Chapitre 5 Le démon de l'Oasis, L'arrivée des Elfes Noirs

L'aube rouge

l'aube rouge se léve
amenant avec elle de nouvelle terreur
la doctrine du mal contre le mal
reprenant le dessus
l'espérance en un lieu isolé
combien de temps devrons nous encore subir
La pluie despotique de tyran en tyran ?

catalyseur réveille toi
catalyseur prend ton envol
il est l'heure de se réveillez de regarder ver le futur
le cavalier de la rédemption doit être ton allié
Destin farceur l'innocent lié avec le coupable !
En route catalyseur nous avons un monde a sauvé.

Prophétie aléatoire, le fou, prophète blanc chez les nomades.

Les Nomades

ce matin je fus reveillée par un membre de cette grandes famille que sont les nomades.
il m'a apporté de la nourriture...
je me sens bien ici,pourtant j'ai le sentiment d'etre une intrue...
quand il est sorti de la tente, je me suis mise a penser...
je ne pourrais jamais remercier ces gens comme ils le meritent je suis indigne d'eux,je ne merite meme pas d'etre la!
je me demande pendant combien de temps ils supporteront ma presence.surtout qu'aparemment ils ont bien d'autre problemes...
il faut que je songe a partir serieusement.Les laisser en paix et eviter qu'ils aient un poids suplementaire sur le dos sera pour moi la meilleure facon de les remercier de leur hospitalité...

Je n'arrive pas a manger ce matin...
Je mange le peu que je peux avaler.
je sors de la tente et erre entre les tentes de ce peuple...je ne sais pas ce que je dois faire...

Jodylinn

J'ai vu la clef...


Voila maintenant deux semaines que je me déplace dans le désert à la recherche du Ai no Fugue. Plus rien n'existe, le desert de sable immense semble avoir disparut, laissant place au néant qui gagnait le coeur d'Ilian depuis sa tendre enfance. Totalement obnibilé par sa recherche vitale, essentielle à son expiation, il ne s'était pas rendu compte que ces jours de marche inscessants avaient eus pour effet de lui casser les deux jambes.
Jusqu'à maintenant aucune forme d'existance en dehors d Ai no Fugue ne s'était éllevée entre lui et sa recherche de la nazca. Mais les limites de son corps humain reprenaient le dessus.

lentement, le sol insensément moux que formait la masse de sable traitresse semblait se raprocher de lui. Les premiers a ceder furent ses deux pieds, puis ses genoux. Et alors que ses lèvres gercées à l'extremes éffleuraient le sol, Ilian commenca a penser que plus jamais il n'aurait l'occasion d'expier ses fautes aupres du grand Ai no -NON-

coup de tonnerre dans son esprit. Une mini tornade avait pris place au creux de sa tête, ravageant toutes ses pensée obsolètes qui ne - Ne Baisse Pas Les Bras.-

Les yeux de l'homme furent totalements submergés par une chose qu'il n'avait plus vut depuis trop longtemps. Ilian passa successivement par toutes les emotions, des pleurs à l'istérye totale, son corps convulsé à l'extrème.

Au dessus de lui, en lui, planait une ombre gigantesque, d'une superficie a peu pres égale au village tout entier des nomades, celui qu'il avait vu une dizaine de jours de cela. Il n'en croyait pas ses yeux- Le Ai No Fugue Ne T'as Pas Oublié. La Route Que Tu Enmprunte N'est Pas La Bonne, Ilian. Il Y As Encore Une Chance... Infime. Trouve Le Vieux Nomade, Celui Qui A Reveillé L'esprit Du Vent. Le Reste...-

Ilian était pétrifié, il osait a peine cligner des yeux. La voix de sa bien aimée s'était engoufrée dans son esprit, aussi nette que lorsqu'elle vivait encore, avant que cet abomination ne -Dépèche Toi... Le Temps Presse. Les Nomades Sont En Danger.-



Ce fut alors que vint la vision. Un jeune enfant, probablement -sordide- un nomade, pres d'un puit, venu tirer de l'eau pour faire subsister sa famille. La forme -cauchemardesque- qui s'extirpait du sable, deux yeux rouges d'une rage trop longtemps contenue. Une arme -tue mutile estropie- d'une taille inimaginable, Une lance porteuse de mort. Ilian l'avait déja vue, lors du combat contre les croisés. Cet etre au dela de la compréhension, celui qui semblait donner la mort a ses enemis juste par plaisir. L'être en armure noir et aux cheveux de jais. L'enfant lui, ne l'avait pas vu. Ce fut le sang, tout le sang, les trippes de l'enfant, recouverts rapidement par le sable, comme un film passé en accéléré-carnage-. La vision de l'homme qui s'éloignait, sa soif de vengeance encore a ses balbutiements. -Vers Le Camp Nomade !-




Ilian ne comprit pas ce qu'il lui arrivait. Il était debout, devant une tente aux teintes bleuatres, en plein milieu de ce qui semblait être la demeure des hommes du desert. L'odeur du sang chaud encore incrustée dans ses narines, il se dit qu'il avait eu tort.
Tort de croire que sa douce qui l'observait, tort de croire que le grand condor au dela des nuages, l'avaient abandonnés.

Plus jamais il ne douterait. Il poussa le voile de la tente des nomades, il était prêt, guidé par son instinct, par le bruit du vent du sable, par le Ai no Fugue. Les nomades devaient êtres avertis, il leurs devaient la vérité.

Ai No Fugue

Tout était calme...

Tout était calme aujourd’hui au campement. La plupart des chasseurs étaient partis au loin, et tout le monde était occupé à ses taches quotidiennes. Certains travaillaient à l’orangeraie ou l’on avait construit un conduit en bois ou s’écoulait l’eau qui irriguait les cultures, d’autres aux dattes ou au figues. Certains faisaient de la poterie où emmenait les bêtes paître l’herbe fraîche qui borde l’oasis. Le Jama al ahk apprenait à de jeunes chameaux à s’accroupir afin de les monter.
Je rapportais la récolte d’épice obtenu aujourd’hui, la blessure de madame Jodylinn avait puisé dans nos réserves.

Lorsque j’arrivais auprès des tentes, je vis madame Jodylinn. Je la voyais flâner entre les tentes. Elle ne savait manifestement pas quoi faire. Je me rappelle quel idiot je suis, je lui avais promis de lui faire visiter les Jardins nomades, dont nous sommes si fiers.
Le Muad’Dib et le Naib étaient partis a la rencontre des autres familles nomades, afin de nous organiser contre une éventuelle attaque. Celle que nous avons subie il y a peu contre les croisés, ces marchands d esclaves, nous a donné a réfléchir et de comprendre que nous devions nous unifié.

Mais pendant ce temps, madame Jodylinn est restée au campement, sans connaître les personnes qu elle pouvait voir autour d’elle. Les sentinelles nomades n’ont guère le tempérament à discuter, et Aegis le Naib Fedaykin avait donné des ordres précis quand à la surveillance du camp et des alentours.
Je rejoins madame Jodylinn, en lui priant de m’excuser de n’avoir pu être à ses cotés durant cette longue journée, mais que mes taches étaient nécessaire. A la voir marcher ainsi, je vis que l’épice avait fait son effet, et que la guérison de sa blessure ne faisait plus de doutes, bien que celle-ci pouvait être encore douloureuse à certains mouvements du corps.

J’avais été un peu brusque avec elle dans la salle du conseil, bien qu en réalité, je cherchais surtout à satisfaire ma curiosité. Notre peuple ne connaît que trop peu souvent le calme dernièrement, et j’ai toujours peur de voir surgir des hommes en armure venant du continent.
J’essaye d’oublier toutes ces questions, et bavarde avec Jodylinn sur la raison du départ précipité de Muad’Dib et de mon oncle Ratus, tout en allant déposer l’épice a la tente du Naib.
Celle si est déçue de les savoir partis, mais elle repris le sourire quand je lui annonça qu ils seraient de retour demain.
La tente du Naib était modeste, même aux dires des nomades, bien que plus spacieuse. Une table basse de bois provenant du continent supportait une énorme cruche d’eau. Je servais de l’eau à Jodylinn puis but le mien d’un seul trait.

Maintenant débarrassé de l'épice, je conviais madame Jodylinn à la visite de notre Jardin, véritable île de végétation exotique en plein désert. Des dizaines de génération perpétraient le travail délicat que représentaient ces fleurs aux milles couleurs. Des fontaines qui abreuvaient les plantes dans un désordre complet mais ou pourtant chaque pousse avait sa place.
Nul doute que la vue de ce royaume enchanté, comme le dise les livres, saura lui rappeler quelques instants de bonheur, et la divertir quelques instants, en des moments de solitudes, ou l’on a besoin de retourner à ses rêves.

Nous allions sortir de la tente, quand tout a coup, je me retrouvai nez a nez avec un homme.
Il ne tenait plus sur ses jambes, et il failli tomber sur moi quand il m’aperçut. Ses yeux s’ouvraient a peine, et il avait le visage emplis de sable et de poussières.
Jodylinn et moi se précipitâmes à son aide et le firent s’asseoir sur un amas de coussins.
Il essayait de nous parler, mais sa bouche trop sèche nous empêchait d’entendre ses paroles.
Je me précipitais de lui servir l’eau fraîche de la carafe, qu il but par petites gorgées.
Il reprit son souffle enfin, et ravala la salive qui lui manquait tant.
Nous l’écoutions attentivement…

Sharrack

Le danger est déja la

Ilian se reveille enfin, sortant d'un demi coma du a sa longue traversée du desert. Si faible, si faible. Il recommence a vaciller
il ne doit pas, il ne doit pas, le Ai no Fugue a confiance en lui.
confiance en lui pour avertir ce peuple.
Au moment ou il sent son esprit quitter son corps, il est retenu par deux paires de bras, qui le portent doucement jusque dans la tente. Ilian a du mal a garder les yeux ouverts. Il devait ls prevenir du danger qui pesait, mais sa voix se tut, comme si une barrière infranchissable s'était élevée entre sa gorge et l'exterieur.
L'homme lui donne de l'eau. Délivrance. Son esprit se ratache a lui.

Enfin en état. Enfin pour quelques temps, mais cela sufira. De toute facon, son enveloppe charnelle avit déja souffert mainte fois au dela de toute esperance. Nul doute que c'était uniquement l'oeuvre du Ai no Fugue si son corps ne nourrisait pas les charognards.
Il reprit sa salive, pret a prononcer sa sentence. Bizarrement, ce fut Ilian qui s'exprima. Pas l'Ilian détruit par sa conviction irrésonnée envers le Ai no Fugue, mais l'Irian qu'il aurait pu être en temps normal.

"Vous devez ... prendre garde. Prevenez le village.... Un homme, un croisé... monstrueux, j'ai lu la haine dans ces yeux... Il vient vers vous... Je l'ai appercu durant la guerre...il est, il n'est pas comme nous... c'est le mal. absolu. La folie a ... a ... a l'état pur."

Ilian déglutit, sa vue baissait dangereusement. Il réclama encore de l'eau

Ai no Fugue

Saletés de puces

-« Grrrrrr, je l’aurais parié, ils devait bien y’avoir des puces dans cette literie. V’la maintenant que ça m’gratte de partout. C’est l’avantage du désert, il y a pas de puces, mais il y a des moustiques ! Bon, un p’tit bain s’impose, et j en profiterais pour me racheter de quoi me vêtir. »

Je descendis les marches de l’auberge, pris un bol de lait et un gros pain de seigle pour déjeuner, et paya ma note sans oublier de critiquer l’établissement sur les mauvaises odeurs d’écuries qui parvenait jusqu’aux chambres.
Je quittais l’auberge en promettant de ne plus revenir.

J’arpentais les rues de Trigorn, et me rendis a la place publique, ou les ventes a l’étalage se faisait les plus nombreuses. Je dénichais des loques suffisamment sombres pour me convenir, lorsque je vis deux hommes discuter à l’écart des autres.
Par habitude, je dressais l’oreille pour savoir de quoi il retournait. Cette agitation je la connais, c’est celle des petits gens qui on peur qu il leurs arrivent malheurs, et tant que je suis à Trigorn, aussi bien apprendre les dernières rumeurs qui circulent.

-« mais si, je t assures, c est comme je te le dit, le type a planté sa lance dans le sol, d’après mon frère, il parait même que le sol aurait tremblé, et pis il a dit comme quoi qu il voulait savoir ou étaient les nomades. Moi je le dis, ces nomades n’ont rien à faire chez nous, ils vont nous attirer le malin, et ce Guerrier Dragon n’est que le premier avertissement »
-« oui, tu as raison, les nomades sont comme la peste, et leurs chevaux ont une tête que j’aime pas, sans compter l’espèce de bosse qu ils ont et que les nomades essayent de cacher en mettant un drap dessus. Oui, tu as raison. Il faudrait les empêcher de rentrer dans la cité »


Mais qu’est ce que c’est que cette histoire, qu’est ce que c’est que ce Guerrier Dragon qui recherche les nomades en terrorisant les bonnes gens. Il faudra que je me renseigne là dessus.
Bon, pour l’instant, priorité au bain, d’ailleurs les bains publics sont pas loin d’ici. Parce que la franchement, ça commence a m’taper sur les nerfs. J’commence à avoir l’impression de les sentir galoper sur moi ces saletés de puces.

Pat Hibulaire

Me voila...

*s'approchant du groupe d'aventurier massé vers la fontaine*

hum...
Salutations messires.

voyant tant de personnes, j'ai pensé que la moindre des politesse serait de me presenté.

Je suis Rafaruto, guerrier dragon, et ma lance pourfendra mes ennemis.

*sentant quelques regards mauvais*

du calme, il est trop tot pour un affrontement, vos forces ne sont pas de mon niveau mais demain est un autre jour.

Je suis venu dans cette contré car j'ai eu vent d'une rumeur interéssante. On m'a dit qu'une tribu de nomades survit dans le desert protégé par l'esprit du vent ou du sable..

enfin je n'ai rien pu tirer d'autre du paysan que j'ai croisé. Pourriez vous m'en apprendre plus?

*dégainant sa lance*

Pour se qui est de mes buts et intentions, cela ne vous regarde pas, réponsez et le sang ne coulera pas inutilement. De plus que penserais la population si les étrangers commencent a se faire attaquer pour de simples questions..

*plantant violement sa lance dans le sol*

Je resterais en ces lieux jusqu'a se que mes interrogations trouvent des réponses, si vous voulez vous débarrasser de moi, parlez serait le plus rapide...

Sur ce, jusqu'a se que les langues se délient, bonsoir.

*l'étranger fit quelques pas et alla s'adosser contre un plan de mur longeant la place*

Rafaruto

La Rose des Sables

< -Tais-toi démon,répliquai-je comme toujours>>.
Pourquoi avait-il fallu que mon ambition m'améne la?Pourquoi ai-je sacrifier mes hommes pour prendre ce trésor qui ne m'as apporté qu'un démon?
Maintenant,si je voulais survivre il fallait que je retrouve 5 artefacts maudits pour libérer ce stupide démon de mon corps.La Rose des Sables était l'un de ces artefacts et un sage m'avair révélé qu'il appartenait aux nomades.Mais voila une semaine que je cherche ces nomades dans ce foutu désert sans les trouver.
Je décidais de m'arêter au prochain oasis afin que Spite,le sang-froid que je chevauchais puisse se désaltérer.C'étais un grand reptile possédant des écailles dures comme la pierre.
Un village s'était construit à coté.Peut être saurais-je enfin ou se cachent les nomades.Je lançais ma lance vers le 1er villageois que je croisais.
< Alos que ma lance touchait le sol,le démon le fit trembler.
-Ou sont les nomades?,lui crias-je.

ChildOfTheDamned

De simples précautions

Le vent souffle à nouveau sur l’oasis. Mais ce n’est pas Nyamo, fée de l’air et maîtresse du vent. Je la reconnaîtrais par son frôlement délicat et chaud sur ma peau. Non ce vent est bien différent. Je ressens dans son souffle un message porteur d’un danger potentiel. Mais quoi ! ?

Il y a cet homme, arrivé devant une de nos tentes. Assoiffé, couvert de sables, de poussières, ne pouvant à peine parler. Il veut nous apporter un message, cela se lit dans ses yeux meurtris
Et mon ami Pathibulaire, toujours au bon endroit au bon moment, me rapportant la rumeur qu’un mystérieux guerrier dragon serait à la recherche de notre camps.

Il se trame quelque chose.

Des dispositions s’imposent. L’oasis se doit d’être sous surveillance.

Je convoque quelques-uns de mes fidèles et valeureux guerriers, adressant à chacun d’entres eux une mission bien particulière :

- Aux Sentinelles de veiller sur nos invités, de monter la garde devant la tente du Naib et du Muad’dib, de protéger l’épice, les réserves de nourritures, nos marchandises et bétails.
- Aux Eclaireurs d’effectuer des missions de reconnaissances et de surveillances aux alentours du Désert des Larmes.
- Quelques Assassins des sables sont tapis dans le désert pour espionner. Personne ne les voie. Ils sont là, cachés, à coté de vous, ils vous entendent, vous sentent sans que vous vous en rendiez compte. Moi seul connaît leurs positions.

Peu d’hommes sont mis à contribution. Quelques Eclaireurs, Sentinelles et Assassins des Sables sécuriseront suffisamment les environs. Mes combattants d’élites quant à eux sont là, présent, attendant les événement et mes consignes. Mais pas question de les engager dans ses missions de surveillances et de protection.

Malgré ces mouvements, la vie poursuis son cour. Chacun vaque à ses occupations habituelles. Il est inutile de provoquer une panique au sein de notre peuple, ce ne sont que de simples précautions. Les voyageurs, quand à eux, continuent de traverser notre oasis en bénéficiant toujours de notre hospitalité.

Aegis

Je les ai trouver

J'avais suivi les instructions des villageois avec précautions.Mieux valait pour eux qu'elles soient exactes.Normalement,je ne devais plus être très loin de ces fameux nomades.Le soleil se couchait au loin quand j'aperçu
un homme monté sur une de ces étranges bêtes que les voyageurs utilisaient si souvent en cet endroit.Il s'approchait et je ne savais si ses intentions étaient hostiles;losqu'il fut à portée de voix,il me déclara:

-Halte là voyageur!Veuillez décliner votre identité.Vous êtes ici sur les terres des nomades,si vous venez en paix vous êtes le bienvenu sinon préparez vous à subir notre couroux.

Mon sang ne fit qu'un tour lorsque j'entendis le mot "nomade".J'avais deux solutions,je pouvais essayer de leur faire croire que je n'étais qu'un voyageur paisible mais je pense qu'ils se seraient doutés de quelque chose.Il est sur que mon armure compléte et mon épée ne jouaient pas en ma faveur.De plus,les habitants de cette contrée avaient pris la facheuse manie de m'appeler guerrier dragon à cause de Spite.J'optais finalement pour la seconde solution.

-Je suis Malus Darkblade,héritier elfe noir de Hag Graef.Pour mettre fin à ma malédiction et débarasser mon corps du démon,j'ai besoin d'un artefact que vous possédez,je suis prêt à mettre fin à vos misérables vies pour y arriver>>

Je vis sur le visage de la sentinelle un mélange de peur et de surprise.Il essaya vainement d'attraper son cors,je vidais les carreaux de mon arbaléte à répétition sur lui et sa monture.Il s'effondra sur le sol.Je laissais Spite à son festin tandis que je marquais sur ma carte l'emplacement de la rencontre.Je partais sans tarder de peur de voir une autre sentinelle arriver.Je reviendrais plus tard avec des renforts et de l'équipement.

Sur le chemin du retour,j'eus l'étrange impression d'être observé,impression que me confirma le démon.Ces espions étaient des maîtres du camouflage:malgrés mes sens d'elfes noirs en alerte,je ne réussis même pas à voir une seule trace.Il ne me restait plus qu'à demander à mon roi le grand sorcier Malékith une escouade et je pourrais éxécuter un raid et m'emparer de la Rose des Sables.

ChildOfTheDamned

Ma tâche

Depuis ma plus tendre enfance, j'ai sillonné le désert. Dans un premier temps aux prés de mon père, puis seul.
Durant toutes ces péripéties, j'ai fait bien des rencontres, lié de nombreux liens.
C'est de se savoir acquis sur le tas que je me sert aujourd'hui pour tenté d'unifier mon peuple.
Le conseil nomade a décidé de tenté de fédérait les tributs autour de ma famille.
La bataille contre les croisés a montré les limites de notre peuple, chaque tribut tentant de faire face seul.
Avec le Muad'dib nous sommes parties a la rencontre des tributs Le résultat est terrible la plupart, on était décimé.
La tache que nous a confiait le conseil sera rude mais je ne désespère pas, nous multiplierons nos tournés en élargissant nos recherches !
Est demain, oui demain notre peuple sera une grande nation.

Ratus, Naib des Nomades.

Combien de temps

la toile de la tente, son teint bleuté, si chalereux...

combien de temps ? combien de pas, combien de larmes et de sang, depuis la première vision du giganteque desert de sable ?

Ilian ne saurait dire. Le Ai no Fugue, si.


Les nomades l'ont ils pris au serieu ? peut être, cette decision ne lui appartenait plus. Mais le regard de ce nomade qui l'avait soutenu et la douce fraicheur de la femme, l'avaient sans aucun doute aidés au dela de toute esperance. Mais alors... pourrait il accomplir sa quete en s'aidant de son unique conviction ? il n'en savait rien, sa tête recommencait a tourner, si soif, si soif... la faim aussi.

Il tente de se lever, mais son corps meurtri ne lui obeit plus. Il a besoin de beaucoups de repos.


Il respire lentement. Des qu'il le pourrait il demanderai au nomade salvateur si il pouvait rester un peu plus longtemps que prévu. Et il le remercierait pour sa bontée, et saurait reconnaitre l'hos^pitalité de son peuple.

Il devait se reposer. La vision de la toile bleue ondulant au gré du vent devait lui rester un peu plus longtemps, il le sentait.

du repos. Et attendre, attendre un nouveau signe...

Ai No Fugue

Juste un petit morceau... de tissus

« Un…croisé ??? Ils seraient encore la ? Mais… ce n’est pas possible !
Monsieur, répondez, ou l’avez-vous vu ? A combien de marches d’ici se trouve t’il ? Monsieur… »

Aegis se tenait derrière moi, il était entré dans la tente sans que je m’en aperçoive. A sa suite se tenait le docteur Eldrick, docteur itinérant depuis qu il avait fuit je ne sais quel royaume. Il me demanda de me calmer, et d aller chercher de l’eau, il en avait encore grand besoin. Puis il s’agenouilla à ses cotés, et lui pris le bras dans sa main.
-« Son pouls est faible, mais régulier, il a besoin d’eau et de repos. Sharrack, donnez lui a boire encore je vous prie, mais allez y doucement »

J’acquiesçai et obéissait. Puis m’adressant a Aegis, je l’informai de ce que venais me dire cet homme.
« Un homme, non, un croisé, sanguinaire, il n est pas comme nous, il est le mal, il s est échappé durant la grande bataille contre les croisés, et il revient vers nous. Nous sommes en danger ! »
Voila ce que j’avais pu comprendre de ce que l’homme m’avait dit, et maintenant il s’était effondré, perdus dans des délires, répétant sans cesse « Ai No Fugue », et pleins de mots incompréhensibles, et il les répétait inlassablement, gagné par la folie du désert.

Madame Jodylinn écoutait notre conversation, tout en tamponnant le front de l’homme avec un chiffon mouillé. Elle laissa bientôt sa place a une femme nomade a qui nous avions demandé de l’aide.
Aegis, le Naib Fedaykin, paraissait inquiet de cette situation. Cela faisait deux jours qu il avait posté des hommes dans le désert, et certains n’était pas revenu.
Nyamo, Fée de l’air, ne lui avait pas non plus donné de nouvelles de ces hommes, malgré ses fréquents voyages.

Une femme fit son entrée dans la tente, apparemment bouleversée. Elle tenait dans sa main un petit tissus.
-« Mon fils…, mon fils est partis chercher de l’eau, il est parti et il ne revenait pas, Naib Fedaykin. Mon frère est partis a sa recherche, et … » La jeune femme tombait en larmes, mais il fallait… Il fallait qu elle le raconte, alors elle repris son courage.
-« Voila, voila tout ce que mon frère a trouvé au puit, juste ce morceau de tissus qu il portait, taché de sang… »

Sharrack

Prisonnier de la folie


je les entend parler a l'exterieur. Je suis prisonnier de moi même, prisonnier de cette prison de chair. Le corps d'Ilian a trop souffert et bien qu'il l'eut encore porté bien apres la blessure mortelle infligée par joshua dans sa patrie, il sentait venir les limites.

Si seulement, si seulement, un peu plus de temps. Aider les nomades, attendre le signe, et rejoindre le Ai no Fugue.

Mais il est prisonnier de son coma, de sa betise. Il repense a l'ombre s'élevant au dessus de lui. Ho oui, il la voit encore, mais cette fois c'est celle du nomade. Sharrack, avait il dit. Il est en train de lui donner de l'eau. Merci, sharrack, merci, merci, mer...

Il se sent rrepartir. Et toujours plus proche, dans son esprit, comme un gong qui gagnerait en intensité, les pas du croisé, ses empreintes dans le sable. Il ne devrait pas s'en faire de cette manière, les nomades sont un peuple fort qui saura surmonter cette epreuve. Mais, ce qu'il a vu dans les yeux, une fontaine de sang, du sang nomade, du sang d'innocent, du sang d'humain, son sang. Un insatiable désir de sang. Il prépare quelque chose, quelque chose de grand. Ho Ai no Fugue aide moi a rester dans ce corps un peu plus longtemps, il faut que les nomades lui apprortent le signe...

Ai no Fugue
Ai no Fugue
Ai no Fugue
Sharrack
Nomades
Desert
sang
Un peu plus de temps...

Ai No Fugue

La clé des enfers

Du démon ou du cavalier dragon qui sera la tête ?
Le démon poussera il son hôte a chercher l'objet de sa destruction ?
L'un manipulera l'autre, lequel sera le plus honnête ?
La rose n'est pas ce qu'il en dira !
Elle sera la clé !
La clé des enfers...

Prophétie Aléatoire, le Fou, Prophète Blanc chez les Nomades.

La légende de la Rose des Sables

La nuit règne sans partage sur le désert des larmes, les nomades on mangé et les enfants se presse autour du Naib Ratus :

Les enfants "dit naib raconte nous une histoire, tu c'est dit, celle avec la rose des sables."

Ratus : "Bon les enfants il vous faut bien écouter cette histoire nous vient tous droit de nos ancêtres ils la racontaient eux aussi le soir autour du feu..."

Le Naib commence son récit :
"Il y a bien longtemps, très longtemps sur Vesperae la lutte faisait rage entre les esprits des éléments et les terribles démons.
Les hommes pesaient bien peu dans la balance cosmique face a de telles entités. Leurs survies ils la devaient a leur allégeance a l'un des deux camps.
Nos ancêtres avaient choisie le camp des éléments et prenaient une pare actif au combat qui se mener sur l'île des 5 sages.
Un soir le héros mythique de notre peuple le shaman Azimba, regardant les étoiles aperçue quelque chose tombé du ciel dans une lumière féerique.
Azimba n'écoutant que son courage fonça droit vers l'endroit ou la chose était tombée.
Arrivant sur les lieux il trouva dans le sable la rose des sables.
Il vu sur un rocher prés de la rose une inscription !
Elle disait : ceci est la clé, si tu trouve la porte ferme la avec, et les démons ne pourrons plus entré sur le royaume des hommes.
Azimba convoqua aussitôt un grand conseil autour de lui. Les avis étaient partagé, certain pensé que Verperae n'était pas forcément un monde réservé aux hommes.
D'autres pensaient que fermer la porte empêcherait également aux esprits élémentaires le passage vers notre monde.
Le Naib de l'époque dû prendre une décision très difficile, il pris cause pour la fermeture de la porte.
Les shamans se lancèrent dans une grande danse des esprits afin de localisé la porte.
Elle se trouvé dans une caverne secrète, prés du campement de la tribut.
Azimba et les shamans a l'aide de la rose fermèrent la porte. La roche avec l'inscription fût scellé devant la serrure.
Depuis aucun démon n'a peu passé d'un monde a l'autre de même pour les esprits élémentaires.
Sur Vesperae seul survivent les entités qui se trouvaient sur notre monde au moment de la fermeture coincé pour l'éternité.
Et nous nomades devons garder la précieuse rose des sables quoi qui nous en coûtent ! Voilà les enfants, allez vous couchez maintenant !"

Ratus, Naib des Nomades.

L'épée eternelle




Je vais vous compter la légende qui est transmise de générations en générations :

Autrefois, bien avant les civilisations d’aujourd’hui, existait un peuple d’assassin, ceux-ci étaient entraîner dans l’art de tuer, ils s’entraînaient jours après jours, nuit après nuit.

Mais l’ors du bataille qui les opposaient a nous les guerriers légendaire de l’exreme, ils perdirent et furent tuer sur le champ de batailles. Mais se que nous ignorions a se moment la s’était que ses homme avait tellement souffert pour en arriver la, tellement torturer que une fois mort ils ne pouvaient se résoudre a partir, et depuis se moment la, chaque nuit de pleine lune, un de nos hommes disparais mystérieusement. Sans laisser de trace. Un jours nous entendîmes une rumeurs parlant d’un Nomade shaman qui aurait pus nous aider, nous prirent donc la route vers le village ou résidait le vieux shaman. Au bout de trois mois de marche nous ne trouvions toujours pas leur royaume mais bizarrement, il nous est apparut et il nous dit « vous ne trouverez jamais notre royaume mais a la place vous m’avez trouver moi «



Commet connaissait t’il notre quête, cela je l’ignore mais si il pouvait nous aider il était le bien venu . Il confia au plus fort de notre village, qui se trouve être mon ancêtre, une arme nommée « épée des larmes éternel ». Elle contenait l’esprit d’un démon extrêmement puissant.

Mais malheureusement il y avait un prix, le prix a payer était la mort .

Mon ancêtre ne baissa pas les bras et détruit la malédiction qui pesait sur les âmes tourmenter de nos ennemis. Mais il dut en payer le prix de sa vie, mais avant cela il cacha l’épée dans un endroit que nul ne connaissait a pars lui, et on raconte que l’épée attend son heure et attend d’être réveiller par la puissance de son propriétaire.

Sephirothe

Retour a Hag Graef

Lors de mon retour dans la citadelle elfe noire,je fus retardé par un valereux guerrier du nom de Sephirothe.Le combat était acharné et il était aussi fort qu'un elfe noir(c'est le plus grand compliment que les elfes noirs puissent donner).Je ne pus en finir que grace à Spite qui détourna durant un très court instant son attention.Juste assez pour prendre mon arbaléteà répétition et tirer,il tomba à terre au bout de cinqs carreaux et malgrès le puissant poison dont ils étaient enduis,il s'aprétait à se relever.J'allais l'achever mais le démon retint mon bras juste avant sa gorge:
-ne le tues pas Malus,il sait des choses à propos de l'épée aux Larmes Eternelles.
-Je suppose que c'est un des artefacts que je dois trouver pour que tu arretes de pourir mon corps?
-Effectivement.
A contre coeur et non sans protestations,le guerrier dut me révélé ce qu'il savait sur l'artefact.Il tomba alors dans un coma à cause du poison et je m'ettonai qu'il est pu rester conscient si longtemps.Je le laissai pour mort.

Après un long voyage,j'arrivai enfin à Hag Graef.Fourbus et arassé,je me reposai dans l'un des temples de Kaine avec pour berceuse la douce mélodie des sacrifices et bains de sang

Malus Darkblade

Le poison et la souffrance



Je...Je...Je...doit...me...relever...mais...en...ais-je...la...force . Une voix retentit dans ma tête :


"vien...vien a moi...ensemble...nous vaicrons!!!"
"Tu...tu est l'esprit de la lame!!!
-oui, alie toi a moi, joinions nos force et vaiquons!!
-je...je ne sais pas...je ne peux pas....il a voulu me tuer et ma laisser en vie seulemet pour te trouver mais...Je ne connais même pas ton emplacement...Je lui ais indiquer le cimetiere de sarosa...
-la verité se trouve en toi

la voix se tus .

que voulais dire "la verité est en toi" ?
peu m'importe, je sais que je dois continuer a présent . Je sens que je dois me rendre chez les nomades, la seul chose que je sais s'est que je dois parler a leurs prophète .

Sephirothe

Les Nomades

Après m'être relevé, je coupais un bout de ma cape pour bander ma blésure et je reussi a me trainer jusqua chez un medecin qui acsepta de me remettre un antidote . Après deux jours de guérison, je me mis en marche vers le village des Nomades .


A peine arivais-je vers leurs territoire que la voix retentit :

"atention...atention...tu est surveiller! Derrière toi et tout autour de toi, tu est surveiller !"


"comment est-ce possible ?"

-des espions, tapis dans le sable, mais il sont confus, on dirait qu'il essayent de nous reconnaitre!

-et alors ? Il me sufi de... a peine ai-je eu le temps de terminer ma phrase que je senti une fleche remplie d'un somnifère se loger dans ma nuque .

en me reveyant je me demendais oû j'étais, je reconnu vite le village Nomade . Il avaient dû se rendre conte que j'étais leurs allié . Il ne me reste plus que de voir le prophete .

Séphirothe

Adieu père

Une fois reposé,je me rendai au chateau de la cité ou habitaient les dynastes,les grandes sorciéres et les seigneurs.Sur le chemin je vis le seigneur de la cité revenir d'un raid,les elfes noirs s'attroupaient heureux de voir de nouveaux esclaves arriver et se faire sacrifier.
-Malus,me souffla le démon,il posséde un des cinqs artefacts,la dague de Torxus.

J'entrais dans le chateau à la suite du cortége,ma noble ascendence me le permettait.J'entrais dans la salle ou se déroulait les festivités.Seuls les dynastes les plus proches du seigneur y étaient conviés,ils étaient4.J'ouvrais la porte dégainai mon épée.
-Père,dis je en m'agenouillant devant le seigneur de la cité.
-Mon fils,nous revenons victorieux de nos raids.Qu'en est-il du tien?
-Il s'est très mal passé tous mes guerriers ont perdu la vie.
-Tu me déçois Malus.Ce n'est pas dans tes abitudes de revenir vaincu et
sans trésor.
-J'ai appris que vous aviez découvert la dague de Torxus durant le raid.J'en ai impérativement besoin.

La tensions dans la piéce était palpable,j'étais toujours agenouillé mon épée droite devans moi.
-Bien sur que non Malus,je l'ai trouvé sur un seigneur haut elfe que j'ai tué,elle m'appartient.
-J'étais persuadé de votre refus.Il est temps de passer la main père.
-Quoi?Tu oses?

Sans attendre plus longtemps,je me levai et attaquai le seigneur de Hag Graef,brillant guerrier expérimenté le combat fut rude et long.Les dynastes ne bougeaient pas:le plus fort régnerait le plus faible succomberait.Cependant,je les savai proches du seigneur,ils éspéraient sa victoire.Mais ce fut moi qui remporta le combat.J'avais coupé la main dans la quelle il tenait son arme et le blessa à la jambe.Il tomba à genoux.
-Adieu Père.
Je lui coupai la tête d'un coup net et précis.

Les dynastes étaient interloqués.Il pensait la victoire acquise au seigneur.Il n'avaient pas vu les progrés que j'avais accompli dans le désert.
-Annocez à toute le cité que je suis le nouveau seigneur.
-Seigneur Darkblade,ils s'inclinèrent et partirent.

Je prenais la dague sur le cadavre de mon défunt père.
-Malus,moi qui suis un démon tu me fais peur parfois.
-Tais-toi démon.

Malus Darkblade

Quel horrible spectacle

HRP : Ce texte est la suite du post de Sharrack du 29/09 :



« Argh ! Je n’en peux plus. Les pleurs de cette femme me font trop mal à entendre. »

Je sortais précipitamment de la tente. Le cimeterre autour de la taille, je pris mon cheval et quittais le campement accompagné de deux éclaireurs. Je me sentais le devoir d’aller vérifier ce qui a put se produire au puits. C’est d’autant plus un devoir que le fils de cette pauvre femme faisait parti de mes sentinelles.

Nous nous dirigions à grands galops vers le puits, là où se trouvait ce morceau de tissu. Ce morceau que je tenais dans ma main, je le reconnaissais. Il faisait parti des habits portés par mes sentinelles. Le sang qui l’imprégnait était encore chaud. Un frisson me traversa le corps m’imaginant le pire et je ne pouvais pas cesser de penser à ce sentiment étrange que le vent m’avait apporté dernièrement.

Nous arrivons devant le puits. Pas âmes qui vivent. Un étrange silence, comme si la faune et la flore avaient disparus d’un seul coup. Et ce vent. Toujours ce vent qui souffle inlassablement.

Mes deux éclaireurs et moi mettons pied à terre et attachons nos montures. Nous regardons partout autour du puits et aux alentours. Rien du tout. Nous décidons alors d’aller voir un peu plus loin. Nous gravissons une légère butte de sable nous permettant de mieux voir aux loin. Les yeux fixés vers l’horizon, je scrutais notre magnifique désert quand une sentinelle cria :

« Naib ! Naib ! Viens voir. Regarde là-bas ! Ne vois-tu rien ? ! »

Je me mit à ses cotés. Il m’indiqua de son doigt la direction à regarder. Je vis une forme peu reconnaissable à cette distance. Alors je détachai mon cheval et partais avec l’autre sentinelle vers cette forme.
Arrivé sur l’emplacement indiqué, un spectacle effroyable se tenait devant mes yeux. Des flèches, des dizaines et des dizaines de flèches plantées sur le sable et dans une mare de sang. Une vision insoutenable. Du sang, partout du sang. Des lambeaux de chairs éparpillés dans un large périmètre et avec ce même tissu.
Le rapprochement avec la disparition du fils était vite faite. Le vent avait ramené jusqu’au puits ses quelques morceaux de tissus.

En regardant la sentinelle :

« Mais comment est-ce possible de telle atrocité ! ! Ce ne peut être un humain mais qu’un monstre sanguinaire, une bête sauvage ! ! Ensevelissons ce qu’il reste du corps et partons immédiatement ! »

Une fois ce travail macabre effectué, nous rejoignons le puits et repartons vers notre campement. J’en profitais au passage pour communiquer avec mes Assassins des Sables par le biais d’un sifflement que nous seuls pouvons comprendre. Ce code nous permettait de se transmettre des informations au nez et à la barbe de tout nos ennemies.

Dans ma tête, je redoutais le moment ou j’allais devoir annoncer la chose. J’ai perdu un homme. Cela me rend triste mais me remplis à la fois de colères.

Aegis

La peur au campement

Le camp est en alerte maximum, la disparition de l’enfant et la découverte du massacre près du puit nous annonce des jours de terreur à venir.
L’homme que l’on soignait dans la tente s’est enfin endormi. On avait allumé des bougies aux senteurs d’épices, et cela eu l’effet escompté en l’éloignant de la folie du désert qu il subissait.
Pourtant, nous avons besoin de lui parler, il a vu le danger, et est venu nous prévenir. Il pourrait peut être nous raconter ce qu il sait.
Un adversaire démoniaque se trouve tout proche de nous, mais nous ne le voyons pas. Ou peut il se cacher pour rester inaperçu aux hommes du désert. La peur gagne le camp…
Aegis en personne se déplace a tous les avant postes pour être sur que tout est en ordre.

Le docteur Eldrick nous avait fait sortir de la tente pour laisser l’homme se reposer et, malgré que nous reprenions nos habitudes quotidiennes, la tension régnait dans le camp.
Naib Ratus et Muad’Dib revenaient à l’oasis, après qu’ils aient discuter avec les Taibs de grande famille Nomade.
Madame Jodylinn, le docteur Eldrick et moi leur apprenions les dangers auxquels nous devions faire face quand un groupe de Fedaykin arrivèrent avec un homme sur un chameau, posé sur le ventre et ligoté.

-« Nous l avons trouvé pas loin d’ici Naib, il est très bien armé. Peut être est-ce l’homme que nous recherchons. » dit le Fedaykin d’un ton interrogateur.
Le Naib s’approcha de l’homme ligoté et reconnus aussitôt Séphirote, un de nos alliés commercial. Il demanda à ses hommes de le détacher et de le réveiller.
Séphirote ne se déplace que très rarement dans le désert, la dernière fois que nous l’avons vu, c’était lors de la bataille des croisés. Pat Hibulaire était partis à Sarrosa au campement même de l’armé des croisés, ou il avait affronté un de leurs chefs. Séphirote a défendu la retraite après l’embuscade que les croisés avaient tentée, et ont sauvés ainsi des esclaves nomade de la tyrannie des hommes. Séphirote a rejoint alors l’oasis où l’on a pu le remercier de son aide.

Et voici Séphirote qui revient ici, ligoté comme un prisonnier. La peur du guerrier qu on ne voit pas a rendu les hommes nerveux. Je ne le suis pas moins.
Nous pensions en avoir fini des mauvaises nouvelles, mais le galop de Aegis que l’on voyait arrivé au loin nous faisait présager du pire. Plus un n’osait dire un mot devant la course effrénée du Naib Fedaykin qui soulevait derrière lui un nuage de poussière.

-« Salut a toi Ratus. J’ai reçu de mauvaises nouvelles. A deux jours de marches d’Oxotoc, un éclaireur caravanier s’est fait tué. Les Fedaykins ont retrouvés leur trace, mais ils n’étaient pas assez nombreux pour les affronter. Les Elfes Noirs veulent nous prendre la Rose des Sables, ils exigent que nous leurs donnions, ou sinon nous mourons. »

La Rose des Sables, gardienne de la porte des Démons et des Esprits. Nous ne pouvons pas la donner, elle ne doit plus être utilisée.
Cette vieille légende… Mais comment ont-ils pu savoir qu’elle était chez nous ici depuis le début des temps. Il nous faudra lutter, encore…
Ainsi donc, dans ces moments difficile ou un adversaire ténébreux se cachait a quelques lieues de nous, des êtres maléfique comptaient s’emparer de notre bien sacré.
Notre peuple est il voué a mourir. Nous avons besoin plus que jamais des autres familles nomades.

Nous entendîmes tousser, le docteur Eldrick retourna aussitôt dans la tente où dormait l’homme inconnu. Puis il revint avec le sourire.
-« Notre homme se réveille, il est sauvé. Il se rappelle de son nom : Ilian. Il lui faudra juste quelques repos le temps de retrouver toutes ses forces. Dites moi, très efficace cette épice… »

Sharrack[/b]

Guerre...

Alors nous y sommes enfin.
La guerre, la vraie, celle que nous haissons et que nous detestons.
Celle qui tue et qui pille, celle qui egorge et qui viole, celle qui annihile...

Un mal rode dans le desert, un mal puissant et fort, un mal de démon.
Peut etre en sortirons nous vainqueurs, peut etre non.
Seule la Dame le sait...

Pour l'heure le camp s'affere, je suis allé avec notre Naib au dela des autre tribues nomades, nous avons été acceuillit a bras ouverts par certains, expulsés par d'autres.
Si le besoins s'en fait sentir nous devrons compter sur la solidarité du desert...

Pour l'heure les cadavres reviennent peu a peu, et une legere angoisse se fait sentir sur tout les visages.
Interdiction aux enfants de sortir apres le couché du soleil.

La garde a été doublé, et les eclaireurs sillonnent le desert a la recherche d'information.
Nos avants postes nous font des rapports tous les quatre heures.

Moi je regarde le revers de ma lame, elle brille, cette épée imperial.
Un sabre qui m'avait été offert avec mes galons de capitaine par les hommes de mon regiment.
L'aigle qui ornais la garde de se magnifique sabre a été limé, et gravé, de sorte qu'a la place de l'aigle, il y'a desormais le visage d'une femme.
Je me suis decouvert un petit talent de sculture en faisant cela.

Je me regarde dans le reflet du metal froid: "alors william, tu va etre amené a tuer, encore... Tu ne la pas deja assez fait?"
"Pauvre de moi"
Voila que je me surprend a me parler...

Oui c'est vrai, deja beaucoup de sang a coulé de cette lame brillante et dure, trop de sang.

Je remet l'épée dans son fourreau.
Je ne pourrais rester seulement spectateur du conflit qui s'annonce, je ne degainerais mon sabre que si la situation l'impose vraiment...

On m'apporte une armure de plate orné de symboles nomades, je ne les connais pas tous, mais en reconnais certains, comme la liberté, ou encore le courrage et la devotion.
Autant de notions qui semblenet a la fois pures, et a la fois fanatique.
Je l'essaye, elle me va bien cette belle armure.
Je met le casque qui va avec...
J'ai de l'allure dans ce genre de vetements, c'est certain.
Je bouge, m'exerce, me contorsionne, le travail du maitre des forges a été vraiment divin, eelle ne gene quasiment aucuns de mes mouvements...

Les ombres au sol sont ceux d'un cauchemard, comme si un meurtrier se profilait devant moi, mais ca n'est rien d'autre que mon reflet, rien d'autre que mon ombre...

La Nouille

Allongés sous la toile bleu, renaissance

Ilian est parfaitement conscient désormais



Louées soit les méthodes des nomades, jamais il n'a vu une telle efficacité dans le traitement des blessures, a part chez les rares elfs qu'il avait rencontrés. Ses jambes sont encores dans un état lamentables, mais les fractures avaient deja disparues ... Déja ? mais depuis combien de temps était il la ?

encore ces questions, toujours. Sans aucune importance. Il devait aider les nomades, leur dire ce qu'il avait vu dans sa folie, au plus vite. D'après les quelques bribes qui lui étaient parvenues, Ilian avait cru entendre que le peuple du désert était acculé de tous les cotés.

Il devait leur apporter le peu d'aide que son corps de jeune adulte usé pouvait leur fournir. Si jeune, si jeune, et déja gaché. Car Ilian le savait, il s'en rendait compte lors des rares moment ou son esprit n'était pas totalement tourné vers sa recherche du Ai no Fugue. Il avait enduré beaucopup trop de blessures mortelles qu'un corps humain ne pouvait en supporter. Beaucoup trop. La gigantesque balafre, qui avait déchirée son torax sur près de la moitié de son corps, ne cessait de le faire souffrir. Mais il était encore en vie. Volontée ? pas seulement. Le Ai no Fugue avait confiance, confiance, confiance en lui. Il le retrouverait avant que son corps ne rejoigne la terre mère.
Mais après ? aucune importance. Il n'y avait rien, absolument rien, qui l'attendait au dela de sa quète.


Il fit une pitoyable tentative de se lever. Ses jambes lui supplièrent d'arreter et il s'écroula sur le sol mou. Rale d'agonie. Tout son corps avait tremblé de mal lorsqu'il s'était affalé sur le tapis molletonné de la tente. Il se hissa péniblement sur la couchette et resta en position assise, en soufflant bruyament.


Il murmura quelques paroles ineptes, pour s'assurer qu'il serait en moyen de raconter l'horreur de la vérité au nomade. Le plus vite possible. Car ce qu'il avait entrapercu s'avère etre un élément majeure dans la sombre histoire qui s'avance implacablement vers les nomades.

Ho Ai no Fugue donne moi la force.

Il fallait a tou prix que sharrack revienne. encore une fois, meme peut être la dernière. mais il devait lui dire.

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L'être en armure de jais attendait passiement, recouvert de sable, se mouvant a la manière d'une couleuvre. Le soldat ne semblait pas l'avoir vu. Il n'aurait jamais du s'eloigner du camp, jamais. L'ombre bondit hors de sa cache tel un prédateur. Le soldat experimenté eut a peine le temps de se tourner pour voir sa fin. Plus d'armes cette fois, il lui arracha la trachée a main nue, le sang s'élanceant dans l'air, ballet de mort funeste. Il tira le soldat encore en vie a l'ombre d'une dune, en retrait, puis sourit, un rictus de haine, de rage et de triomphe qu'un etre humain aurait immédiattement refoulé. Il en restait encore encore et toujours oui il aurait sa vengeance. Son plan était en marche. Lentement, il plongea sa main enseanglentée dans la gorge du cadavre. La nourriture se faisait rare dans le desert

Ai No Fugue