, et que nous avons une invitée de dernière minute.
Skim, le shaman de l’esprit de Feu accompagnait Dame Danakir.

Nous primes les chevaux, et montâmes de quoi faire des civières au dos des chameaux.
Puis nous partîmes à bon train, mais il s’agissait aussi de ne pas trop fatiguer les bêtes
Un nuage de poussière derrière nous. Nous reconnûmes tout de suite la façon particulière de chevaucher du Fou.
Il nous avait rejoint. « Ratus en danger, et on invite pas le fou ? »Il fit de grands moulinets de ses bras « ta tag ada da pouet pouet, en avant ! »

Cela faisait bien maintenant trois heures que nous avancions, mais nous préférions continuer l’allure encore un peu, nous devions gagner sur le temps.
Des nomades étaient partis devant, leur but était de nous prévenir en cas de présence de serpents du désert, ces redoutables reptiles à trois têtes.
Ils ne tardèrent pas à revenir. Mais de leurs gestes nous compriment qu’il fallait rester silencieux.
-« Sharrack, nous avons vu deux centaines de cavalier, il ne porte pas l’uniforme rouge et blanc. »
Danpachi : -« Ce sont nos hommes, ils sont ici pour nous aider dans les recherches, le désert est bien trop grand pour notre petit groupe. »
Ticaj : -« Sharrack, mon ami, je sais que le peuple nomade n’aime pas voir des soldats armé dans le désert, et que vous considérez cela comme une menace, mais je vous promets que lorsque nous aurons retrouvé le Naib, alors ils s’en iront. »
Danakir : -« Je suis ici Sharrack, et tant que je serais là, il ne pourra rien arriver au nomade, vous pouvez me faire confiance. »

Apres discutions avec les autres nomades, nous finîmes par reconnaître que nous aurons besoin de nombreux hommes pour couvrir une surface de terrain plus importante.
Nous reposâmes quelques instants les bêtes. Les gardes étaient rassemblés autour d’un feu ou ils bavardaient en attendant les ordres.
Nous levâmes le camp, nous ne devions pas ralentir l’allure. Mais les militaires étaient bien organisés et ne nous retardaient pas.

-« Le Soleil revient nous voir, je sens sa chaleur. La journée sera plus chaude que celle d’hier. Nous devons nous dépêcher. » Dit Skim.
Nous venions de faire une deuxième pause, et tout le monde avait repris des forces.
Nous forçâmes donc l’allure. Ceux qui possédaient des chevaux partirent devant. J’étais de ceux la. La blessure à ma jambe se réveillait par le rythme que nous imposions à nos montures.
Mais je pensais à Ratus, et à l’avertissement de l’Ancien. « Je ne suis plus qu’un esprit, mon savoir est parti dans celui de Vlad, mais en tant qu’esprit, je saurais si Ratus avait quitté son corps. Sharrack, cherche le, il est encore en vie »

Il faisait jour maintenant, et la chaleur commençait à se faire ressentir.
Nous sommes parvenus au lieu de l’embuscade, et au dire des cadavres répandus partout, ce devait être la boucherie.
Des survivants, y a-t-il des survivants ? Tout le monde se mit à appeler et à chercher.
Mais tous étaient bien morts. Le Naib est peut être parmi eux, parmi mes frères nomades.
Je n’ose plus regarder cette horreur, alors je m’éloigne un peu.
Je m’assoie sur une pierre, et prend une poignée de sable dans la main. Je la jette par dépit. Le sable tombe a terre, je le regarde tomber.

Je regarde ce sable, il me donne l’impression d’avoir été lissé. Je ne comprends pas, la surface est grande, je dois prendre de la hauteur.
Je monte sur une dune, Danakir me regarde faire sans rien dire.
J’arrive en haut, je regarde.
Je vois deux couleurs de sables différentes, il y a une masse importante qui a lissé le sable.
Au point de départ de celle-ci, un trou.
Ce genre de trous, j’en avais déjà entendu parler.

-« Le Shai-Hulud, le Shai-Hulud est réveillé »
Le Shai-Hulud, ce Ver des Sables, il aurait été alerté par le combat.
L’Ancien Ratatouille nous racontait souvent des histoires sur ce légendaire animal. Il parait même que l’on peut le dompter. Mais il est redoutable, mieux est de ne pas le rencontrer.

La piste du Ver prenait la direction du pont d’eau, et si Ratus avait eu des problèmes, nul doute qu il ait pris cette direction.
Danpachi organisa ses hommes pour qu il reprenne la marche, et formèrent une battue.

-« Le point d’eau n’est qu’a trois heures si nous continuons a cette vitesse »
-« Espérons que Ratus ait pris cette direction » répondis Ticaj

Le Fou était monté sur cette dune, il a regardé a son tour, puis il s’est mis a crié : -« Le Shai-Hulud, le Shai-Hulud est réveillé », il descendit la dune en roulé-boulé, on entendait son rire résonné. –« Vous ne comprenez pas ? Le Shai-Hulud est réveillé, le Naib n’est pas mort, le Shai-Hulud est réveillé » puis il continuait a rire et sauta gaiement a son cheval. –« Dépêchez vous mes amis, Ratus a besoin de nous, ne le faisons pas attendre »

Les deux cent vingt hommes reprirent le trot, en se répartissant sur la largeur.
Nous espérions ainsi ne pas passer a coté.
On pouvait voir sur les visages un espoir revigoré par les déclarations du fou
Même sans comprendre le sens de ses phrases, ce changement d’attitude soudain avait redonné confiance aux hommes, nous le retrouverons.

Dame Danakir s’arrêta brusquement. Elle avait vu quelque chose, ou peut être avait elle pressentie qu’il était la, quoi qu’il en soit, c’est elle qui trouva la première les traces de sang sur le sable. Et les traces se dirigeaient vers cet amas rocheux. Il y’avait de l’ombre. Ratus !
Danakir sauta de son cheval et se dirigea vers les pierres.
Nous fîmes de même et eurent tôt fait d’être a ses cotés.

Nous vîmes Ratus, à demi inconscient, Danakir le souleva, et il ouvrit les yeux. Du moins, nous n’y avons vu que le blanc des yeux, Ratus était dans un piteux état.
-« ohhhh, un ange, quel est belle. Ange, je voudrais partir avec vous, mais… mais j’ai encore à faire en ce monde. Bientôt, Bientôt peut être quand j’aurais assurer ma descendance. Nesta, je dois lui apprendre la chasse, je dois lui apprendre le désert, Nesta , si jeune, mais c’est son destin, non Ange ne me prends pas tout de suite, laisse moi vivre encore, j’ai encore tant de choses a faire… »

Dame Danakir –« Il est en plein délire, il faut lui donner à boire »
Vlad –« oui, mais qu’il boive doucement, il pourrait s’étouffer. Ses jambes sont brisés, je crains qu il est beaucoup de blessures. Nous allons devoir faire très attention en le soulevant. Amenez les chameaux ici, ils ont tous le matériel nécessaire »
Sharrack –« Mon oncle, mon oncle, je t’en prie, réveilles toi »
Le Fou –« Ca ira mieux Sharrack, il a juste besoin de repos, et je crois que tu devrais en faire autant, il me semble. »
Danpachi –« hé bien, nous avons finis par le retrouver. Votre Naib est un grand homme, il a survécu à la chaleur et à la folie du désert. Et dans l’état grave de ses blessures, il avait gardé la lucidité de se rendre au point d’eau. »
Ticaj –« L’empire est fier d’avoir pu aider les nomades, nous aurons sûrement l’occasion de se rencontrer a nouveau »
Skim –« Je le crois bien messieurs, puissent les esprits des flammes vous réchauffer dans vos maisons en hiver, j’ai entendu dire qu ils y faisait très froid »
Sharrack –« Merci messieurs, Ratus doit maintenant être emmené a l’oasis, venez nous voir de temps a autres, j ai tant a apprendre de vos mondes »
Danakir –« Je repars avec vous Sharrack, vous pourriez encore avoir besoin de moi, sait on jamais »

Sharrack

Inquiétude au campement

Pendant ce temps, quelques Feydakins et moi devions rester au campement afin de le protéger des éventuels pillards. Quelle aubaine cela aurait été pour eux de nous voler en l’absence de nombreux de nos hommes. Nous travaillons durement pour pouvoir subvenir à nos besoins. Fruits, céréales, bétails représentent nos seules richesses.
Mais la disparition de Ratus cause un profond malaise au sein de notre tribu. Que ferions-nous sans notre vénérable naïb ?
La tension montait en chacun de nous. Les femmes restaient cloitrés dans leurs tentes. Plus aucun enfants ne jouaient sur le sable. Les hommes quand à eux scrutaient les dunes vertigineuse à l’affut d’une moindre forme en déplacement. Même nos bêtes semblaient agités et notre simple approche vers elles les énervaient au plus au point. L’oasis plongeait dans une profonde inquiétude.
Je veillais sur le professeur Ten. Pris d’un profond malaise, il a juste eu le temps d’indiquer sur une carte l’emplacement probable de Ratus. Ten était allongé dans une tente. Une femme s’occupait régulièrement de lui en lui administrant quelques soins à base d’écorce de cactus et un linge mouillé sur son front abaissait légèrement sa température. Son malaise lui faisait faire des reves étranges. Il se voyait marcher sur une immense mer d’eau cristaline. Ce rêve le pertubait. Il s’agitait dans tous les sens.
Pendant ce temps, dehors, la tension était toujours palpable. Quelques hommes entonnèrentt des prières. Une légère brise se levait dans le désert des larmes puis quelques rafales brusques faisait tournoyer le sable

Des hommes crièrent : « Shai-Hulud ! Shai-Hulud !

Tous le monde sortaient de ces tentes à l’écoute de ces bruits.
Hum ! Quels était ce présage ?
Pourvu que nos hommes et amis des nomades puissent revenir sain et saufs avec de bonnes nouvelles.

Aegis

Retour

-« Enfin de retour a l’oasis. J’arrive vraiment pas à m’y faire à ces voyages à dos de chameau. Bigre, qu’il fait froid cette nuit.

C’est trop calme, quelque chose s’est passée ! »

Je m’approche doucement des tentes, la main sur ma dague.

-« D’habitude il y a plus de gardes, c’est louche. »

Je me faufile jusqu'à la tente de Ratus.
Elle est éclairée. Je regarde furtivement à l’intérieur.
Je l’entends gémir, personne d’autre. Je rentre.

-« Ratus, que se passe t-il ? Réponds moi bon dieu ! »

Il ne pouvait se retourner. Je compris lorsque j’ôtais la couverture. Ses jambes étaient entourées de bandages. Il était blessé. La tente avait une odeur d’épices, signe que la blessure était grave. Les nomades avaient sûrement préparés de la pâte et des infusions.

-« Ratus, mais que s’est il passé ? »
-« Les croisés… les croisés sont venus a l’oasis. J’ai coupé leurs approvisionnements, on était partis à une demi journée de cheval, et nous les avons embusqué. Donne moi à boire Pat, j’ai soif… »

Je pris un verre en terre cuite et déversa de l eau fraîche qui était dans la cruche.

-« L’oasis a subi une attaque terrible, les croisés ont amenés une force militaire gigantesque, des guerriers nous sont venus en aide. Nous avons perdu beaucoup de nos hommes, la bataille fut terrible.
Mais demande a Sharrack, il était la pendant la bataille. Il m’a dit que Léna nous étais venus en aide. »

-« Ces vandales de croisés, ah si j’tenais ce maudit Guilotini dans mes mains ! Mais toi Ratus, qu est ce qui t’as mis dans cet état ?»

-«J’ai rencontré mon destin, j’ai chevauché le Shai-Hulud, mais j ai été éjecter lorsque le Ver s’est enfouis sous le sable. »

-« Le Shai-Hulud ? Léna ? J’comprends vraiment rien à vos histoires.
Bon, repose toi Ratus, je vois que t’en as besoin. Tu te soigneras vite, je te connais bien. J’vais me renseigner a ce qui s’est passé, ptete que le Fou pourrait mieux m’expliquer. Ouaif. Non, je crois que ce sera pire. Quand on cherche une réponse au Fou, on ressort avec plus de questions que l on avait en rentrant.
Reposes toi Ratus. »

Pat Hibulaire

Le réveil

se texte se situe un peu avant la visite de pathibulaire.

La tente du Naib est simple, mais coquette les femmes de la tribu mettent un point d'honneur a son entretien et sa décoration.
Ratus se réveille, sur le magnifique tapis qui lui sert de lit.
Il ressent aussitôt de multiples douleurs, sa tête lui fait très mal, c'est jambes sont bandées et sont extrêmement douloureuse, il a chaud, trop chaud la fièvre le dévore.
"J'ai soif, très soif ! L'ange, elle ma déposait dans ma tente, elle m'a donné un répit, qu'elle était belle, par tous les esprits quel grâce quelle splendeur ! Oh esprit de mon coeur merci merci beaucoup."

Ratus Naib des Nomades

Nuit de calme

Quel soulagement de revoir notre naib en vie ! Pourtant au vue de ses nombreuses blessures, Ratus a dut endurer de terribles épreuves. Nous le placions immédiatement dans une tente pour lui administrer des soins. Les Feydakins souffraient également. Les nombreuses batailles menées ces derniers temps ont eu raison de leurs forces. Certains d’entres eux regagnèrent immédiatement leurs tentes accompagnées de leurs femmes et enfants. D’autres épuisés par tant d’effort et d’actes de bravoures rejoignaient les tentes spécialement aménagées pour leurs prodiguer les premiers soins.

Notre Naib de retour, nous décidions avec quelques Feydakins d’effectuer une ronde de garde aux alentour de l’oasis. Nous prenions nos chevaux en direction des dunes de sable.
Il faisait nuit. Le ciel parsemé d’étoiles nous servait de lumière artificielle et nous permettait de mieux observer les alentours. Pas âmes qui vivent. Juste un léger vent froid accompagnait les hennissements de nos chevaux.
Du haut de nos dunes, nous apercevions le campement avec ces feux de camps avec dans le ciel ce magnifique tapis d’étoile. Une étoile brillait plus que les autres et se situer juste dans l’axe de la tente notre naib. Quel était son nom ? …Je ne sais pas. Peut être un esprit bienveillant …

Alors je dis :

« Cette nuit sera calme. Redescendons ! Allons nous reposer aussi ! »

* dans ma tete *

« Hum ! Encore combien de temps ?…Bah ! N’y pense pas ! »

Aegis

L'élément moteur

la glace fond, le coeur s'anime
Quel sera l'élément moteur ?
la rédemption en marche comme une grande vague
Fera peur au plus superstitieux, libérera le libre penseur.
La tempête déclenché sera tel apaiser ?

Ton âme torturé sera tel libéré ?
Ton coeur pétrifié serrât il humanisé ?
la réponse arrive ton corps le manifeste
Une renaissance est en marche.

les prophéties aléatoires, le fou, prophète blanc des Nomades

Les murs

Ma cape flotte au vent du soir, je reflechis.

Bientot les nomades serons grands, mais bientot un tournant sera pris, bientot les illusions seront réalité, faisons attention de ne pas oublier nos racines, de ne pas oublier ce desert qui nous fait vivre, bientot des murs blancs comme la neige des hautes montagnes du nord s'eleverons du sable fin. Des murs si hauts, et si beaux, des murs capablent de garder en son sein, tout les refugiés, tout les sans abrits, tout les misereux du continent, capable de garder en son sein une armée si forte, une armée sans autre pretention que de defendre nos acquis et nos valeurs, une cité capable de contenir en son sein des temples si grands, et si beaux, au statues de marbre et d'opale, au voute d'or feuilleté, au vitraux cristallins, capable de garder en son sein des jardins si grand que l'on pourrait y loger tout les animaux du desert, et des jardin si beaux qu'on pourrait s'y sentir comme dans un autre monde.

Ces murs s'eleverons bientot, avec l'aide d'etranger, en qui je place ma confiance, ces murs bercerons nos reves et nos desirs, bercerons le desert d'une douce lueur d'espoire, une lueur infinie et sans nom, une lueure de bienfaisance. Bientot la cité sera la, grande, puissante, merveilleuse, splendide, a la hauteur de toutes nos esperances les plus folles.

Bientot je regarderais l'avenir d'un oeil attentif, bientot je regarderais l'avenir avec un sourire au levres, car tout n'est pas perdu, non, tout n'est pas perdu...

La Nouille

C'est un Honneur

La vue perçante d’un aigle, l’ouie développée, un sens de l’orientation inégalable, une discrétion absolue et la rapidité d’un tigre, voilà les qualités qui faisait du Naib Fedaykin El Arwasi un redoutable guerrier. Il était craint des nombreux pilleurs et autres bandits, assassins et marchand d’esclave. Pas uns n’osaient s’aventurer dans l’Oasis du Désert des Larmes ni même tenter une approche vers nos caravanes.
Il était à la fois puissant, craint mais également bon, honnête et juste à la fois.
Ratus, Naib des nomades, notre lumière à tous, le fit élever au rang de Naib Fedaykin qui le faisait garant de la protection des nomades. Ce fut un grand honneur pour lui. Mais malgré ce titre prestigieux, il demeurait humble et savait qu’à ses yeux seul Ratus restait le seul véritable Naib.

C’était il y a quelques années en arrières.

El Arwasi mourut d’une maladie inconnue contractée lors d’une bataille. Son décès causa une profonde tristesse au sein des nomades et des peuples environnants. Tous ces peuples vouaient un profond respect pour cet homme épris de liberté et de justice. Son enterrement fut à l’image de cet homme. Femmes, hommes et enfants se rendaient tour à tour au sommet d’une dune, là où nous ensevellissons nos morts, pour lui apporter un dernier hommage. Cette dune porta par la suite son nom, la dune El Arwasi. Ce lieu devenait incontournable notamment pour les hommes désireux de se battre pour la défense de nos valeurs. Ils venaient tous s’y recueillir afin de puiser force et courage.

Les années ont passés.

Aucuns fedaykins n’a osé depuis porter le titre de Naib Fedaykin malgré les nombreuses demandes de Naib Ratus. Jusqu’au jour ou Ratus en personne vint me voir personnellement sous ma tente. Il me dit :

« Aegis ! Les épices m’ont fais entrevoir une vision du futur et je vois en toi le digne successeur de El Arwasi »

Et il ajouta :

« Tu sais Aegis, si El Arwasi était encore de ce monde, je pense qu’il aurait voulu un homme comme toi pour le remplacer. Tu possèdes les mêmes instincts que lui bien que tu sois encore jeune »

Ces paroles de Ratus me sont allées droit au cœur et je n’ai pu refuser une telle proposition. Je suis jeune pour être Naib Fedaykin mais avec l’aide de mes frères et sœurs nomades et ainsi que Ratus notre chef, je tacherais d’être à la hauteur de mon illustre aîné El Arwasi et défendre notre oasis.

Aegis, Naib Fedaykin

Evenement

Un tremblement....

Les tentes sont secouées, la terre bouge. C'est la panique...

Mais que ce passe t'il !! Les enfants courent partout, les femmes hurlent et pleurent. Les hommes prennent les armes.
Mais rien a combattre.
Le sable se souleve, en differents endroits de grande cracelures se forment, qui se rebouchent aussitot.
Nous restons tous serrez les uns contre les autres dans la tente du Naib.

Nous attendons...
Le sable vole et viens nous bruler les yeux. Comme une tempete de sable surnaturelle...
Puis plus rien.
Plus un bruit.
Plus un tremblement.

Les plus courrageux sortent, et nous cherchons en vain la cause de tout ceci.
Certain clame deja que l'esprit de la terre c'est facher, a cause de nos traveaux...
Puis un vombrissement... sourd, fort.
Et une ombre sombre cmment a manger le camps.
Nous levons tous la tete, il pleut du sable...

Comment expliquer ses evenements?

Comment savoir ce qui c'est réellement passé?
Dans la meme journée nous decouvrions, dans les alentours d'Oxoroc, un trou enorme, de la taille d'un chateau...

La Nouille

Le néant

quand le feu rédempteur
tel une fièvre de bonheur
s'élèvera dans les cieux
le changement en route
laissera sans mots
la plupart des bados
L'espoir renaissant sortirai il du néant ?

Prophétie alternative, le fou prophète blanc des nomades.

Souvenir

J'me suis promené aujourd'hui a Trigorn.
Bah, j'ai évité les rues trop riche, elles sont pleines de gardes.

J'ai vu aussi des p'tits loubards.
Ils ont attrapés une pomme sur l'étalage, et le marchand s est mis a leur courir apres. Puis les gardes ont pris la chasse egalement. J'en rigole encore...
Ces petits malins connaissent cette ville comme leurs poches, ils ont du fuir par les toits ,ou les égouts.

Ca me rappelle quelques bons souvenirs. J'ai trainé aussi dans ces bas quartiers.
La plupart de mes potes ont finis je sais pas comment, je ne les ai jamais revu.

Faites attention a vous les ptit gars.

Pat Hibulaire

L'auberge

Hé bah voila, ils ont fait joujous avec les gardes, et voila que les patrouilles sont renforcées.
Bon, je vais passer la nuit a l'auberge en attendant que tout ca se calme, et j'commence a avoir les boyaux qui me tiraillent.

-"Salut l'ami ! Qu'est-ce qu'on peut manger d'bon dans ce taudis ?
Quoi ??? Du ragout de serpent!!! Non mais ca va pas des fois !!! Moi qui rêvait d'un bon morceau de boeuf, ou des saucisses grosses comme mon bras, un cochon braisé au feu de bois, et tout ce que vous me proposez c est un produit exotique ? non, vraiment, merci mais non ! Donnez moi votre ragout habituel, ca me changera un peu. Ah tient, tant que j'y suis, prépare moi une chambre, et avec les draps du jour, je voudrais pas attraper les puces du dernier mendiant qu'est venue se coucher ici"

Bon, ca va , le service est rapide.
Et v'la que je remanges tout seul. Bah, j'commence a avoir l'habitude, et c'est pas mon ombre qui va me contredire !

Pat Hibulaire

L'Arbre de Vie

C’est dans cette petite grotte, au flanc de la montagne qui borde l’oasis, ou je me rends plusieurs fois par jour.
C’est un sanctuaire. L’entrée est petite, mais l’apparence est trompeuse. Il s’agit d’une grande salle ou le plafond est à quelques mètres au dessus de ma tête.
En regardant mieux, on peut apercevoir des chauves souris dans les petits recoins, se reposant tant que dure le soleil.
Quelques trous sont creusés dans la pierre. Des filets de lumière traversent la salle et éclairent la pièce.

Je viens plusieurs fois par jour. Le petit arbuste au fond de la grotte mérite une attention particulière. A mémoire de nomade, on l’a toujours connu. Il est notre Arbre a épice. Il ne pousse que dans le Désert des Larmes, et est nourri d’un secret que les nomades préservent des curieux.
Celui-ci est très fragile. Il lui faut que peu de lumière, et une fraîcheur constante qui est garantit par la roche. Des gouttelettes d’eau s’écoulent de la roche. Nous ne savons pas d’où elles proviennent, mais elles ont le goût amer des larmes. Notre désert porte le nom du Désert des Larmes par la cause de ces Larmes qui coulent. Ces larmes nous redonne l’espoir, la vie, l’épice.

L’épice nous permet de soigner des blessures, d’augmenter la fécondité, mais surtout nous procure le don de communiquer avec les esprits de la nature.
Nos Guérisseurs constitue ensuite une baume qu ils étalent sur les blessures pour qu elles se remettent plus facilement.
Nos Shamans l’utilisent en infusion, ou a fumer, pour s’évader avec les esprits du vent, sentir la colère du soleil, entendre la chansonnette de l’eau, ou comprendre la détresse de la terre asséché
L’épice est récoltée puis faite séchée. Nous n’en vendons pas, la récolte est trop faible.

Cet Arbre est précieux pour nous. Nos légendes racontent que lorsque moura l’Arbre d’épice, alors le déclin des Nomades commencera.

Sharrack, protecteur de la Nature

Traitre !!!

Je marchais tranquillement dans l'ile des sages a la recherche d'un peu d'eau.
quand je me fis accoster par un certain generalms...
il me semblait gentil...la parole galante pas un mot de travers...
il m'entraina dans un endroit desert...
quelle naive que je suis...
il m'a planté son épée dans le dos...
je lutte pour ne pas mourir...
que va t'il advenir de moi dans ce desert?
je ne vois personne aux alentours...
et je n'ai pas de patrie je le regrette a present je croix que je vais mourir ici sans que personne ne le sache...il fait chaud...je murmure un dernier au-secours...

Jodylinn

Le dernier Murmure

La chasse aux serpents s'est avérées fructueuse. Le serpent a trois tetes est redoutable, mais c'est lui qui a la peau la plus demandée a la grande ville.
Je montais mon chameau et me dirigeai vers l'oasis.
Quand tout a coup le vent me glaca, il sifflait, fort.
Il m'alertait d'un danger, puis tout d'un coup plus rien, j'écoutais...

Un murmure, une faible voix..."au secour...". Les plaintes d'une femme.
Je descends de mon chameau et me précipite vers la voix. Elle était la, agonisante, la bouche seche, du rouge dans le dos. je découpais un pan de ma tunique et lui encercla le dos pour arreter l'hémorragie.
Personne, personne pour me venir en aide, pour alerter l'oasis. Je n'ai pas le choix, je dois l'emmener comme ca.
Je l'entends, elle murmure "le general... le general m a ..." elle tombe inconsciente.

Le général de la grande ville , par ici ?
Je pense qu'elle a du avoir des hallucinations. Elle est assoiffée, et le soleil a du lui prendre sa raison. J'en informerais tout de meme le Naib.

Je la monte sur le chameau et me hate de retrouver l'oasis. J'espere qu elle va survivre, mais je crains fort pour elle.

Sharrack

La rage de dent

Le dragon un matin se réveillera avec une rage de dent !
fou de douleur, il se sentira prêt a mordre tous et n'importe qui
malheur a qui croisera son chemin
la bête d'humeur beliqueuse
foncera tête baisé pire qu'un vieux sanglier
l'animal de rage sur une piste savoneuse
les blessures passé essayera de ravivé
le mal ou le bien voilà encore une croisé de chemin
Catalyseur prend garde a toi la bestiole est furax toujours et encore contre toi !

Prophétie aléatoire, le fou, Prophète blanc chez les Nomades.

Nos plaies...

Nos plaies commençaient a se pansé, des nomades issus de tribus massacrés par la rage des croisés se rassemblé autour de notre famille. Dernièrement encore deux nomades avaient rejoint notre campement. Meraiko un bon combattant atteint de quelque problème lié a un très dur passé et dragon noir un cavalier de grande classe véritable furie en mêlé.
Ma propre santé se remettait peu a peu, je pense que le fait d'utiliser la vieille cane de ratatouille l'ancien m'avait été salutaire. Nous pouvions recommencé a regarder vers le futur.

se matin, sharrack vient me voir :
sharrack "mon oncle, j'ai trouver une femme mourante dans le désert. elle avait une lame planté dans le dos ! elle murmurait général"
Ratus : "Tu connaît l'antique loi qui régis notre oasis, quel soit soigné, que des gardes soit posté autour de sa tente. Nous l'interrogerons quand elle ira mieux....."
Sharrack : "Bien mon oncle."
Ratus : "Que Aegis soit informé au plus vite et que le Muad'dib soit mis sous haute protection. Nous organiserons un grand conseil, dés que nous en serons plus."

Il me semblait une fois de plus que nous allions servir de bouc émissaire dans des querelles qui ne nous regardaient pas.....

Ratus, Naib des Nomades.

Jodylinn

La demoiselle souffre, et la fievre l'anime. Elle convulse. La pauvre n'as que peut de chance de s'en tirer. Le naib et moi avons discuté, longuement, et nous avons decider de donner a la demoiselle les soins necessaire, le naib a reclamé la fabrication de la pate, avec l'épice, pour qu'elle se remette de ses blessures. Aucune perte n'est acceptable. Mais l'épice ne guerris pas tout, et la dame n'est que trop souffrante, sa vie est entre les mains du destin a present...

Sharrack nous a rapporté l'histoire, la demoiselle etait seule, au bord d'un oasis perdu, son dos immaculé d'un sang pourpre, murmurant le nom de .......... général....

Général? Des souvenirs reviennent, ma tete s'embrouille, je vacille...
Non ca ne peut etre qu'une coincidence, cette femme delire, que ferrait le général dans une terre pacifique, et pourquoi s'en prendrait t'il a une femme...

Sharrack nous a aussi rapporté qu'elle avit a sa main un cimeterre. Une voleuse des sables sans doutes...
Apres tout, voleuse ou pas, l'oasis est une terre d'acceuil, et jamais nous laisserons une personne mourir devant nos yeux.

J'espere qu'elle se retablira vite...
Elle parait si jeune...

La Nouille

Ou suis-je … ?

je n'arrive pas a ouvrir les yeux...je reprend mon souffle,j'ai l'impression d'etouffer.qu'est ce donc que cette horrible douleur dans mon corp?
je respire encore et tente une nouvelle fois d'ouvrir mes yeux...j'y parviens avec peine...
j'entrevois dans le flou...
je ne vois pas le ciel...mais ou suis-je?
et puis quelle chaleur!!
je me sens tres faible,je regarde autant que je peux autour de moi...
non je ne connais pas cette endroit...

Jodylinn
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Réveillée

Les gardes m'ont avertis, la demoiselle c'est enfin reveillée.
Je cours vers la tente de la malade, ma tunique s'emmele dans mes jambes, je m'ecroule. Me releve presque aussitot, entrouve legerement le voile de la tente.
Doucement je glisse un oeil attentif. La femme est allongée sur des coussins fins et voluptueux, epousant parfaitement le corps de la jeune femme. Elle tremble, tente desesperement d'ouvrir les yeux. Elle sue.
Je m'approche lentement, l'épice a fait son effet, le pansement est taché de rouge mais l'émoragie semble stopée. Sans bruit je la contemple, c'est une fille du desert, a la beauté sauvage de celle qui vive sous ce climat. La peau brune, les cheveux fins.
Je depose delicatement sur son front un linge humide et chaud.

"Doucement mademoiselle, doucement"

La Nouille
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Mais…


..."qui etes vous?
est ce vous qui m'avez mis la?"

je pense parler fort et distinctement,mais je crois que ce ne sont que des murmures qui sortent de ma bouche...

"pourquoi cette douleur?que s'est til passé?"

ces mots m'epuisent...pourtant j'ai assez de force car je veux savoir...je ne me souviens plus de rien...vraiment...

je prends mon souffle et essaies de parler plus clairement...

"qui etes vous,monsieur?et ou suis-je?"


Jodylinn
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Paroles

Ses mots sont incomprehensibles, farfouillit de mots entrelacés sans aucuns sens. Elle tente plus clairement de s'exprimer.

"qui etes vous,monsieur?et ou suis-je?"

Hé bien, moi je suis William, william de la nouille, je suis....un homme du desert...

Vous etes dans notre oasis, notre campement, notre village, enfin bref la ou nous vivons.
Ne vous enervez pas, ne bougez pas, vous allez vous epuisez. Gardez vos forces. Vous en aurez besoin.

Mais peut etre pourriez vous plus tard m'expliquez ce qui c'est réellement passé. Nous vous avons trouvé au bord d'un petit oasis, apperemment une lame vous a transpercé l'epaule. Vous... Ne vous inquietez pas. Pour l'heure reposez vous... Nous vous soignerons bien...

La Nouille
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Je suis perdue…

me souvenir...j'aimerais bien pouvoir...que m'est t'il arrivé je n'en sais rien.je suis tout juste capable de me souvenir de mon nom...
ils vont me soigner,oui ils vont me soigner...
j'ai confiance en cet homme...
je fini par m'assoupir dans un dernier murmure...

Jodylinn

…

Ces yeux se ferme, sa bouche se tait. Elle dort. La lumiere su soir berce melancoliquement son doux visage. Derriere ses traits fins et melodieux se cache peut etre l'allure d'un démon.
Son corps puissant et feminin me fait penser a ses femme fedaykin, qui sont si belle, mais si sauvage.
Quelles choses a t'elle a cacher? Un passé peut etre trop lourd pour ses epaules.
Sa blessure l'as completement epuisée.
Moi je la contemple, etendue devant moi, comme une fleure du desert. Drole de fleure en realité, car elle est tombé du ciel.
Peut etre appartient elle a une autre famille que la notre, ou peut etre vient elle du continent...
J'espere que mes questions trouverons reponses lorsqu'elle se reveillera...

Je regarde une derniere fois le corps etendu, m'attardant sur ses mains fines et superbes...

La Nouille